Plusieurs dizaines de citoyens de la commune de Chabet El-Ameur, ont observé, hier, un rassemblement devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour protester contre le retard dans lequel est plongée leur localité, notamment en matière de développement. Ils étaient des dizaines à répondre à l'appel d'un comité créé récemment au niveau de la commune pour réclamer le lancement des opérations de développement au niveau local. Les protestataires ont dénoncé la gestion aléatoire des responsables locaux et leurs promesses non tenues depuis près de quatre ans. «Les élections locales sont pour bientôt, et le staff communal n'a pas tenu ses promesses électorales. Le chef-lieu communal est complètement défoncé, les villages souffrent de multiples problèmes», nous dira un protestataire. Les habitants de cette contrée rurale, souffrent le martyre pour s'approvisionner en eau potable de fait et que la pénurie d'eau s'installe d'ores et déjà et ce, même avant l'entame de la saison estivale. Des villages entiers ne sont pas alimentés depuis près d'un mois et les villageois ne savent plus à quel saint se vouer. C'est le cas des habitants du village Aït Saïd et d'Azzouza, qui sont alimentés depuis la chaîne AEP Timezrite-Naciria où l'on signale une mauvaise distribution de l'eau depuis presque sa mise en marche. Les protestataires ont demandé la réalisation d'infrastructures publiques notamment des bureaux de poste car la seule poste y existant n'est pas en mesure de répondre aux exigences des 36 mille habitants. Ils ont, en outre, réclamé la réalisation d'antennes APC afinde mettre un terme au calvaire des citoyens. Une délégation de protestataires a été reçue par des responsables de wilaya qui ont promis d'étudier leurs doléances. Par ailleurs, il est à rappeler que des villageois de l'Aârch Aït Mekla avaient manifesté leur colère, à la fin du mois de mai dernier, en organisant un sit-in devant le siège de ladite institution pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie. Les responsables leur avaient promis d'envoyer une commission sur terrain, mais, des villageois nous ont avoué que ladite commission ne s'est pas déplacée et attendent toujours un geste des autorités pour mettre un terme à leur dur quotidien. Plusieurs dizaines de citoyens de la commune de Chabet El-Ameur, ont observé, hier, un rassemblement devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour protester contre le retard dans lequel est plongée leur localité, notamment en matière de développement. Ils étaient des dizaines à répondre à l'appel d'un comité créé récemment au niveau de la commune pour réclamer le lancement des opérations de développement au niveau local. Les protestataires ont dénoncé la gestion aléatoire des responsables locaux et leurs promesses non tenues depuis près de quatre ans. «Les élections locales sont pour bientôt, et le staff communal n'a pas tenu ses promesses électorales. Le chef-lieu communal est complètement défoncé, les villages souffrent de multiples problèmes», nous dira un protestataire. Les habitants de cette contrée rurale, souffrent le martyre pour s'approvisionner en eau potable de fait et que la pénurie d'eau s'installe d'ores et déjà et ce, même avant l'entame de la saison estivale. Des villages entiers ne sont pas alimentés depuis près d'un mois et les villageois ne savent plus à quel saint se vouer. C'est le cas des habitants du village Aït Saïd et d'Azzouza, qui sont alimentés depuis la chaîne AEP Timezrite-Naciria où l'on signale une mauvaise distribution de l'eau depuis presque sa mise en marche. Les protestataires ont demandé la réalisation d'infrastructures publiques notamment des bureaux de poste car la seule poste y existant n'est pas en mesure de répondre aux exigences des 36 mille habitants. Ils ont, en outre, réclamé la réalisation d'antennes APC afinde mettre un terme au calvaire des citoyens. Une délégation de protestataires a été reçue par des responsables de wilaya qui ont promis d'étudier leurs doléances. Par ailleurs, il est à rappeler que des villageois de l'Aârch Aït Mekla avaient manifesté leur colère, à la fin du mois de mai dernier, en organisant un sit-in devant le siège de ladite institution pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie. Les responsables leur avaient promis d'envoyer une commission sur terrain, mais, des villageois nous ont avoué que ladite commission ne s'est pas déplacée et attendent toujours un geste des autorités pour mettre un terme à leur dur quotidien.