«Le tabac nuit à la santé», «le tabac provoque le cancer» ou «le tabac tue» sont des inscriptions connues de tous les fumeurs algériens puisqu'elles sont bien mises en évidence sur les paquets de cigarettes. «Le tabac nuit à la santé», «le tabac provoque le cancer» ou «le tabac tue» sont des inscriptions connues de tous les fumeurs algériens puisqu'elles sont bien mises en évidence sur les paquets de cigarettes. C'est une règle universelle. Des inscriptions imposées aux fabricants de cigarettes qui sont ainsi contraints de les mentionner au risque de s'exposer à de lourdes sanctions car on ne joue pas avec la santé des gens. C'est que le tabac tue chaque année des millions de personnes à travers le monde et l'Algérie n'est pas épargnée, loin s'en faut. Les chiffres des morts sont ahurissants et vont croissant d'année en année. Cette courbe ascendante est la preuve concrète que la lutte contre ce fléau ravageur en Algérie tend à marquer le pas. Les pouvoirs publics sont pointés du doigt. Ils font peu ou prou pour contrer la progression de ce fléau qui touche même des écoliers en bas âge. En effet et cette responsabilité n'incombe pas exclusivement au ministère de la Santé, les pouvoir publics font souvent preuve de laxisme puisqu'ils n'arrivent même pas à faire respecter les textes de lois qui protégent conte la nocivité du tabac. Car, en effet, des dispositions législatives interdisant le tabac sur les lieux de travail existent bel et bien. Et même dans les lieux publics, à l'exemple des cafés, des restaurants ou d'autres salles fermées, puisque l'Algérie a ratifié une convention internationale allant dans ce sens. Qu'attendent alors les services concernés pour mettre en application ces lois et, partant, pouvoir ainsi sauver des vies humaines ? Sous d'autres cieux la guerre a été décrétée contre le tabac et se poursuit inlassablement souvent avec succès. Mais chez nous on semble loin d'avoir pris l'exacte mesure du réel danger qu'il provoque tant l'on persiste encore à proférer de vagues discours et de simples vœux pieux. Les assibilations de la société civile n'exagèrent certainement pas lorsqu'elles accusent les pouvoirs publics de faire preuve de passivité ou de manquer d'une réelle volonté politique afin de venir sinon à bout de ce fléau, du moins d'en amoindrir les effets dévastateurs. C'est une règle universelle. Des inscriptions imposées aux fabricants de cigarettes qui sont ainsi contraints de les mentionner au risque de s'exposer à de lourdes sanctions car on ne joue pas avec la santé des gens. C'est que le tabac tue chaque année des millions de personnes à travers le monde et l'Algérie n'est pas épargnée, loin s'en faut. Les chiffres des morts sont ahurissants et vont croissant d'année en année. Cette courbe ascendante est la preuve concrète que la lutte contre ce fléau ravageur en Algérie tend à marquer le pas. Les pouvoirs publics sont pointés du doigt. Ils font peu ou prou pour contrer la progression de ce fléau qui touche même des écoliers en bas âge. En effet et cette responsabilité n'incombe pas exclusivement au ministère de la Santé, les pouvoir publics font souvent preuve de laxisme puisqu'ils n'arrivent même pas à faire respecter les textes de lois qui protégent conte la nocivité du tabac. Car, en effet, des dispositions législatives interdisant le tabac sur les lieux de travail existent bel et bien. Et même dans les lieux publics, à l'exemple des cafés, des restaurants ou d'autres salles fermées, puisque l'Algérie a ratifié une convention internationale allant dans ce sens. Qu'attendent alors les services concernés pour mettre en application ces lois et, partant, pouvoir ainsi sauver des vies humaines ? Sous d'autres cieux la guerre a été décrétée contre le tabac et se poursuit inlassablement souvent avec succès. Mais chez nous on semble loin d'avoir pris l'exacte mesure du réel danger qu'il provoque tant l'on persiste encore à proférer de vagues discours et de simples vœux pieux. Les assibilations de la société civile n'exagèrent certainement pas lorsqu'elles accusent les pouvoirs publics de faire preuve de passivité ou de manquer d'une réelle volonté politique afin de venir sinon à bout de ce fléau, du moins d'en amoindrir les effets dévastateurs.