Les consultations politiques autour des réformes annoncées par le président de la République ont commencé, hier, dans les ex-locaux du ministère des Affaires étrangères à El-Mouradia. Les consultations politiques autour des réformes annoncées par le président de la République ont commencé, hier, dans les ex-locaux du ministère des Affaires étrangères à El-Mouradia. Au premier jour de ces consultations, le président de l'Instance habilitée, Abdelkader Bensalah, assisté par le général à la retraite Mohamed Touati et Mohamed Ali Boughazi, conseillés auprès de la présidence a reçu une délégation du Mouvement Islah conduite par son secrétaire général, Djamel Benabdeslam. Ce dernier a déclaré à l'issue de l'audience, que « le Mouvement Islah a soumis des propositions à propos de son initiative politique et d'autres suggestions nécessaires pour compléter le processus des réformes ». Lors d'un point de presse expéditif, le SG de cette formation politique a indiqué qu'il avait soumis à l'Instance de concertations sur les réformes politiques « des mécanismes concrets et pratiques de nature à promouvoir le dialogue sur les réformes politiques et renforcer les garanties pour la réussite de ces réformes ». Il a également demandé le retrait du nouveau Code communal, sans toutefois donner de plus amples détails sur ses pourparlers à l'audience. Dans sa déclaration liminaire à l'entame des pourparlers, le président de l'Instance de concertations sur les réformes politiques, Abdelkader Bensalah, a insisté sur le caractère indépendant et neutre des consultations menées autour des réformes politiques initiées par le chef de l'Etat. « Aucun acteur politique ne sera exclu des consultations si ce n'est, comme l'a dit le président de la République, les tenants de la violence que le peuple a exclu de la vie politique », a-t-il précisé dans un document remis à la presse, dans une allusion claire à l'exclusion des animateurs du FIS dissous de ces consultations. Et d'ajouter qu' « aucune limite n'est posée au champ de la consultation, si ce n'est le respect des constantes nationales et des composantes de notre identité nationale », soutenant au passage que la réussite des réformes est tributaire du concours de tous les acteurs politiques. « Aucun projet de texte ne vous est imposé », a rassuré Bensalah, en guise de garantie de rapporter fidèlement « les propositions, analyses et points de vues » dans son rapport à remettre au chef de l'Etat. Affirmant par ailleurs qu' « il s'agit du parachèvement de l'entreprise du renouveau national après la restauration de la paix et la relance de l'économie », Abdelkader Bensalah, tout en citant « les mutations importantes », qui s'opèrent dans « notre environnement régional », a expliqué que le peuple algérien « dans sa sagesse, a opté pour un changement profond, mais par la voie pacifique ». La priorité des consultations sera donnée à la révision constitutionnelle, s'en suivront après les différents textes législatifs objet de la consultation, selon le planning de travail arrêté par l'Instance. Au premier jour de ces consultations, le président de l'Instance habilitée, Abdelkader Bensalah, assisté par le général à la retraite Mohamed Touati et Mohamed Ali Boughazi, conseillés auprès de la présidence a reçu une délégation du Mouvement Islah conduite par son secrétaire général, Djamel Benabdeslam. Ce dernier a déclaré à l'issue de l'audience, que « le Mouvement Islah a soumis des propositions à propos de son initiative politique et d'autres suggestions nécessaires pour compléter le processus des réformes ». Lors d'un point de presse expéditif, le SG de cette formation politique a indiqué qu'il avait soumis à l'Instance de concertations sur les réformes politiques « des mécanismes concrets et pratiques de nature à promouvoir le dialogue sur les réformes politiques et renforcer les garanties pour la réussite de ces réformes ». Il a également demandé le retrait du nouveau Code communal, sans toutefois donner de plus amples détails sur ses pourparlers à l'audience. Dans sa déclaration liminaire à l'entame des pourparlers, le président de l'Instance de concertations sur les réformes politiques, Abdelkader Bensalah, a insisté sur le caractère indépendant et neutre des consultations menées autour des réformes politiques initiées par le chef de l'Etat. « Aucun acteur politique ne sera exclu des consultations si ce n'est, comme l'a dit le président de la République, les tenants de la violence que le peuple a exclu de la vie politique », a-t-il précisé dans un document remis à la presse, dans une allusion claire à l'exclusion des animateurs du FIS dissous de ces consultations. Et d'ajouter qu' « aucune limite n'est posée au champ de la consultation, si ce n'est le respect des constantes nationales et des composantes de notre identité nationale », soutenant au passage que la réussite des réformes est tributaire du concours de tous les acteurs politiques. « Aucun projet de texte ne vous est imposé », a rassuré Bensalah, en guise de garantie de rapporter fidèlement « les propositions, analyses et points de vues » dans son rapport à remettre au chef de l'Etat. Affirmant par ailleurs qu' « il s'agit du parachèvement de l'entreprise du renouveau national après la restauration de la paix et la relance de l'économie », Abdelkader Bensalah, tout en citant « les mutations importantes », qui s'opèrent dans « notre environnement régional », a expliqué que le peuple algérien « dans sa sagesse, a opté pour un changement profond, mais par la voie pacifique ». La priorité des consultations sera donnée à la révision constitutionnelle, s'en suivront après les différents textes législatifs objet de la consultation, selon le planning de travail arrêté par l'Instance.