Après un premier sit-in observé devant la Présidence, organisé mercredi dernier, les médecins résidents organiseront un autre sit-in devant le palais d'El Mouradia aujourd'hui à midi. Ces actions sont menées pour pour attirer l'attention du premier magistrat du pays, après l'échec de leur tutelle à régler leurs problèmes. Pour rappel, les médecins résidents sont en grève depuis près d'un mois maintenant. « Nous allons organiser encore une fois un sit-in devant le siège de la Présidence après l'échec des négociation avec les deux tutelles, à savoir la santé et l'enseignement supérieur », nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, un des délégués des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra), contacté hier par le Midi Libre. « Nous aimerions sensibiliser maintenant le président de la République pour trouver des réponses à nos revendications légitimes, dont la principale reste l'abrogation du service civil qui est une loi anticonstitutionnelle après la décision de Ould Abbès qui est catégorique dans la question du maintien et l'obligation du service civil », nous diront des médecins résidents, toujours mobilisés au CHU Mustapha-Pacha à Alger. Il faut dire que les médecins résidents disent « n'avoir plus peur d'aucune sanction et qu'ils continueront à s'exprimer jusqu'à satisfaction totale et sans conditions de toutes leurs revendications ». « Malgré la décision de justice que la tutelle a réussi à obtenir, les résidents à travers le pays sont déterminés à maintenir leur grève et leur pression jusqu'à ce leurs voix soient entendues », nous diront les médecins résidents. Il est important de signaler que les médecins résidents envisagent « une démission collective des 7.000 médecins résidents à travers le pays comme dernier recours en cas de non satisfaction de leurs doléances. Il est important de signaler aussi que les médecins résidents peuvent aller vers un sit-in continu devant le siège de la Présidence dont les modalités seront décidées après un vote démocratique à travers l'ensemble du pays. Il faut noter que tous les médecins résidents auront, selon leur page officielle sur le site social Facebook, « aujourd'hui des cartons rouges à la main, une façon de réclamer le départ de Ould Abbès ». Après un premier sit-in observé devant la Présidence, organisé mercredi dernier, les médecins résidents organiseront un autre sit-in devant le palais d'El Mouradia aujourd'hui à midi. Ces actions sont menées pour pour attirer l'attention du premier magistrat du pays, après l'échec de leur tutelle à régler leurs problèmes. Pour rappel, les médecins résidents sont en grève depuis près d'un mois maintenant. « Nous allons organiser encore une fois un sit-in devant le siège de la Présidence après l'échec des négociation avec les deux tutelles, à savoir la santé et l'enseignement supérieur », nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, un des délégués des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra), contacté hier par le Midi Libre. « Nous aimerions sensibiliser maintenant le président de la République pour trouver des réponses à nos revendications légitimes, dont la principale reste l'abrogation du service civil qui est une loi anticonstitutionnelle après la décision de Ould Abbès qui est catégorique dans la question du maintien et l'obligation du service civil », nous diront des médecins résidents, toujours mobilisés au CHU Mustapha-Pacha à Alger. Il faut dire que les médecins résidents disent « n'avoir plus peur d'aucune sanction et qu'ils continueront à s'exprimer jusqu'à satisfaction totale et sans conditions de toutes leurs revendications ». « Malgré la décision de justice que la tutelle a réussi à obtenir, les résidents à travers le pays sont déterminés à maintenir leur grève et leur pression jusqu'à ce leurs voix soient entendues », nous diront les médecins résidents. Il est important de signaler que les médecins résidents envisagent « une démission collective des 7.000 médecins résidents à travers le pays comme dernier recours en cas de non satisfaction de leurs doléances. Il est important de signaler aussi que les médecins résidents peuvent aller vers un sit-in continu devant le siège de la Présidence dont les modalités seront décidées après un vote démocratique à travers l'ensemble du pays. Il faut noter que tous les médecins résidents auront, selon leur page officielle sur le site social Facebook, « aujourd'hui des cartons rouges à la main, une façon de réclamer le départ de Ould Abbès ».