L'armée fidèle au régime libyen poursuivait, lundi, son offensive à Misrata dans l'est de la Libye en vue de reprendre le contrôle de cette ville aux mains des rebelles, appelés vendredi dernier par les autorités à se rendre en échange d'une amnistie, une offre qui expirant aujourd'hui. Pour le moment, les rebelles qui réclament depuis la mi-février le départ du colonel Kadhafi, n'ont pas réagi à cette offre. Dans la matinée, des chars des forces loyales au dirigeant libyen, le colonel Mouammar Kadhafi tentaient d'entrer dans Misrata, à 200 km à l'est de la capitale Tripoli, au lendemain de la mort de six personnes dans cette ville. Dimanche, le port de Misrata, essentiel pour l'approvisionnement en armes et en aide humanitaire de la ville dont tous les accès terrestres sont coupés, avait subi un intense bombardement des forces fidèles au régime dans lequel deux rebelles avaient été tués, selon des témoins. Cette offensive se poursuit alors que le régime libyen ne cesse d'appeler à un cessez-le-feu en vue d'une sortie de crise dans le pays. Parallèlement aux tentatives du régime libyen de chasser les rebelles de Misrata, assiégée depuis deux mois, l'Otan continuait, hier encore, ses frappes lancées le 19 mars, notamment à Tripoli en dépit de la condamnation des autorités libyennes d'un bombardement aérien de la coalition qui a tué un des fils et trois petis-enfants du dirigeant libyen. L'armée fidèle au régime libyen poursuivait, lundi, son offensive à Misrata dans l'est de la Libye en vue de reprendre le contrôle de cette ville aux mains des rebelles, appelés vendredi dernier par les autorités à se rendre en échange d'une amnistie, une offre qui expirant aujourd'hui. Pour le moment, les rebelles qui réclament depuis la mi-février le départ du colonel Kadhafi, n'ont pas réagi à cette offre. Dans la matinée, des chars des forces loyales au dirigeant libyen, le colonel Mouammar Kadhafi tentaient d'entrer dans Misrata, à 200 km à l'est de la capitale Tripoli, au lendemain de la mort de six personnes dans cette ville. Dimanche, le port de Misrata, essentiel pour l'approvisionnement en armes et en aide humanitaire de la ville dont tous les accès terrestres sont coupés, avait subi un intense bombardement des forces fidèles au régime dans lequel deux rebelles avaient été tués, selon des témoins. Cette offensive se poursuit alors que le régime libyen ne cesse d'appeler à un cessez-le-feu en vue d'une sortie de crise dans le pays. Parallèlement aux tentatives du régime libyen de chasser les rebelles de Misrata, assiégée depuis deux mois, l'Otan continuait, hier encore, ses frappes lancées le 19 mars, notamment à Tripoli en dépit de la condamnation des autorités libyennes d'un bombardement aérien de la coalition qui a tué un des fils et trois petis-enfants du dirigeant libyen.