Le Comité de développement conjoint FMI-BM a indiqué samedi que les troubles politiques survenus dans certains pays du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord auront des ''conséquences sociales et économiques durables, qui différeront toutefois d'un pays à un autre''. Le Comité de développement conjoint FMI-BM a indiqué samedi que les troubles politiques survenus dans certains pays du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord auront des ''conséquences sociales et économiques durables, qui différeront toutefois d'un pays à un autre''. Le Comité, qui a tenu ses travaux dans le cadre de la réunion de printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington, a salué les interventions rapides et les conseils des deux institutions de Bretton-Woods pour l'appui aux programmes et aux stratégies dans les domaines de l'emploi, des filets de protection sociale, de la gestion budgétaire, de la gouvernance, de la promotion du développement du secteur privé ainsi que dans d'autres domaines cruciaux pour cette région. Il a aussi appelé la BM à renforcer son appui au MENA, en collaborant avec les autorités nationales et les organisations multilatérales, régionales et bilatérales. Chargé des questions relatives au développement, ce comité a affirmé que l'économie mondiale s'était raffermie grâce notamment aux pays en développement, mais que le renchérissement des produits alimentaires et de l'énergie exerce des pressions sur les prix et accroît leur volatilité, ce qui constitue une menace pour les pays en développement dont notamment les couches sociales les plus vulnérables. Par ailleurs, il a observé que les deux tiers des pays en développement sont relativement bien engagés pour atteindre les Objectifs de développement pour le Millénaire (OMD), notant, cependant, que ces progrès sont toutefois inégaux et se sont ralentis dans certaines régions par suite de la crise économique mondiale et de la récente hausse des prix des produits alimentaires et de l'énergie. En ce qui concerne le niveau élevé et la volatilité des prix alimentaires internationaux, le Comité a appelé la Banque mondiale à rechercher des moyens novateurs pour accroître la productivité et les échanges agricoles, améliorer l'accès des agriculteurs aux marchés et renforcer l'investissement privé et la coopération sud-sud. Le Comité, qui a tenu ses travaux dans le cadre de la réunion de printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington, a salué les interventions rapides et les conseils des deux institutions de Bretton-Woods pour l'appui aux programmes et aux stratégies dans les domaines de l'emploi, des filets de protection sociale, de la gestion budgétaire, de la gouvernance, de la promotion du développement du secteur privé ainsi que dans d'autres domaines cruciaux pour cette région. Il a aussi appelé la BM à renforcer son appui au MENA, en collaborant avec les autorités nationales et les organisations multilatérales, régionales et bilatérales. Chargé des questions relatives au développement, ce comité a affirmé que l'économie mondiale s'était raffermie grâce notamment aux pays en développement, mais que le renchérissement des produits alimentaires et de l'énergie exerce des pressions sur les prix et accroît leur volatilité, ce qui constitue une menace pour les pays en développement dont notamment les couches sociales les plus vulnérables. Par ailleurs, il a observé que les deux tiers des pays en développement sont relativement bien engagés pour atteindre les Objectifs de développement pour le Millénaire (OMD), notant, cependant, que ces progrès sont toutefois inégaux et se sont ralentis dans certaines régions par suite de la crise économique mondiale et de la récente hausse des prix des produits alimentaires et de l'énergie. En ce qui concerne le niveau élevé et la volatilité des prix alimentaires internationaux, le Comité a appelé la Banque mondiale à rechercher des moyens novateurs pour accroître la productivité et les échanges agricoles, améliorer l'accès des agriculteurs aux marchés et renforcer l'investissement privé et la coopération sud-sud.