"On a un bon coup à faire sur cette journée, et il ne faut pas qu'on se plante", prévient le défenseur d'Auxerre Cédric Hengbart, alors que l'AJA, 17e à un point du premier relégable, reçoit Saint-Etienne aujourd'hui en L1 dans un match lourd d'enjeu pour les Bourguignons. "On a un bon coup à faire sur cette journée, et il ne faut pas qu'on se plante", prévient le défenseur d'Auxerre Cédric Hengbart, alors que l'AJA, 17e à un point du premier relégable, reçoit Saint-Etienne aujourd'hui en L1 dans un match lourd d'enjeu pour les Bourguignons. Jean Fernandeza a dit que le maintien se jouera à domicile. Redoutez-vous la pression, qui sera encore très forte pour l'AJA samedi(aujourd'hui Ndlr) contre Saint-Etienne? Ce sera la même pression que contre Sochaux, ou Paris. Contre eux, on avait l'obligation du résultat et on avait gagné. Là il y a un plus. On peut se sortir davantage de cette zone difficile. Même si on ne sera pas complètement sorti d'affaire. Avec une victoire, ça peut laisser pas mal d'équipes derrière. On a un bon coup à faire sur cette journée, et il ne faut pas qu'on se plante. Pour moi, le maintien, c'est la priorité avant tout. Après, l'avenir de chacun vient au second plan. J'ai toujours dit haut et fort mon ambition. Mais tout passe d'abord par des ambitions collectives pour le maintien. Vous étiez remplaçant à Rennes, et vous avez retrouvé le terrain plus tôt que prévu. Avez-vous appréhendé cette rentrée anticipée? Si j'étais sur le banc, c'est déjà que mon genou allait bien. Maintenant c'est une question de rythme à retrouver. L'équipe avait bien marché le match d'avant, c'était normal que je sois remplaçant. C'est vrai que je suis rentré un peu plus vite que prévu avec la blessure de Stéphane (Grichting). Je pense que je m'en suis bien tiré. Je n'ai eu aucune appréhension. Dans la semaine qui précédait, c'était pareil à l'entraînement. Je ne calcule pas. L'AJA joue avec une défense à cinq, alors que vous avez plus l'habitude d'une défense à quatre. Est-ce la solution pour mieux resserrer les rangs? C'est vrai que je n'ai pas trop l'habitude de ce système. Mais c'était comme ça déjà face au Paris SG. Et c'est mieux pour l'équilibre collectif de l'équipe. Disons qu'à un moment donné on se faisait perforer de tous les côtés. Là, c'est une sécurité en plus. Nous sommes trois dans l'axe avec toujours au moins deux joueurs dans la surface sur les centres. Cela permet aux latéraux d'apporter plus devant. Et comme ça, on ne prend pas de buts. C'est plus facile de gagner. On n'en était d'ailleurs pas loin à Rennes (0-0). Jean Fernandeza a dit que le maintien se jouera à domicile. Redoutez-vous la pression, qui sera encore très forte pour l'AJA samedi(aujourd'hui Ndlr) contre Saint-Etienne? Ce sera la même pression que contre Sochaux, ou Paris. Contre eux, on avait l'obligation du résultat et on avait gagné. Là il y a un plus. On peut se sortir davantage de cette zone difficile. Même si on ne sera pas complètement sorti d'affaire. Avec une victoire, ça peut laisser pas mal d'équipes derrière. On a un bon coup à faire sur cette journée, et il ne faut pas qu'on se plante. Pour moi, le maintien, c'est la priorité avant tout. Après, l'avenir de chacun vient au second plan. J'ai toujours dit haut et fort mon ambition. Mais tout passe d'abord par des ambitions collectives pour le maintien. Vous étiez remplaçant à Rennes, et vous avez retrouvé le terrain plus tôt que prévu. Avez-vous appréhendé cette rentrée anticipée? Si j'étais sur le banc, c'est déjà que mon genou allait bien. Maintenant c'est une question de rythme à retrouver. L'équipe avait bien marché le match d'avant, c'était normal que je sois remplaçant. C'est vrai que je suis rentré un peu plus vite que prévu avec la blessure de Stéphane (Grichting). Je pense que je m'en suis bien tiré. Je n'ai eu aucune appréhension. Dans la semaine qui précédait, c'était pareil à l'entraînement. Je ne calcule pas. L'AJA joue avec une défense à cinq, alors que vous avez plus l'habitude d'une défense à quatre. Est-ce la solution pour mieux resserrer les rangs? C'est vrai que je n'ai pas trop l'habitude de ce système. Mais c'était comme ça déjà face au Paris SG. Et c'est mieux pour l'équilibre collectif de l'équipe. Disons qu'à un moment donné on se faisait perforer de tous les côtés. Là, c'est une sécurité en plus. Nous sommes trois dans l'axe avec toujours au moins deux joueurs dans la surface sur les centres. Cela permet aux latéraux d'apporter plus devant. Et comme ça, on ne prend pas de buts. C'est plus facile de gagner. On n'en était d'ailleurs pas loin à Rennes (0-0).