Une bonne nuit, c'est entre 6 et 9 heures de sommeil ! Pour être bien dans sa tête, il suffirait de dormir entre 6 heures et 9 heures par nuit. Ni plus, ni moins. Selon un travail américain, ce temps de sommeil serait, en effet, l'idéal pour nous préserver de la dépression. Une observation qui semblerait ne valoir toutefois, que pour les hommes... Le Dr Charles Bae et son équipe de la Clinique du Sommeil de Cleveland (Ohio), ont travaillé à partir des données qu'ils ont collectées auprès de 10.654 hommes âgés en moyenne, de 52 ans. Ces derniers ont rempli un questionnaire très précis portant sur leurs habitudes de sommeil, leur qualité de vie et leur état psychologique. Les résultats sont sans équivoque. Ils ont d'ailleurs, quelque peu, étonné les auteurs. «Nous avons été surpris d'observer que les signes de dépression étaient plus fréquents et la qualité de vie ressentie au contraire diminuée, chez les hommes qui, dormaient soit moins de 6 heures, soit plus de 9 heures par nuit», explique Charles Bae. Certes, ce constat était déjà connu pour ce qui concerne les 'petits dormeurs', notamment concernant leur qualité de vie. «Nous devons faire passer ce message, difficile à intégrer pour la population, que le fait de trop dormir peut également avoir un impact négatif.» Une bonne nuit, c'est entre 6 et 9 heures de sommeil ! Pour être bien dans sa tête, il suffirait de dormir entre 6 heures et 9 heures par nuit. Ni plus, ni moins. Selon un travail américain, ce temps de sommeil serait, en effet, l'idéal pour nous préserver de la dépression. Une observation qui semblerait ne valoir toutefois, que pour les hommes... Le Dr Charles Bae et son équipe de la Clinique du Sommeil de Cleveland (Ohio), ont travaillé à partir des données qu'ils ont collectées auprès de 10.654 hommes âgés en moyenne, de 52 ans. Ces derniers ont rempli un questionnaire très précis portant sur leurs habitudes de sommeil, leur qualité de vie et leur état psychologique. Les résultats sont sans équivoque. Ils ont d'ailleurs, quelque peu, étonné les auteurs. «Nous avons été surpris d'observer que les signes de dépression étaient plus fréquents et la qualité de vie ressentie au contraire diminuée, chez les hommes qui, dormaient soit moins de 6 heures, soit plus de 9 heures par nuit», explique Charles Bae. Certes, ce constat était déjà connu pour ce qui concerne les 'petits dormeurs', notamment concernant leur qualité de vie. «Nous devons faire passer ce message, difficile à intégrer pour la population, que le fait de trop dormir peut également avoir un impact négatif.»