Quelque 1.500 chercheurs algériens établis à l'étranger veulent "revenir travailler" dans les différents centres de recherche du pays, a annoncé, hier à Tlemcen, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia. Le ministre a indiqué que, rapporte l'APS, "101 chercheurs sont revenus au cours de l'année 2010 au pays et travaillent dans divers centres de recherche dans les mêmes conditions et avec les mêmes avantages qu'ils avaient à l'étranger", avant de souligner que l'environnement de la recherche scientifique en Algérie s'est nettement amélioré et offre "tout ce dont ont besoin ces compétences". Il a indiqué, à cet égard que l'Algérie possède déjà "1.000 laboratoires équipés de tous les moyens et outils adéquats pour permettre aux chercheurs et aux universités algériennes de s'aligner sur les universités mondiales et d'être compétitives". M. Harraoubia a, par ailleurs, déclaré lors d'un point de presse que "le spectre d'une année blanche est écarté du moment que toutes les revendications estudiantines ont été prises en charge et que des dispositions viennent d'être adoptées lors de la dernière conférence nationale des chefs d'établissements de l'enseignement supérieur, tenue à la fin du mois écoulé". Il a également indiqué que toutes les structures de l'enseignement supérieur (facultés, rectorats) et du ministère sont "ouvertes au dialogue au cas ou des problèmes pédagogiques ou autres surgissent". Le ministre, accompagné des autorités locales de la wilaya de Tlemcen, a pris connaissance, lors de sa visite dans la wilaya de Tlemcen, des projets de 8.000 places pédagogiques achevés dans le nouveau pôle universitaire de hai Imama, avant de s'enquérir de la 5e tranche de 2.000 places pédagogiques qui sera destinée aux sciences sociales et humaines. Cette tranche sera réceptionnée au cours de la prochaine année universitaire, a-t-on annoncé. Il s'est également enquis des projets en voie de lancement, dont ceux des centres de recherche en sciences et génie des matériaux, en toxicologie et médicaments, de réalisation d'un centre de transfert de technologies et d'un plateau technique d'analyse physico-chimique financé par le Fonds national de la recherche scientifique et du développement technologique (FNRSDT). Une enveloppe financière globale de l'ordre 1,250 milliard de dinars a été allouée à la réalisation de ces projets scientifiques. Le projet de réalisation de 30 laboratoires de recherche, qui nécessitent une autorisation de programme de 138 millions de dinars, a été présenté à M. Harraoubia, qui a également inspecté les différents blocs de ce pôle, avant de visiter le projet de construction de 70 logements améliorés destinés aux professeurs universitaires, ainsi que la résidence universitaire de 2.000 lits de Mansourah 3. I.A . Quelque 1.500 chercheurs algériens établis à l'étranger veulent "revenir travailler" dans les différents centres de recherche du pays, a annoncé, hier à Tlemcen, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia. Le ministre a indiqué que, rapporte l'APS, "101 chercheurs sont revenus au cours de l'année 2010 au pays et travaillent dans divers centres de recherche dans les mêmes conditions et avec les mêmes avantages qu'ils avaient à l'étranger", avant de souligner que l'environnement de la recherche scientifique en Algérie s'est nettement amélioré et offre "tout ce dont ont besoin ces compétences". Il a indiqué, à cet égard que l'Algérie possède déjà "1.000 laboratoires équipés de tous les moyens et outils adéquats pour permettre aux chercheurs et aux universités algériennes de s'aligner sur les universités mondiales et d'être compétitives". M. Harraoubia a, par ailleurs, déclaré lors d'un point de presse que "le spectre d'une année blanche est écarté du moment que toutes les revendications estudiantines ont été prises en charge et que des dispositions viennent d'être adoptées lors de la dernière conférence nationale des chefs d'établissements de l'enseignement supérieur, tenue à la fin du mois écoulé". Il a également indiqué que toutes les structures de l'enseignement supérieur (facultés, rectorats) et du ministère sont "ouvertes au dialogue au cas ou des problèmes pédagogiques ou autres surgissent". Le ministre, accompagné des autorités locales de la wilaya de Tlemcen, a pris connaissance, lors de sa visite dans la wilaya de Tlemcen, des projets de 8.000 places pédagogiques achevés dans le nouveau pôle universitaire de hai Imama, avant de s'enquérir de la 5e tranche de 2.000 places pédagogiques qui sera destinée aux sciences sociales et humaines. Cette tranche sera réceptionnée au cours de la prochaine année universitaire, a-t-on annoncé. Il s'est également enquis des projets en voie de lancement, dont ceux des centres de recherche en sciences et génie des matériaux, en toxicologie et médicaments, de réalisation d'un centre de transfert de technologies et d'un plateau technique d'analyse physico-chimique financé par le Fonds national de la recherche scientifique et du développement technologique (FNRSDT). Une enveloppe financière globale de l'ordre 1,250 milliard de dinars a été allouée à la réalisation de ces projets scientifiques. Le projet de réalisation de 30 laboratoires de recherche, qui nécessitent une autorisation de programme de 138 millions de dinars, a été présenté à M. Harraoubia, qui a également inspecté les différents blocs de ce pôle, avant de visiter le projet de construction de 70 logements améliorés destinés aux professeurs universitaires, ainsi que la résidence universitaire de 2.000 lits de Mansourah 3. I.A .