Le Conseil national du syndicat des communaux décidera de la date de la grève qui surviendra, dans tous les cas, avant la fin de l'année en cours. Il s'agit de la troisième grève entreprise par le syndicat des communaux cette année, synonyme d'un malaise grandissant qui ronge cette corporation qui regroupe quelque 500.000 fonctionnaires. Le Conseil national du syndicat des communaux décidera de la date de la grève qui surviendra, dans tous les cas, avant la fin de l'année en cours. Il s'agit de la troisième grève entreprise par le syndicat des communaux cette année, synonyme d'un malaise grandissant qui ronge cette corporation qui regroupe quelque 500.000 fonctionnaires. Les fonctionnaires communaux reviennent à la charge et envisagent de reprendre le débrayage vers la fin de l'année en cours. « Les assemblées générales des sections dans les différentes wilayas du pays ont consenti à reprendre la protestation comme seul moyen de faire entendre nos revendications, après l'échec des tentatives de dialogue avec le ministère de tutelle », a affirmé, hier, Ali Yahia, président du Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap). Le Conseil national du syndicat des communaux, qui se tiendra à la fin de cette semaine ou au plus tard au début de la semaine prochaine, selon notre interlocuteur, décidera de la date de la grève qui surviendra, dans tous les cas, avant la fin de l'année en cours. Il s'agit de la troisième grève entreprise par le syndicat des communaux cette année, synonyme d'un malaise grandissant qui ronge cette corporation qui regroupe quelque 500.000 fonctionnaires. «Aucune réponse n'a été communiquée par rapport à nos revendications, et pendant ce temps-là le fonctionnaire communal continue à manger son pain noir, son pouvoir d'achat s'érodant chaque jour un peu plus», s'est indigné Ali Yahia, tout en indiquant que les travailleurs sont mobilisés dans toutes les wilayas du pays, afin de faire aboutir leurs revendications. Le statut particulier et le régime indemnitaire figurent parmi les plus importantes doléances soulevées par le syndicat des communaux. A cela s'ajoutent la dégradation du pouvoir d'achat de plus en plus laminé des travailleurs de ce secteur, la détérioration de leurs conditions socioprofessionnelles et les restrictions imposées à l'activité syndicale, a expliqué notre interlocuteur. Ce dernier, au nom des travailleurs du secteur, revendique également, à l'instar des autres syndicats de la Fonction publique, l'abrogation de l'article 87-bis du Code de travail, relatif aux traitement mensuels des fonctionnaires et au régime indemnitaire. Sur ce dernier point, le président du CNSC déplore l'exclusion des travailleurs dans son élaboration, de même que le statut particulier des communaux que le ministère de tutelle ne communique toujours pas. Pour ce faire, le syndicat des communaux ne compte pas baisser les bras, mieux, il envisage de généraliser la protestation et durcir sa position jusqu'à ce que la tutelle daigne les inviter à la table des négociations et réponde favorablement à l'ensemble de leurs revendications. « Nous allons poursuivre le mouvement jusqu'à satisfaction totale de nos doléances, les pouvoirs publics en sont avertis et les travailleurs communaux mobilisés », a conclu le président du CNSC. Les fonctionnaires communaux reviennent à la charge et envisagent de reprendre le débrayage vers la fin de l'année en cours. « Les assemblées générales des sections dans les différentes wilayas du pays ont consenti à reprendre la protestation comme seul moyen de faire entendre nos revendications, après l'échec des tentatives de dialogue avec le ministère de tutelle », a affirmé, hier, Ali Yahia, président du Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap). Le Conseil national du syndicat des communaux, qui se tiendra à la fin de cette semaine ou au plus tard au début de la semaine prochaine, selon notre interlocuteur, décidera de la date de la grève qui surviendra, dans tous les cas, avant la fin de l'année en cours. Il s'agit de la troisième grève entreprise par le syndicat des communaux cette année, synonyme d'un malaise grandissant qui ronge cette corporation qui regroupe quelque 500.000 fonctionnaires. «Aucune réponse n'a été communiquée par rapport à nos revendications, et pendant ce temps-là le fonctionnaire communal continue à manger son pain noir, son pouvoir d'achat s'érodant chaque jour un peu plus», s'est indigné Ali Yahia, tout en indiquant que les travailleurs sont mobilisés dans toutes les wilayas du pays, afin de faire aboutir leurs revendications. Le statut particulier et le régime indemnitaire figurent parmi les plus importantes doléances soulevées par le syndicat des communaux. A cela s'ajoutent la dégradation du pouvoir d'achat de plus en plus laminé des travailleurs de ce secteur, la détérioration de leurs conditions socioprofessionnelles et les restrictions imposées à l'activité syndicale, a expliqué notre interlocuteur. Ce dernier, au nom des travailleurs du secteur, revendique également, à l'instar des autres syndicats de la Fonction publique, l'abrogation de l'article 87-bis du Code de travail, relatif aux traitement mensuels des fonctionnaires et au régime indemnitaire. Sur ce dernier point, le président du CNSC déplore l'exclusion des travailleurs dans son élaboration, de même que le statut particulier des communaux que le ministère de tutelle ne communique toujours pas. Pour ce faire, le syndicat des communaux ne compte pas baisser les bras, mieux, il envisage de généraliser la protestation et durcir sa position jusqu'à ce que la tutelle daigne les inviter à la table des négociations et réponde favorablement à l'ensemble de leurs revendications. « Nous allons poursuivre le mouvement jusqu'à satisfaction totale de nos doléances, les pouvoirs publics en sont avertis et les travailleurs communaux mobilisés », a conclu le président du CNSC.