En réponse aux déclarations du ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès parlant de l'illégalité de la grève des médecins résidents, ces derniers sont toujours aussi déterminés à « maintenir leur grève illimitée jusqu'à satisfaction totale de leurs revendications et sans faire la moindre concession », nous dira le docteur Zirizère, abordé hier à l'hôpital Mustapha-Pacha à Alger. Les médecins résidents sont toujours aussi nombreux à exprimer leur ras-le bol face à cette situation de blocage. « Ould Abbès dit que les décisions concernant l'abrogation des lois du service civil et du service militaire ne relève pas de ses prérogatives, qu'il laisse alors le premier magistrat du pays, à qui on s'est adressé mercredi dernier, de prendre les décisions », nous diront les médecins résidents. Il faut rappeler que la justice a promulgué, selon le ministre, le 6 avril dernier, une ordonnance en référé confirmant « le caractère illégal de la grève des médecins résidents ». Une mesure qui ne semble pas du tout ébranler les grévistes qui ont pour principale revendication l'abrogation du service civil une revendication dont la satisfaction conditionne la fin de leur grève. « La tutelle savait dès le début que cette revendication est principale pour nous notre grève est tenue principalement pour ce point et si le ministère est catégorique dans sa décision de la non abrogation du service civil, les médecins eux aussi resteront sur leur position le temps qu'il faudra », affirme le docteur Abderahmane, un médecin résident interrogé au même CHU Mustapha-Pacha à Alger. Il faut rappeler aussi que le ministre avait appelé, mercredi dernier, les médecins résidents à la raison les invitant à regagner leurs postes et à poursuivre leur dialogue avec le ministère. Il a affirmé « que la grève a touché dix wilayas disposant de CHU » soulignant que « les revendications liées à la révision du statut de la profession promulgué en 1996 et aux indemnités relatives aux risques de contagion ont été satisfaites ».Il est utile de rappeler que les médecins résidents sont en grève maintenant depuis plus d'une semaine et qu'ils ont organisé de très nombreux sit-in depuis plus d'un mois maintenant, dont le dernier mercredi dernier devant la Présidence à El-Mouradia. Les délégués des médecins, qui ont tenu à transmettre un courrier au président de la République disent qu'ils n'ont pas été reçus. « Nous ne savons pas encore si notre courrier, adressé au premier magistrat du pays, lui a été réellement transmis. On nous a juste dit que la présidence ne reçoit plus de délégations », nous a affirmé le docteur Zirizère. En réponse aux déclarations du ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès parlant de l'illégalité de la grève des médecins résidents, ces derniers sont toujours aussi déterminés à « maintenir leur grève illimitée jusqu'à satisfaction totale de leurs revendications et sans faire la moindre concession », nous dira le docteur Zirizère, abordé hier à l'hôpital Mustapha-Pacha à Alger. Les médecins résidents sont toujours aussi nombreux à exprimer leur ras-le bol face à cette situation de blocage. « Ould Abbès dit que les décisions concernant l'abrogation des lois du service civil et du service militaire ne relève pas de ses prérogatives, qu'il laisse alors le premier magistrat du pays, à qui on s'est adressé mercredi dernier, de prendre les décisions », nous diront les médecins résidents. Il faut rappeler que la justice a promulgué, selon le ministre, le 6 avril dernier, une ordonnance en référé confirmant « le caractère illégal de la grève des médecins résidents ». Une mesure qui ne semble pas du tout ébranler les grévistes qui ont pour principale revendication l'abrogation du service civil une revendication dont la satisfaction conditionne la fin de leur grève. « La tutelle savait dès le début que cette revendication est principale pour nous notre grève est tenue principalement pour ce point et si le ministère est catégorique dans sa décision de la non abrogation du service civil, les médecins eux aussi resteront sur leur position le temps qu'il faudra », affirme le docteur Abderahmane, un médecin résident interrogé au même CHU Mustapha-Pacha à Alger. Il faut rappeler aussi que le ministre avait appelé, mercredi dernier, les médecins résidents à la raison les invitant à regagner leurs postes et à poursuivre leur dialogue avec le ministère. Il a affirmé « que la grève a touché dix wilayas disposant de CHU » soulignant que « les revendications liées à la révision du statut de la profession promulgué en 1996 et aux indemnités relatives aux risques de contagion ont été satisfaites ».Il est utile de rappeler que les médecins résidents sont en grève maintenant depuis plus d'une semaine et qu'ils ont organisé de très nombreux sit-in depuis plus d'un mois maintenant, dont le dernier mercredi dernier devant la Présidence à El-Mouradia. Les délégués des médecins, qui ont tenu à transmettre un courrier au président de la République disent qu'ils n'ont pas été reçus. « Nous ne savons pas encore si notre courrier, adressé au premier magistrat du pays, lui a été réellement transmis. On nous a juste dit que la présidence ne reçoit plus de délégations », nous a affirmé le docteur Zirizère.