Les raids aériens menés par l'Otan en Libye, sous mandat des Nations unies, continuent à faire des victimes parmi la population civile libyenne, alors que la situation humanitaire est jugée critique, en raison des difficultés d'accès de l'aide alimentaire aux zones de conflit. Les raids aériens menés par l'Otan en Libye, sous mandat des Nations unies, continuent à faire des victimes parmi la population civile libyenne, alors que la situation humanitaire est jugée critique, en raison des difficultés d'accès de l'aide alimentaire aux zones de conflit. L'Otan, qui a lancé depuis le 19 mars derniers ces opérations en Libye conformément à la résolution onusienne 1973, censée "protéger la population civile", a accentué ces derniers jours la cadence de ses frappes, en visant notamment les infrastructures du gouvernement libyen et les quartiers résidentiels. Au total huit personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées jeudi dernier dans des bombardements de l'Otan. Une journée particulièrement sanglante en contradiction avec les objectifs initiaux fixés par l'Otan et par la coalition internationale, d'épargner la population civile et de ne viser que les cibles militaires. 6 personnes ont été tuées et 10 autres blessées dans des frappes qui ont visé le complexe résidentiel du colonel El-Gueddafi à Tripoli, a indiqué un responsable au sein du gouvernement libyen. Selon ce même responsable et un autre membre du régime libyen, toutes les victimes des ces attaques étaient des civils. Trois autres personnes, dont deux journalistes et leur guide, ont été également tuées et 27 blessées dans de nouvelles frappes aériennes de l'Alliance menées dans l'après-midi sur des édifices du gouvernements et la résidence de Kadhafi à Bab al-Azaziya, dans la capitale libyenne. Les reporters Ali al-Graw et Ismail al-Charif, sont morts alors qu'ils filmaient des "centaines de gens fêtant leur résistance à l'Otan", a affirmé un responsable libyen, Moussa Ibrahim, lors d'un ce point de presse organisé près d'un large cratère provoqué par une frappe. Durant la journée d'hier encore, au moins 16 personnes ont été tuées dans une frappe des forces de l'Otan à Brega (Est), ville sous le contrôle des forces loyales au colonel Mouammaar Kadhafi, a rapporté la Télévision d'Etat libyenne. Selon cette dernière, cette frappe visait une maison dans la ville, sans donner plus de détails. Un responsable militaire libyen a confirmé cette information, en précisant que la maison ciblée par l'Otan réunissait des chefs de tribu et des dignitaires locaux. Par ailleurs, la ville de Tajouraa (15 km à l'est de la capitale Tripoli), a été également la cible de bombardements des forces de l'Otan, mais sans faire de victimes, selon des médias. L'Otan, qui a lancé depuis le 19 mars derniers ces opérations en Libye conformément à la résolution onusienne 1973, censée "protéger la population civile", a accentué ces derniers jours la cadence de ses frappes, en visant notamment les infrastructures du gouvernement libyen et les quartiers résidentiels. Au total huit personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées jeudi dernier dans des bombardements de l'Otan. Une journée particulièrement sanglante en contradiction avec les objectifs initiaux fixés par l'Otan et par la coalition internationale, d'épargner la population civile et de ne viser que les cibles militaires. 6 personnes ont été tuées et 10 autres blessées dans des frappes qui ont visé le complexe résidentiel du colonel El-Gueddafi à Tripoli, a indiqué un responsable au sein du gouvernement libyen. Selon ce même responsable et un autre membre du régime libyen, toutes les victimes des ces attaques étaient des civils. Trois autres personnes, dont deux journalistes et leur guide, ont été également tuées et 27 blessées dans de nouvelles frappes aériennes de l'Alliance menées dans l'après-midi sur des édifices du gouvernements et la résidence de Kadhafi à Bab al-Azaziya, dans la capitale libyenne. Les reporters Ali al-Graw et Ismail al-Charif, sont morts alors qu'ils filmaient des "centaines de gens fêtant leur résistance à l'Otan", a affirmé un responsable libyen, Moussa Ibrahim, lors d'un ce point de presse organisé près d'un large cratère provoqué par une frappe. Durant la journée d'hier encore, au moins 16 personnes ont été tuées dans une frappe des forces de l'Otan à Brega (Est), ville sous le contrôle des forces loyales au colonel Mouammaar Kadhafi, a rapporté la Télévision d'Etat libyenne. Selon cette dernière, cette frappe visait une maison dans la ville, sans donner plus de détails. Un responsable militaire libyen a confirmé cette information, en précisant que la maison ciblée par l'Otan réunissait des chefs de tribu et des dignitaires locaux. Par ailleurs, la ville de Tajouraa (15 km à l'est de la capitale Tripoli), a été également la cible de bombardements des forces de l'Otan, mais sans faire de victimes, selon des médias.