Les travailleurs des communes reviennent à la charge. Ils envisagent, en effet, d'observer deux grèves au courant du mois prochain. Il s'agit du Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP) qui a appelé à une grève nationale le 9 mai prochain, et de la Fédération des collectivités locales et de l'administration affiliée à l'UGTA qui, elle, a appelé à observer une journée de protestation le 12 mai prochain. Les travailleurs des communes reviennent à la charge. Ils envisagent, en effet, d'observer deux grèves au courant du mois prochain. Il s'agit du Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP) qui a appelé à une grève nationale le 9 mai prochain, et de la Fédération des collectivités locales et de l'administration affiliée à l'UGTA qui, elle, a appelé à observer une journée de protestation le 12 mai prochain. La Centrale syndicale qui dénonce « la situation inquiétante des travailleurs des communes et des collectivités locales », est décidée de se mettre de la partie pour exiger la promulgation du statut particulier et du régime indemnitaire ainsi que la permanisation des travailleurs contractuels et temporaires. Le recours à la grève répond à la volonté des sections de wilayas qui avaient sollicité la direction générale de l'UGTA pour observer ce débrayage, et ce, en dépit des assurances du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales qui avait promis de rendre public le plus tôt possible le statut particulier des communaux. De son côté, le Comité national du secteur des communes, en plus de la grève nationale à laquelle il a appelé pour le 9 mai prochain, envisage d'organiser des rassemblements synchronisés dans toutes les wilayas du pays, et ce, chaque jeudi. Aussi, ce syndicat autonome des communaux prévoit-il un sit-in mercredi prochain devant le siège de l'Assemblée populaire communale de Sidi M'hamed dans la capitale, en guise de solidarité avec les travailleurs de cette commune. Outre les revendications d'ordre socioprofessionnel, ce syndicat autonome réclame l'arrêt des intimidations exercées contre des travailleurs des syndicalistes de certaines communes, des atteintes aux libertés syndicales et le droit à la grève ainsi que du mépris affiché par les autorités de tutelle qui refusent d'ouvrir le dialogue avec les représentants des travailleurs des communes. Pour rappel, le Comité national du secteur des communes, affilié au SNAPAP a observé plusieurs débrayages au courant de cette année et l'année dernière également, sans pour autant parvenir à « arracher » les droits des communaux formulés dans une plateforme de revendications. Le recours à cet énième mouvement de protestation se veut une expression de malaise social et des contraintes subies par les travailleurs des assemblées communales. A l'instar des autres secteurs, les travailleurs communaux subissent de plein fouet les retombées de la cherté de la vie conjuguée avec la faiblesse de leurs traitements mensuels, ce qui érode de plus en plus leur pouvoir d'achat et dégrade leur situation socioprofessionnelle. La Centrale syndicale qui dénonce « la situation inquiétante des travailleurs des communes et des collectivités locales », est décidée de se mettre de la partie pour exiger la promulgation du statut particulier et du régime indemnitaire ainsi que la permanisation des travailleurs contractuels et temporaires. Le recours à la grève répond à la volonté des sections de wilayas qui avaient sollicité la direction générale de l'UGTA pour observer ce débrayage, et ce, en dépit des assurances du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales qui avait promis de rendre public le plus tôt possible le statut particulier des communaux. De son côté, le Comité national du secteur des communes, en plus de la grève nationale à laquelle il a appelé pour le 9 mai prochain, envisage d'organiser des rassemblements synchronisés dans toutes les wilayas du pays, et ce, chaque jeudi. Aussi, ce syndicat autonome des communaux prévoit-il un sit-in mercredi prochain devant le siège de l'Assemblée populaire communale de Sidi M'hamed dans la capitale, en guise de solidarité avec les travailleurs de cette commune. Outre les revendications d'ordre socioprofessionnel, ce syndicat autonome réclame l'arrêt des intimidations exercées contre des travailleurs des syndicalistes de certaines communes, des atteintes aux libertés syndicales et le droit à la grève ainsi que du mépris affiché par les autorités de tutelle qui refusent d'ouvrir le dialogue avec les représentants des travailleurs des communes. Pour rappel, le Comité national du secteur des communes, affilié au SNAPAP a observé plusieurs débrayages au courant de cette année et l'année dernière également, sans pour autant parvenir à « arracher » les droits des communaux formulés dans une plateforme de revendications. Le recours à cet énième mouvement de protestation se veut une expression de malaise social et des contraintes subies par les travailleurs des assemblées communales. A l'instar des autres secteurs, les travailleurs communaux subissent de plein fouet les retombées de la cherté de la vie conjuguée avec la faiblesse de leurs traitements mensuels, ce qui érode de plus en plus leur pouvoir d'achat et dégrade leur situation socioprofessionnelle.