Les entretiens portant sur la lutte antiterroriste dans la région du Sahel se sont déroulés dimanche dernier à Alger entre le ministre délégué chargé des Affaires africaines et maghrébines, Abdelkader Messahel et le coordonnateur de l'Union européenne (UE) pour la lutte contre le terrorisme, Gilles de Kerkove, la coopération antiterroriste et le développement dans la région du Sahel. Les deux hommes ont aussi évoqué la réunion prévue en septembreprochain à Alger, entre les pays du Sahel (Algérie, Mali, Mauritanie, Niger) et leurs partenaires extra-régionaux. "Nous avons (donc) discuté de la situation dans le Sahel et échangé nos points de vues sur les défis auxquels est confrontée cette région, à savoir la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la criminalité organisée, et le développement", a déclaré Messahel. Selon lui l'UE a un "rôle important" dans le partenariat avec les pays de la région en matière de lutte contre le terrorisme et le développement. Il a souhaité voir "ce partenariat se consolider" davantage. "on ne peut pas imaginer un développement sans sécurité et il n y'aura pas de sécurité sans développement" a ajouté le ministre algérien. Pour sa part, de Kerkove a affirmé avoir abordé avec M. Messahel, la situation au Sahel et les différents défis auxquels sont confrontés les pays de la région, notamment les problèmes de "terrorisme, la criminalité organisée, et le sous développement". Et s'ajouter «nous pensons qu'il y a un lien intrinsèque entre sécurité et développement". Gilles de Kerkove, tout en insistant sur la nécessité de "développer les capacités" des pays de la région, a plaidé en faveur de la recherche de «perspectives de développement» afin d'«aider les jeunes à trouver des alternatives au crime organisé, au grand trafic et au terrorisme". L'UE, a-t-il dit, souhaite "être encore plus présente pour développer des perspectives économiques et sociales" dans ces pays. Les entretiens portant sur la lutte antiterroriste dans la région du Sahel se sont déroulés dimanche dernier à Alger entre le ministre délégué chargé des Affaires africaines et maghrébines, Abdelkader Messahel et le coordonnateur de l'Union européenne (UE) pour la lutte contre le terrorisme, Gilles de Kerkove, la coopération antiterroriste et le développement dans la région du Sahel. Les deux hommes ont aussi évoqué la réunion prévue en septembreprochain à Alger, entre les pays du Sahel (Algérie, Mali, Mauritanie, Niger) et leurs partenaires extra-régionaux. "Nous avons (donc) discuté de la situation dans le Sahel et échangé nos points de vues sur les défis auxquels est confrontée cette région, à savoir la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la criminalité organisée, et le développement", a déclaré Messahel. Selon lui l'UE a un "rôle important" dans le partenariat avec les pays de la région en matière de lutte contre le terrorisme et le développement. Il a souhaité voir "ce partenariat se consolider" davantage. "on ne peut pas imaginer un développement sans sécurité et il n y'aura pas de sécurité sans développement" a ajouté le ministre algérien. Pour sa part, de Kerkove a affirmé avoir abordé avec M. Messahel, la situation au Sahel et les différents défis auxquels sont confrontés les pays de la région, notamment les problèmes de "terrorisme, la criminalité organisée, et le sous développement". Et s'ajouter «nous pensons qu'il y a un lien intrinsèque entre sécurité et développement". Gilles de Kerkove, tout en insistant sur la nécessité de "développer les capacités" des pays de la région, a plaidé en faveur de la recherche de «perspectives de développement» afin d'«aider les jeunes à trouver des alternatives au crime organisé, au grand trafic et au terrorisme". L'UE, a-t-il dit, souhaite "être encore plus présente pour développer des perspectives économiques et sociales" dans ces pays.