A se fier à l‘optimisme affiché par le secrétaire général du ministère de l‘Education nationale, le taux de réussite à l‘examen du baccalauréat cette année sera un autre record. «Nous restons dans la logique de réussite quantitative, donc nous nous attendons à un taux de réussite important cette année», a déclaré hier, Boubekeur Khaldi, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, arguant de la «courbe ascendante» des résultats réalisée ces dernières années et de la qualité des postulants, fruits de la réforme insufflée au secteur de l‘Education nationale. Revenant sur les rumeurs d‘éventuelles fuites de certains sujets de l‘examen du bac, le SG du ministère de l‘Education a affirmé : «La question reste encore au niveau de l‘intox», bien que l‘Office national des examens et concours (Onec) ait déposé plainte contre «X». «Les rumeurs sur les fuites de sujets est une blague qui n‘a pas affecté, pour autant, le moral des élèves et des enseignants, car les examens se sont déroulés dans d‘excellentes conditions», a répliqué Boubekeur Khaldi, tout en soulignant au passage que «les bons résultats pourraient ne pas arranger tout le monde». Interrogé par ailleurs sur la promotion des langues étrangères dans les établissements scolaires, notamment dans certaines régions du pays, où l‘enseignement de ces matières est quasiment inexistant, l‘invité de la radio a noté que «des efforts sont en train de se faire», avec ce bémol qu‘«elles ne peuvent pas se substituer à la langue nationale». Tout en s‘enorgueillissant des résultats de la réforme dans le système éducatif, notamment sur le plan quantitatif, le SG du ministère de l‘Education a mis en avant les efforts consentis dans la construction de nouveaux établissements scolaires et la formation des enseignants. En chiffres, Boubekeur Khaldi a précisé que l‘Algérie a atteint les objectifs du Millénaire et du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), en réalisant un taux de scolarisation équivalent à 97,4 % des enfants âgés entre 6 et 12 ans, avec un taux d‘abandon insignifiant de l‘ordre de 1% seulement. Aussi, 92,5 % des élèves de 1ère année primaire arrivent sans redoublement en 5ème année, alors qu‘ils n‘étaient que de 60% seulement avant la réforme et 67,5 % des collégiens arrivent au secondaire sans redoublement alors qu‘ils n‘étaient que de 39,4 % seulement avant la réforme. En termes d‘encadrement, le palier primaire est doté d‘un enseignant pour 23 élèves, 1 pour 22 au moyen et 1 pour 26 au secondaire. Quant à l‘aspect qualitatif, le ministère de l‘Education nationale envisage d‘apporter certaines mesures concrètes à la prochaine rentrée scolaire. Il s‘agit notamment de réduire les horaires des cours qui se termineront désormais à 14h et consacrer les deux heures restantes aux matières parascolaires, sinon aux activités sportives et culturelles. A se fier à l‘optimisme affiché par le secrétaire général du ministère de l‘Education nationale, le taux de réussite à l‘examen du baccalauréat cette année sera un autre record. «Nous restons dans la logique de réussite quantitative, donc nous nous attendons à un taux de réussite important cette année», a déclaré hier, Boubekeur Khaldi, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, arguant de la «courbe ascendante» des résultats réalisée ces dernières années et de la qualité des postulants, fruits de la réforme insufflée au secteur de l‘Education nationale. Revenant sur les rumeurs d‘éventuelles fuites de certains sujets de l‘examen du bac, le SG du ministère de l‘Education a affirmé : «La question reste encore au niveau de l‘intox», bien que l‘Office national des examens et concours (Onec) ait déposé plainte contre «X». «Les rumeurs sur les fuites de sujets est une blague qui n‘a pas affecté, pour autant, le moral des élèves et des enseignants, car les examens se sont déroulés dans d‘excellentes conditions», a répliqué Boubekeur Khaldi, tout en soulignant au passage que «les bons résultats pourraient ne pas arranger tout le monde». Interrogé par ailleurs sur la promotion des langues étrangères dans les établissements scolaires, notamment dans certaines régions du pays, où l‘enseignement de ces matières est quasiment inexistant, l‘invité de la radio a noté que «des efforts sont en train de se faire», avec ce bémol qu‘«elles ne peuvent pas se substituer à la langue nationale». Tout en s‘enorgueillissant des résultats de la réforme dans le système éducatif, notamment sur le plan quantitatif, le SG du ministère de l‘Education a mis en avant les efforts consentis dans la construction de nouveaux établissements scolaires et la formation des enseignants. En chiffres, Boubekeur Khaldi a précisé que l‘Algérie a atteint les objectifs du Millénaire et du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), en réalisant un taux de scolarisation équivalent à 97,4 % des enfants âgés entre 6 et 12 ans, avec un taux d‘abandon insignifiant de l‘ordre de 1% seulement. Aussi, 92,5 % des élèves de 1ère année primaire arrivent sans redoublement en 5ème année, alors qu‘ils n‘étaient que de 60% seulement avant la réforme et 67,5 % des collégiens arrivent au secondaire sans redoublement alors qu‘ils n‘étaient que de 39,4 % seulement avant la réforme. En termes d‘encadrement, le palier primaire est doté d‘un enseignant pour 23 élèves, 1 pour 22 au moyen et 1 pour 26 au secondaire. Quant à l‘aspect qualitatif, le ministère de l‘Education nationale envisage d‘apporter certaines mesures concrètes à la prochaine rentrée scolaire. Il s‘agit notamment de réduire les horaires des cours qui se termineront désormais à 14h et consacrer les deux heures restantes aux matières parascolaires, sinon aux activités sportives et culturelles.