Le secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères, chargé de la communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah a estimé, hier, à Béjaïa, que les conditions de transit des voyageurs, par le port de ladite wilaya, ne sont pas «satisfaisantes». Supervisant, personnellement, l'arrivée du premier bateau au programme de cette saison estivale, M. Benatallah a déploré le fait que ce soit « un échec complet. A croire que le port de Béjaïa reçoit un bateau pour la première fois». Il a, à ce titre, appelé les responsables des différents services à se ressaisir et à «corriger les carences apparues», et ce, «dès la prochaine escale», programmée avec plus de voyageurs. La wali a été, à cet effet, chargé, rapporte l'APS, d'assurer et de veiller à la concrétisation de toutes les mesures de facilitation et d'accueil de la communauté nationale établie à l'étranger, notamment en mettant en œuvre les recommandations, arrêtées il y a plus de deux mois, par le comité de facilitation du port. Ce dernier, indique-t-on de même source, prévoyait un dispositif cohérent de sorte à améliorer, au maximum, les délais et les conditions de transit. Il s'agit particulièrement de l'information à destination des voyageurs à l'intérieur comme à l'extérieur du navire, la distribution précoce, pendant la traversée en mer, des documents inhérents aux formalités douanières et de police, ainsi que de favoriser l'emprunt, au niveau de la gare maritime, du Couloir Vert réservé aux personnes fragiles, à savoir les personnes âgées et celles aux besoins spécifiques à l'image des familles et autres, et ce, de sorte à leur éviter les longues attentes. Selon M. Benatallah, ce sont autant de mesures qui vraisemblablement n'ont pas été appliquées. Après une discussion avec certains passagers, le secrétaire d'Etat a relevé que le premier voyageur débarqué a mis une cinquantaine de minutes avant d'entrer en gare maritime. M. Benatallah a, dans ce contexte, mis en cause «la méthode de travail adoptée». Notons enfin que cette première escale, opérée par le car-ferry de l'Entreprise nationale maritime de transport des voyageurs, «El-Djazaïr II», a convoyé 611 voyageurs et 286 véhicules, et augure un programme de six navettes durant le mois en cours, pressenti, avec le mois de juillet, comme un mois de forte affluence. Ce qui va nécessiter, a souligné M. Benatallah, «une forte mobilisation de l'administration et une meilleure attention envers notre communauté». Le secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères, chargé de la communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah a estimé, hier, à Béjaïa, que les conditions de transit des voyageurs, par le port de ladite wilaya, ne sont pas «satisfaisantes». Supervisant, personnellement, l'arrivée du premier bateau au programme de cette saison estivale, M. Benatallah a déploré le fait que ce soit « un échec complet. A croire que le port de Béjaïa reçoit un bateau pour la première fois». Il a, à ce titre, appelé les responsables des différents services à se ressaisir et à «corriger les carences apparues», et ce, «dès la prochaine escale», programmée avec plus de voyageurs. La wali a été, à cet effet, chargé, rapporte l'APS, d'assurer et de veiller à la concrétisation de toutes les mesures de facilitation et d'accueil de la communauté nationale établie à l'étranger, notamment en mettant en œuvre les recommandations, arrêtées il y a plus de deux mois, par le comité de facilitation du port. Ce dernier, indique-t-on de même source, prévoyait un dispositif cohérent de sorte à améliorer, au maximum, les délais et les conditions de transit. Il s'agit particulièrement de l'information à destination des voyageurs à l'intérieur comme à l'extérieur du navire, la distribution précoce, pendant la traversée en mer, des documents inhérents aux formalités douanières et de police, ainsi que de favoriser l'emprunt, au niveau de la gare maritime, du Couloir Vert réservé aux personnes fragiles, à savoir les personnes âgées et celles aux besoins spécifiques à l'image des familles et autres, et ce, de sorte à leur éviter les longues attentes. Selon M. Benatallah, ce sont autant de mesures qui vraisemblablement n'ont pas été appliquées. Après une discussion avec certains passagers, le secrétaire d'Etat a relevé que le premier voyageur débarqué a mis une cinquantaine de minutes avant d'entrer en gare maritime. M. Benatallah a, dans ce contexte, mis en cause «la méthode de travail adoptée». Notons enfin que cette première escale, opérée par le car-ferry de l'Entreprise nationale maritime de transport des voyageurs, «El-Djazaïr II», a convoyé 611 voyageurs et 286 véhicules, et augure un programme de six navettes durant le mois en cours, pressenti, avec le mois de juillet, comme un mois de forte affluence. Ce qui va nécessiter, a souligné M. Benatallah, «une forte mobilisation de l'administration et une meilleure attention envers notre communauté».