Les médecins résidents ne semblent pas du tout découragés par l'attitude de leurs tutelles face à leurs revendications. En effet un sit-in a été encore organisé, hier, devant le siège de la présidence d'El Mouradia à Alger. Des milliers de médecins résidents, venus de tout le territoire national, étaient là pour exprimer leur ras-le-bol mais aussi pour dénoncer la légèreté avec laquelle la tutelle traite leur dossier. « Nous somme tous mobilisés pour arracher nos droits. Nous faisons cette fois-ci appel au premier magistrat du pays pour nous apporter des solutions définitives», nous dira le docteur Merwane, l'un des délégués des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. Il faut noter que le Collectif a organisé, hier, une conférence de presse au siège du Conseil de l'ordre pour annoncer « le maintien de la grève mais aussi la détermination à continuer jusqu'à satisfaction de toutes leurs revendications sans la moindre concession », diront les organisateurs de la conférence de presse. Il faut signaler que les délégués des médecins résidents ont attendu hier très longtemps devant le palais d'El Mouradia exprimant leur détermination de « camper » sur placejusqu'à ce que leur délégation soit reçue par des responsables auxquels ils pourront remettre leur écrit adressé au chef de l'Etat en personne avec accusé de réception. « Nous resterons devant la Présidence le temps qu'il faudra, jusqu'à ce que notre courrier soit transmis au président en personne et qu'il nous en accuse réception », nous a affirmé Dr Merwane. Il est à rappeler que les médecins résidents sont en grève illimitée depuis près de deux semaines maintenant et maintiennent toujours leurs revendications notamment l'abrogation du service civil, comme première et principale revendication, un statut particulier pour les médecins résidents, l'amélioration des conditions socioprofessionnelles et la révision de l'aspect pédagogique. A rappeler aussi que les résidents ont boycotté, avant-hier, les travaux des commissions mixtes (médecins résidents-ministère de la santé-ministère de l'Enseignement supérieur) installées par la tutelle dans le but de trouver des solutions communes. Rejetant la décision du ministre, lequel avait affirmé ne pas revoir la question du service civil qui reste, selon lui, une obligation, les membres du Collectif autonome, présents à la première journée des travaux, ont décidé après concertation « de ne plus prendre part à des travaux qui ne prennent pas en considération la principale revendications des médecins grévistes », nous affirme notre interlocuteur. Les médecins résidents ne semblent pas du tout découragés par l'attitude de leurs tutelles face à leurs revendications. En effet un sit-in a été encore organisé, hier, devant le siège de la présidence d'El Mouradia à Alger. Des milliers de médecins résidents, venus de tout le territoire national, étaient là pour exprimer leur ras-le-bol mais aussi pour dénoncer la légèreté avec laquelle la tutelle traite leur dossier. « Nous somme tous mobilisés pour arracher nos droits. Nous faisons cette fois-ci appel au premier magistrat du pays pour nous apporter des solutions définitives», nous dira le docteur Merwane, l'un des délégués des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. Il faut noter que le Collectif a organisé, hier, une conférence de presse au siège du Conseil de l'ordre pour annoncer « le maintien de la grève mais aussi la détermination à continuer jusqu'à satisfaction de toutes leurs revendications sans la moindre concession », diront les organisateurs de la conférence de presse. Il faut signaler que les délégués des médecins résidents ont attendu hier très longtemps devant le palais d'El Mouradia exprimant leur détermination de « camper » sur placejusqu'à ce que leur délégation soit reçue par des responsables auxquels ils pourront remettre leur écrit adressé au chef de l'Etat en personne avec accusé de réception. « Nous resterons devant la Présidence le temps qu'il faudra, jusqu'à ce que notre courrier soit transmis au président en personne et qu'il nous en accuse réception », nous a affirmé Dr Merwane. Il est à rappeler que les médecins résidents sont en grève illimitée depuis près de deux semaines maintenant et maintiennent toujours leurs revendications notamment l'abrogation du service civil, comme première et principale revendication, un statut particulier pour les médecins résidents, l'amélioration des conditions socioprofessionnelles et la révision de l'aspect pédagogique. A rappeler aussi que les résidents ont boycotté, avant-hier, les travaux des commissions mixtes (médecins résidents-ministère de la santé-ministère de l'Enseignement supérieur) installées par la tutelle dans le but de trouver des solutions communes. Rejetant la décision du ministre, lequel avait affirmé ne pas revoir la question du service civil qui reste, selon lui, une obligation, les membres du Collectif autonome, présents à la première journée des travaux, ont décidé après concertation « de ne plus prendre part à des travaux qui ne prennent pas en considération la principale revendications des médecins grévistes », nous affirme notre interlocuteur.