Les services de géolocalisation par satellite (GPS) en Algérie seront accessibles au grand public à l'avenir. C'est ce qu'a annoncé, hier à Alger, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication), Moussa Benhammadi. Dans sa déclaration à la presse, en marge de la réunion du groupe de travail commun entre son département et celui du ministre des Travaux public, Amar Ghoul, M. Benhammadi a déclaré : «Le citoyen sera le premier bénéficiaire du nouveau système GPS. A l'avenir cette technologie sera à la portée de tous les citoyens, tout comme les autres moyens de communication utilisés actuellement». Ainsi l'utilisateur de cet outil «pourra être guidé dans son déplacement d'un point à un autre du réseau routier, même si l'itinéraire emprunté est nouveau pour l'automobiliste», a expliqué le ministre sans donner, toutefois, d'échéance pour le lancement de cette prestation au grand public. Interrogé sur les prix qui seront appliqués à ces services pour le grand public, M. Benhammadi a affirmé qu'«ils seront déterminés en fonction notamment du nombre d'opérateurs intervenant dans ce créneau». «C'est la concurrence qui détermine le coût. Et plus il y aura de clients utilisant cette technologie mieux on pourra maîtriser les coûts », a-t-il expliqué. Mais à terme, le citoyen n'aura à payer qu'une «modique somme» pour l'utilisation de ce système, a encore rassuré le ministre. Selon lui, les services GPS offerts actuellement en Algérie, par l'unique opérateur public (Algérie Télécom Satellite ATS), sont destinés uniquement aux entreprises opérant notamment dans le secteur des services, plus particulièrement les transports. M. Benhammadi a expliqué, à ce propos, que les applications du GPS permettent aux entreprises «de suivre en permanence et en temps réel la position de leurs parcs roulants, comme les autobus, les camions et les ambulances, ce qui permet à ces entreprises d'optimiser leur gestion». Les services de géolocalisation par satellite (GPS) en Algérie seront accessibles au grand public à l'avenir. C'est ce qu'a annoncé, hier à Alger, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication), Moussa Benhammadi. Dans sa déclaration à la presse, en marge de la réunion du groupe de travail commun entre son département et celui du ministre des Travaux public, Amar Ghoul, M. Benhammadi a déclaré : «Le citoyen sera le premier bénéficiaire du nouveau système GPS. A l'avenir cette technologie sera à la portée de tous les citoyens, tout comme les autres moyens de communication utilisés actuellement». Ainsi l'utilisateur de cet outil «pourra être guidé dans son déplacement d'un point à un autre du réseau routier, même si l'itinéraire emprunté est nouveau pour l'automobiliste», a expliqué le ministre sans donner, toutefois, d'échéance pour le lancement de cette prestation au grand public. Interrogé sur les prix qui seront appliqués à ces services pour le grand public, M. Benhammadi a affirmé qu'«ils seront déterminés en fonction notamment du nombre d'opérateurs intervenant dans ce créneau». «C'est la concurrence qui détermine le coût. Et plus il y aura de clients utilisant cette technologie mieux on pourra maîtriser les coûts », a-t-il expliqué. Mais à terme, le citoyen n'aura à payer qu'une «modique somme» pour l'utilisation de ce système, a encore rassuré le ministre. Selon lui, les services GPS offerts actuellement en Algérie, par l'unique opérateur public (Algérie Télécom Satellite ATS), sont destinés uniquement aux entreprises opérant notamment dans le secteur des services, plus particulièrement les transports. M. Benhammadi a expliqué, à ce propos, que les applications du GPS permettent aux entreprises «de suivre en permanence et en temps réel la position de leurs parcs roulants, comme les autobus, les camions et les ambulances, ce qui permet à ces entreprises d'optimiser leur gestion».