De nombreux bureaux de poste, du moins ceux d'Alger-Centre, étaient complètement paralysés. Après plusieurs actions menées durant le mois d'avril dernier, les fonctionnaires d'Algérie Poste renouent avec la grève cette fois-ci, précisent-ils, pour une durée «illimitée». Les postiers revendiquent de meilleures conditions socio-prefessionnelles ils dénoncent, en outre, des conditions de travail qui se dégradent de plus en plus et la non application de la nouvelle grille des salaires et du régime indemnitaire. « Nous n'avons jusqu'à aujourd'hui rien reçu en dehors de multiples promesses faites en avril dernier, mais depuis rien ni augmentation de salaire ni régime indemnitaire, n'ont été concrétisés », nous affirme l'un des grévistes au sein de la Grande Poste située au cœur de la capitale. Il faut noter, par ailleurs, que Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l'information, a affirmé à maintes reprises, « si les fonctionnaires de la poste veulent des augmentations de salaires ils n'ont qu'a prendre leurs responsabilités » faisant ainsi allusion à la rentabilité puisque, toujours selon le premier responsable du secteur ; « Algérie Poste n'est pas la Fonction publique, elle puise ses fonds financiers de son propre rendement ». Benhamadi, a aussi indiqué qu'il était « inconcevable d'observer une grève et de demander de revoir la grille de salaires le lendemain ». Rappelant que la nouvelle grille de salaires a été adoptée en mai 2010 avec une augmentation de salaire estimée à 25%, incluant les indemnités. Contrairement aux fonctionnaires, qui dénoncent leurs « conditions de travail médiocres», le ministre, lui, estime que ces mêmes conditions « sont très bonnes comparativement avec les fonctionnaires d'autres secteurs ». Il est important de noter que cette année a connu un recrutement massif au sein d'Algérie Poste et l'ouverture de plusieurs nouveaux bureaux de poste à travers le pays. De nombreux bureaux de poste, du moins ceux d'Alger-Centre, étaient complètement paralysés. Après plusieurs actions menées durant le mois d'avril dernier, les fonctionnaires d'Algérie Poste renouent avec la grève cette fois-ci, précisent-ils, pour une durée «illimitée». Les postiers revendiquent de meilleures conditions socio-prefessionnelles ils dénoncent, en outre, des conditions de travail qui se dégradent de plus en plus et la non application de la nouvelle grille des salaires et du régime indemnitaire. « Nous n'avons jusqu'à aujourd'hui rien reçu en dehors de multiples promesses faites en avril dernier, mais depuis rien ni augmentation de salaire ni régime indemnitaire, n'ont été concrétisés », nous affirme l'un des grévistes au sein de la Grande Poste située au cœur de la capitale. Il faut noter, par ailleurs, que Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l'information, a affirmé à maintes reprises, « si les fonctionnaires de la poste veulent des augmentations de salaires ils n'ont qu'a prendre leurs responsabilités » faisant ainsi allusion à la rentabilité puisque, toujours selon le premier responsable du secteur ; « Algérie Poste n'est pas la Fonction publique, elle puise ses fonds financiers de son propre rendement ». Benhamadi, a aussi indiqué qu'il était « inconcevable d'observer une grève et de demander de revoir la grille de salaires le lendemain ». Rappelant que la nouvelle grille de salaires a été adoptée en mai 2010 avec une augmentation de salaire estimée à 25%, incluant les indemnités. Contrairement aux fonctionnaires, qui dénoncent leurs « conditions de travail médiocres», le ministre, lui, estime que ces mêmes conditions « sont très bonnes comparativement avec les fonctionnaires d'autres secteurs ». Il est important de noter que cette année a connu un recrutement massif au sein d'Algérie Poste et l'ouverture de plusieurs nouveaux bureaux de poste à travers le pays.