La famille artistique algérienne, plus particulièrement celle des arts plastiques, est en deuil. Elle vient en effet de perdre l'un des piliers de l'art moderne en Algérie, Mohamed Louaïl, décédé hier à l'âge de 81 ans. Le ministère de la Culture, qui a annoncé cette triste nouvelle, a également précisé qu'en cette triste occasion est prévue, aujourd'hui à partir de 11 h, l'organisation d'une cérémonie de recueillement au Musée national des beaux-arts à El-Hamma afin de rendre un dernier hommage au défunt qui était l'un des précurseurs des arts plastiques en Algérie. Les funérailles auront lieu le même jour au cimetière de Sidi M'hamed à Alger. Né le 23 avril 1930 dans l'un plus vieux quartier d'Alger, l'Akiba (Belcourt), Mohamed Louaïl a consacré toute son existence à son art, c'est ainsi que son fidèle ami, Mohamed Khadda dira de lui en 1990 «Si, tout au bout de la marge que notre société réserve à l'artiste, on ajoute l'espace supplémentaire, puis du feutre pour atténuer les bruits et les rumeurs de la ville, puis encore du clair-obscur, on aura peut-être la chance de rencontrer dans ces parages l'homme taciturne, l'artiste discret qu'est Mohamed Louaïl». La famille artistique algérienne, plus particulièrement celle des arts plastiques, est en deuil. Elle vient en effet de perdre l'un des piliers de l'art moderne en Algérie, Mohamed Louaïl, décédé hier à l'âge de 81 ans. Le ministère de la Culture, qui a annoncé cette triste nouvelle, a également précisé qu'en cette triste occasion est prévue, aujourd'hui à partir de 11 h, l'organisation d'une cérémonie de recueillement au Musée national des beaux-arts à El-Hamma afin de rendre un dernier hommage au défunt qui était l'un des précurseurs des arts plastiques en Algérie. Les funérailles auront lieu le même jour au cimetière de Sidi M'hamed à Alger. Né le 23 avril 1930 dans l'un plus vieux quartier d'Alger, l'Akiba (Belcourt), Mohamed Louaïl a consacré toute son existence à son art, c'est ainsi que son fidèle ami, Mohamed Khadda dira de lui en 1990 «Si, tout au bout de la marge que notre société réserve à l'artiste, on ajoute l'espace supplémentaire, puis du feutre pour atténuer les bruits et les rumeurs de la ville, puis encore du clair-obscur, on aura peut-être la chance de rencontrer dans ces parages l'homme taciturne, l'artiste discret qu'est Mohamed Louaïl».