C'est au palais de la culture Moufdi-Zakaria à Alger que s'est tenue la conférence de presse de la 14e édition du Salon international du médicament et de l'équipement médical (Simem). Pour cette année 2011, les 246 firmes dont 190 étrangères en provenance de 24 pays exposeront leurs matériels à travers une soixantaine de stands. Près de 7.000 visiteurs, dont la grande majorité est issue du corps médical, sont attendus. Mustafa Chaouche, fondateur du Simem qui a animé la conférence relatera en premier lieu le parcours de ce salon jonché de quelques difficultés mais qui a réussi à durer dans le temps. « Je suis très fier de ce salon » annoncera-t-il. « Chaque année, il est au rendez-vous malgré les nombreux problèmes rencontrés d'année en année durant sa création. On est là et le Simem tient encore. Comme chaque année, la présence des étrangers donne un double résultat. Il y a des partenaires qui viennent vendre leurs produits, ce qui est tout à fait naturel, mais certain d'entre eux cherchent de plus en plus de partenaires qui pourraient non seulement les représenter, mais assurer le service après-vente de leurs produits ». Puis d'expliquer : « Le fait d'avoir un partenaire algérien qui signe des conventions ou des contrats chez le fabricant étranger relève d'une assurance pour le bon fonctionnement de ce matériel qui coûte très cher. Mais rien ne coûte plus cher que la santé », conclura Mustapha Chaouche. En provenance de plus d'une vingtaine de pays, les équipements et les produits médicaux de plus de cent cinquante firmes seront présentés à cette quatorzième édition par une centaine d'exposants. Réservant son accès particulièrement aux professionnels de la santé et bénéficiant de l'environnement idoine du Palais de la culture, le Simem permet ainsi des rencontres de travail de grande qualité entre les exposants et les visiteurs venant de toutes les régions du pays et également de l'étranger. C'est au palais de la culture Moufdi-Zakaria à Alger que s'est tenue la conférence de presse de la 14e édition du Salon international du médicament et de l'équipement médical (Simem). Pour cette année 2011, les 246 firmes dont 190 étrangères en provenance de 24 pays exposeront leurs matériels à travers une soixantaine de stands. Près de 7.000 visiteurs, dont la grande majorité est issue du corps médical, sont attendus. Mustafa Chaouche, fondateur du Simem qui a animé la conférence relatera en premier lieu le parcours de ce salon jonché de quelques difficultés mais qui a réussi à durer dans le temps. « Je suis très fier de ce salon » annoncera-t-il. « Chaque année, il est au rendez-vous malgré les nombreux problèmes rencontrés d'année en année durant sa création. On est là et le Simem tient encore. Comme chaque année, la présence des étrangers donne un double résultat. Il y a des partenaires qui viennent vendre leurs produits, ce qui est tout à fait naturel, mais certain d'entre eux cherchent de plus en plus de partenaires qui pourraient non seulement les représenter, mais assurer le service après-vente de leurs produits ». Puis d'expliquer : « Le fait d'avoir un partenaire algérien qui signe des conventions ou des contrats chez le fabricant étranger relève d'une assurance pour le bon fonctionnement de ce matériel qui coûte très cher. Mais rien ne coûte plus cher que la santé », conclura Mustapha Chaouche. En provenance de plus d'une vingtaine de pays, les équipements et les produits médicaux de plus de cent cinquante firmes seront présentés à cette quatorzième édition par une centaine d'exposants. Réservant son accès particulièrement aux professionnels de la santé et bénéficiant de l'environnement idoine du Palais de la culture, le Simem permet ainsi des rencontres de travail de grande qualité entre les exposants et les visiteurs venant de toutes les régions du pays et également de l'étranger.