Qui à tué Matoub ? Cette question revenait tel un leitmotiv, hier, à l'occasion de la commémoration du 13e anniversaire de l'assassinat de Lounès Matoub dans son village natal de Taourirt Moussa près d'Ath Douala à Tizi-Ouzou. Dès la première heure et depuis samedi dernier, ils étaient des milliers à rallier la demeure du Rebelle. Ils sont venus en masse se recueillir à la mémoire du Rebelle, qu'il n'ont pas oublié mais aussi pour appuyer avec une conviction inébranlable la revendication de la vérité sur l'assassinat du chantre de l'amazighilté et des causes justes. Les milliers de visiteurs étaient constitués majoritairement de jeunes venus des wilayas de Bouira, Alger, Boumerdès, Tipasa, Batna, Khenchela et Béjaïa. Lors de sa prise de parole devant la tombe du Rebelle, sa sœur Malika a indiqué que treize ans après l'assassinat de Lounès Matoub, «Nous ignorons les circonstances de cet assassinat. La famille et la fondation Matoub ne cessent de demander à l'instance judiciaire de procéder à une enquête qui répondra aux normes de droit, à savoir le reconstitution des faits, l'étude balistique, l'audition des témoins et des acteurs politiques de l'époque». La sœur de l'artiste a ajouté : «Treize ans de mensonge et de passivité, ça suffit ! Aujourd'hui, nous disons à ceux qui veulent fermer le dossier Matoub avant la fin de l'année judiciaire que le dossier n'est pas encore ouvert. C'est pour cela que le 25 juin, nous demandons un dernier recours avant toute action au premier magistrat du pays à qui le pouvoir lui est donné, d'établir la lumière sur cette affaire». La commémoration de l'anniversaire a eu lieu en présence de délégation du FFS, du MAK, du mouvement des Archs et des représentants de plus de 200 associations culturelles. Aucun incident n'est à signaler malgré la présence de milliers de personnes. Qui à tué Matoub ? Cette question revenait tel un leitmotiv, hier, à l'occasion de la commémoration du 13e anniversaire de l'assassinat de Lounès Matoub dans son village natal de Taourirt Moussa près d'Ath Douala à Tizi-Ouzou. Dès la première heure et depuis samedi dernier, ils étaient des milliers à rallier la demeure du Rebelle. Ils sont venus en masse se recueillir à la mémoire du Rebelle, qu'il n'ont pas oublié mais aussi pour appuyer avec une conviction inébranlable la revendication de la vérité sur l'assassinat du chantre de l'amazighilté et des causes justes. Les milliers de visiteurs étaient constitués majoritairement de jeunes venus des wilayas de Bouira, Alger, Boumerdès, Tipasa, Batna, Khenchela et Béjaïa. Lors de sa prise de parole devant la tombe du Rebelle, sa sœur Malika a indiqué que treize ans après l'assassinat de Lounès Matoub, «Nous ignorons les circonstances de cet assassinat. La famille et la fondation Matoub ne cessent de demander à l'instance judiciaire de procéder à une enquête qui répondra aux normes de droit, à savoir le reconstitution des faits, l'étude balistique, l'audition des témoins et des acteurs politiques de l'époque». La sœur de l'artiste a ajouté : «Treize ans de mensonge et de passivité, ça suffit ! Aujourd'hui, nous disons à ceux qui veulent fermer le dossier Matoub avant la fin de l'année judiciaire que le dossier n'est pas encore ouvert. C'est pour cela que le 25 juin, nous demandons un dernier recours avant toute action au premier magistrat du pays à qui le pouvoir lui est donné, d'établir la lumière sur cette affaire». La commémoration de l'anniversaire a eu lieu en présence de délégation du FFS, du MAK, du mouvement des Archs et des représentants de plus de 200 associations culturelles. Aucun incident n'est à signaler malgré la présence de milliers de personnes.