Le tribunal près le Pôle judiciaire spécialisé d'Oran a rejeté, hier, une demande de mise en liberté provisoire formulée par les avocats de la défense d'un ex-responsable de Sonatrach poursuivi pour "violation de la loi régissant la passation des marchés publics". Le mis en cause, en l'occurrence Abdelhafid Feghouli, occupait à la date des faits le poste de vice-président chargé de l'activité Aval du groupe Sonatrach. Deux autres personnes, poursuivies dans le cadre de cette même affaire, ont également vu leur demande de mise en liberté provisoire rejetée. Leur procès, qui devait se tenir hier, a été reporté au 27 avril à la demande des avocats de la défense invoquant "l'absence de témoins-clés". Ce dossier implique deux autres personnes sous contrôle judiciaire, dont l'ex-PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane. Les prévenus avaient été arrêtés en décembre 2010 suite à une enquête révélant la non-conformité de certains marchés conclus en 2007 et 2008 avec une société de droit algérien, dont un portant sur la réalisation d'une station de stockage d'azote. Selon l'accusation, l'illégalité de la procédure suivie par les mis en cause réside notamment dans leur recours au mode de passation dit "de gré à gré". Le tribunal près le Pôle judiciaire spécialisé d'Oran a rejeté, hier, une demande de mise en liberté provisoire formulée par les avocats de la défense d'un ex-responsable de Sonatrach poursuivi pour "violation de la loi régissant la passation des marchés publics". Le mis en cause, en l'occurrence Abdelhafid Feghouli, occupait à la date des faits le poste de vice-président chargé de l'activité Aval du groupe Sonatrach. Deux autres personnes, poursuivies dans le cadre de cette même affaire, ont également vu leur demande de mise en liberté provisoire rejetée. Leur procès, qui devait se tenir hier, a été reporté au 27 avril à la demande des avocats de la défense invoquant "l'absence de témoins-clés". Ce dossier implique deux autres personnes sous contrôle judiciaire, dont l'ex-PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane. Les prévenus avaient été arrêtés en décembre 2010 suite à une enquête révélant la non-conformité de certains marchés conclus en 2007 et 2008 avec une société de droit algérien, dont un portant sur la réalisation d'une station de stockage d'azote. Selon l'accusation, l'illégalité de la procédure suivie par les mis en cause réside notamment dans leur recours au mode de passation dit "de gré à gré".