La journée de grève nationale à laquelle a appelé le Syndicat national autonome de l'administration publique (SNAPAP) a bien eu lieu. Les employés de la Fonction publique ont répondu favorablement à l'appel de leur représentant syndical. Selon un communiqué de ce dernier, ce mouvement est qualifié de « réussi », avec notamment un taux de participation ayant atteint les 84 % au niveau national. Cette grève, souligne-t-on, a touché plusieurs corps de la Fonction publique. Des pressions ont été exercées sur le personnel gréviste par leur hiérarchie, notamment dans les wilayas de Djelfa, Tébessa, Mascara et aussi dans le secteur de la formation professionnelle à Tizi-ouzou, a-t-on indiqué de même source. Cette grève, ajoute-t-on, est synonyme d'avertissement aux autorités publiques pour les pousser à prendre les mesures nécessaire à la prise en charge des différentes préoccupations socioprofessionnelles des employés de la fonction publique. Dans son communiqué, le syndicat autonome appelle le gouvernement à ouvrir l'espace au débat et à la concertation avec le Snapap, en sa qualité, souligne-t-on, de plus représentatif dans le secteur de la Fonction publique. Il réclame également d'intégrer l'ensemble des organismes et caisses nationales, à l'instar de la celle dédiée à l'habitat mais aussi au conseil d'administration de la caisse nationale des assurances sociales étant donné, ajoute-t-on, que les fonctionnaires contribuent au sein de cette caisse sans aucun représentant. Le Syndicat national autonome de l'administration publique réclame du gouvernement, entre autres, l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles, l'harmonisation des indemnités et l'intégration des vacataires. Une plate-forme en 11 points a été déposée auprès des autorités de tutelle, rappelle-t-on. Le Snapap réaffirme la détermination des fonctionnaires à poursuivre le mouvement en cas d'absence de réponse avec une série de grèves. La journée de grève nationale à laquelle a appelé le Syndicat national autonome de l'administration publique (SNAPAP) a bien eu lieu. Les employés de la Fonction publique ont répondu favorablement à l'appel de leur représentant syndical. Selon un communiqué de ce dernier, ce mouvement est qualifié de « réussi », avec notamment un taux de participation ayant atteint les 84 % au niveau national. Cette grève, souligne-t-on, a touché plusieurs corps de la Fonction publique. Des pressions ont été exercées sur le personnel gréviste par leur hiérarchie, notamment dans les wilayas de Djelfa, Tébessa, Mascara et aussi dans le secteur de la formation professionnelle à Tizi-ouzou, a-t-on indiqué de même source. Cette grève, ajoute-t-on, est synonyme d'avertissement aux autorités publiques pour les pousser à prendre les mesures nécessaire à la prise en charge des différentes préoccupations socioprofessionnelles des employés de la fonction publique. Dans son communiqué, le syndicat autonome appelle le gouvernement à ouvrir l'espace au débat et à la concertation avec le Snapap, en sa qualité, souligne-t-on, de plus représentatif dans le secteur de la Fonction publique. Il réclame également d'intégrer l'ensemble des organismes et caisses nationales, à l'instar de la celle dédiée à l'habitat mais aussi au conseil d'administration de la caisse nationale des assurances sociales étant donné, ajoute-t-on, que les fonctionnaires contribuent au sein de cette caisse sans aucun représentant. Le Syndicat national autonome de l'administration publique réclame du gouvernement, entre autres, l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles, l'harmonisation des indemnités et l'intégration des vacataires. Une plate-forme en 11 points a été déposée auprès des autorités de tutelle, rappelle-t-on. Le Snapap réaffirme la détermination des fonctionnaires à poursuivre le mouvement en cas d'absence de réponse avec une série de grèves.