Les médecins résidents ont été encore très nombreux hier à participer au deuxième sit-in devant la Présidence, après celui de mercredi dernier en réponse à l'appel du Collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA). Et cela dans l'objectif de «faire entendre leurs voix», après que la tutelle a obtenu une décision de la justice sur «l'illégalité» de leur grève qui dure pourtant depuis plus de trois semaines maintenant. Malgré cette décision, les médecins semblent, encore plus que jamais, décidés à obtenir tous leurs droits. Tous avec un carton rouge à la main, les médecins résidents attendent toujours que leur délégation soit reçue par la Présidence pour qu'elle puisse remettre un courrier au président de la République. Une tentative qui a pourtant échoué durant le premier sit-in de mercredi dernier. « Nous organisons, aujourd'hui, encore une fois, un sit-in devant le siège de la Présidence après l'échec des négociations avec les deux tutelles, à savoir la Santé et l'Enseignement supérieur», nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, un des délégués des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. Il faut dire que les médecins résidents ont été très nombreux à rappeler «n'avoir plus peur d'aucune sanction et qu'ils continueront à s'exprimer jusqu'à satisfaction totale et sans condition de toutes leurs revendications». Il est important de rappeler que les médecins résidents envisagent «une démission collective des 7.000 médecins résidents à travers le pays comme dernier recours en cas de non satisfaction de leurs doléances. Les médecins résidents ont été encore très nombreux hier à participer au deuxième sit-in devant la Présidence, après celui de mercredi dernier en réponse à l'appel du Collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA). Et cela dans l'objectif de «faire entendre leurs voix», après que la tutelle a obtenu une décision de la justice sur «l'illégalité» de leur grève qui dure pourtant depuis plus de trois semaines maintenant. Malgré cette décision, les médecins semblent, encore plus que jamais, décidés à obtenir tous leurs droits. Tous avec un carton rouge à la main, les médecins résidents attendent toujours que leur délégation soit reçue par la Présidence pour qu'elle puisse remettre un courrier au président de la République. Une tentative qui a pourtant échoué durant le premier sit-in de mercredi dernier. « Nous organisons, aujourd'hui, encore une fois, un sit-in devant le siège de la Présidence après l'échec des négociations avec les deux tutelles, à savoir la Santé et l'Enseignement supérieur», nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, un des délégués des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. Il faut dire que les médecins résidents ont été très nombreux à rappeler «n'avoir plus peur d'aucune sanction et qu'ils continueront à s'exprimer jusqu'à satisfaction totale et sans condition de toutes leurs revendications». Il est important de rappeler que les médecins résidents envisagent «une démission collective des 7.000 médecins résidents à travers le pays comme dernier recours en cas de non satisfaction de leurs doléances.