Les gardes communaux comptent, eux aussi, selon Hakim Chouaïb, le coordinateur national des gardes communaux, reprendre le mouvement de protestation après leur sit-in la semaine dernière à la place des Martyrs à Alger. Ils seront cette fois plus de 50.000 personnes à «encercler» le siège de la Présidence pour exprimer leur mécontentement des décisions prises par le ministère de l'Intérieur en réponse à leurs revendications. Il faut noter que leur tutelle a décidé, il y a quelques jours seulement, que la condition d'accorder le départ en retraite aux gardes communaux —une des principales revendications de ces derniers— et que le garde ait passé au moins 15 ans de service et qu'il ait au moins 45 ans, exigences que refusent catégoriquement les gardes communaux. Cela en plus des autres revendications toujours insatisfaites, telles l'augmentation des salaires et les indemnités. Les gardes communaux comptent, eux aussi, selon Hakim Chouaïb, le coordinateur national des gardes communaux, reprendre le mouvement de protestation après leur sit-in la semaine dernière à la place des Martyrs à Alger. Ils seront cette fois plus de 50.000 personnes à «encercler» le siège de la Présidence pour exprimer leur mécontentement des décisions prises par le ministère de l'Intérieur en réponse à leurs revendications. Il faut noter que leur tutelle a décidé, il y a quelques jours seulement, que la condition d'accorder le départ en retraite aux gardes communaux —une des principales revendications de ces derniers— et que le garde ait passé au moins 15 ans de service et qu'il ait au moins 45 ans, exigences que refusent catégoriquement les gardes communaux. Cela en plus des autres revendications toujours insatisfaites, telles l'augmentation des salaires et les indemnités.