Le plan d'action algéro-japonais pour le développement des technologies solaires sera actualisé le 16 avril prochain à Oran, a indiqué mardi le vice-recteur de l'université des sciences et de la technologie Mohamed- Boudiaf (USTO). Une séance de travail est prévue à cette date à l'USTO avec des experts de l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA) pour "réactiver la mise en oeuvre du programme en raison des perturbations induites par le violent séisme qui a secoué, mars courant, l'archipel asiatique", a expliqué Nacéra Benharrat dans un entretien à l'APS. "Les incidences du tremblement de terre sur ce programme de coopération sont minimes et résident dans quelques volets seulement de la démarche initialement convenue", a affirmé cette responsable chargée des relations internationales et de la coopération. Ce projet dont la concrétisation a démarré en janvier dernier porte sur l'acheminement de l'énergie solaire du Sud vers la région Nord du pays en vue d'alimenter les stations de dessalement de l'eau de mer. Le Centre de recherche sur l'énergie solaire d'Adrar est associé à ce programme qui prévoit également la création d'une usine de fabrication de silicium à Saïda et d'un Centre de recherche spécialisé à l'USTO. Une enveloppe budgétaire de cinq millions de dollars, mobilisée par la partie japonaise, est consacrée à la réalisation de cette opération dans un délai de cinq ans. Le plan d'action algéro-japonais pour le développement des technologies solaires sera actualisé le 16 avril prochain à Oran, a indiqué mardi le vice-recteur de l'université des sciences et de la technologie Mohamed- Boudiaf (USTO). Une séance de travail est prévue à cette date à l'USTO avec des experts de l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA) pour "réactiver la mise en oeuvre du programme en raison des perturbations induites par le violent séisme qui a secoué, mars courant, l'archipel asiatique", a expliqué Nacéra Benharrat dans un entretien à l'APS. "Les incidences du tremblement de terre sur ce programme de coopération sont minimes et résident dans quelques volets seulement de la démarche initialement convenue", a affirmé cette responsable chargée des relations internationales et de la coopération. Ce projet dont la concrétisation a démarré en janvier dernier porte sur l'acheminement de l'énergie solaire du Sud vers la région Nord du pays en vue d'alimenter les stations de dessalement de l'eau de mer. Le Centre de recherche sur l'énergie solaire d'Adrar est associé à ce programme qui prévoit également la création d'une usine de fabrication de silicium à Saïda et d'un Centre de recherche spécialisé à l'USTO. Une enveloppe budgétaire de cinq millions de dollars, mobilisée par la partie japonaise, est consacrée à la réalisation de cette opération dans un délai de cinq ans.