Le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, M. Ahmed Benhelli, a affirmé, hier, qu'il existait trois scénarii pour la désignation du nouveau secrétaire général en remplacement de M. Amr Moussa lors de la réunion extraordinaire du conseil des ministres arabes des Affaires étrangères prévue aujourd'hui dimanche avec la participation de M. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, rapporte l'APS. Le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, M. Ahmed Benhelli, a affirmé, hier, qu'il existait trois scénarii pour la désignation du nouveau secrétaire général en remplacement de M. Amr Moussa lors de la réunion extraordinaire du conseil des ministres arabes des Affaires étrangères prévue aujourd'hui dimanche avec la participation de M. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, rapporte l'APS. Dans une déclaration à la presse, M. Benhelli a indiqué que pour les deux candidatures au poste de secrétaire général à savoir l'Egyptien Mustapha al-Faqi et le Qatari Abderrahmane al-Atia, le premier scénario consiste en la désignation sur la base d'un consensus conformément à la charte de l'organisation panarabe depuis son amendement lors du sommet d'Alger en 2005. En cas d'absence de consensus, l'option du vote sera retenue et le candidat candidat devra obtenir deux tiers des voix "14 membres depuis le gel des activités de la Libye". Le troisième scénario est, quant à lui, le report de la question qui n'a pu être tranchée par consensus. Il a tenu à rappeler que la désignation du secrétaire général de la Ligue s'est faite tout au long des soixante années d'existence de la Ligue arabe sur consensus. La Ligue arabe avait reçu des mandats des dirigeants arabes aux chefs des délégations qui participeront à la réunion extraordinaire pour désigner le premier responsable de l'organisation et "éviter tout problème juridique lors de la désignation du secrétaire général d'autant que la désignation du secrétaire général relève des prérogatives des dirigeants arabes tel que stipulé dans la charte de l'organisation". M. Benhelli a ajouté, d'autre part, que plusieurs questions figurent à l'ordre du jour de la réunion ministérielle dont la demande de la Palestine liée l'octroi de l'aide financière annuelle à l'Autorité palestinienne décidée lors du sommet de Beyrouth en 2002 pour un montant de 660 millions de dollars par an soit 55 millions par mois. Les ministres examineront, en outre, la demande de l'Egypte relative à la désignation par le Secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki moon d'un coordinateur spécial pour la préparation de la conférence internationale sur la dénucléarisation de la région du Moyen-Orient en application de la décision de la conférence sur la révision du traité de non prolifération nucléaire (TNT) tenue l'année dernière à New York. Cette demande, a précisé M. Benhalli, intervient suite au retard accusé dans l'application de la décision internationale y afférant. Les ministres se concerteront aussi sur la prochaine présidence de l'Union pour la Méditerranée (UPM) en remplacement de l'Egypte et examineront la demande du Maroc relative au soutien de son candidat au poste de secrétaire général de l'UPM en remplacement du Jordanien démissionnaire. Dans une déclaration à la presse, M. Benhelli a indiqué que pour les deux candidatures au poste de secrétaire général à savoir l'Egyptien Mustapha al-Faqi et le Qatari Abderrahmane al-Atia, le premier scénario consiste en la désignation sur la base d'un consensus conformément à la charte de l'organisation panarabe depuis son amendement lors du sommet d'Alger en 2005. En cas d'absence de consensus, l'option du vote sera retenue et le candidat candidat devra obtenir deux tiers des voix "14 membres depuis le gel des activités de la Libye". Le troisième scénario est, quant à lui, le report de la question qui n'a pu être tranchée par consensus. Il a tenu à rappeler que la désignation du secrétaire général de la Ligue s'est faite tout au long des soixante années d'existence de la Ligue arabe sur consensus. La Ligue arabe avait reçu des mandats des dirigeants arabes aux chefs des délégations qui participeront à la réunion extraordinaire pour désigner le premier responsable de l'organisation et "éviter tout problème juridique lors de la désignation du secrétaire général d'autant que la désignation du secrétaire général relève des prérogatives des dirigeants arabes tel que stipulé dans la charte de l'organisation". M. Benhelli a ajouté, d'autre part, que plusieurs questions figurent à l'ordre du jour de la réunion ministérielle dont la demande de la Palestine liée l'octroi de l'aide financière annuelle à l'Autorité palestinienne décidée lors du sommet de Beyrouth en 2002 pour un montant de 660 millions de dollars par an soit 55 millions par mois. Les ministres examineront, en outre, la demande de l'Egypte relative à la désignation par le Secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki moon d'un coordinateur spécial pour la préparation de la conférence internationale sur la dénucléarisation de la région du Moyen-Orient en application de la décision de la conférence sur la révision du traité de non prolifération nucléaire (TNT) tenue l'année dernière à New York. Cette demande, a précisé M. Benhalli, intervient suite au retard accusé dans l'application de la décision internationale y afférant. Les ministres se concerteront aussi sur la prochaine présidence de l'Union pour la Méditerranée (UPM) en remplacement de l'Egypte et examineront la demande du Maroc relative au soutien de son candidat au poste de secrétaire général de l'UPM en remplacement du Jordanien démissionnaire.