C'est du 22 au 23 du mois en cours que s'est déroulé, à Alger, le congrès arabe portant sur «La réalité et les perspectives de la justice des mineurs». Organisée par le ministère de la Justice, en collaboration avec l'Organisation internationale de la réforme pénale, la rencontre a regroupé des représentants de 11 Etats arabes, à savoir l'Algérie, la Jordanie, l'Egypte, le Koweït, le Yémen, le Sultanat d'Oman, le Liban, la Tunisie, le Maroc, la Palestine ainsi que le Soudan, outre les représentations diplomatiques de ces pays. Dans son allocution, lue par son secrétaire général, Messaoud Boufercha ; le ministre de la Justice, garde des sceaux, Tayeb Belaiz a salué les efforts de l'organisation qui n'a cessé de coopérer avec l'Algérie en matière de formation des juges spécialisés dans les affaires des mineurs conformément aux normes internationales. Selon un communiqué de la tutelle, les systèmes onusiens et africains dans le domaine de la protection des droits des mineurs ont été exposés et examinés par deux experts algériens. Il s'agit du docteur Kamel Filali, ancien membre du Comité international de droits de l'enfant ainsi que le professeur Fatma-Zohra Sbaa membre du Comité africain des droits et du bien-être de l'enfant africain. En outre trois ateliers portant notamment sur la détention provisoire, le transfert et la substitution des peines ainsi que la réintégration et la prise en charge des mineurs ont été débattus par les participants. Il convient de noter, dans ce contexte, qu'au cours de cette rencontre une visite a été organisée à l'établissement pénitentiaire d'El-Harrach. Notons enfin que parmi les recommandations prises à l'issue de cette rencontre, figurent principalement la mise en place d'une police et de juges spécialisés en la matière, le renforcement de la formation professionnelle des employés responsables des mineurs dans les établissements pénitentiaires ainsi que l'élargissement de l'adoption des mesures garantissant les libertés afin de prévenir le plus possible la détention des mineurs, indique-t-on de même source. C'est du 22 au 23 du mois en cours que s'est déroulé, à Alger, le congrès arabe portant sur «La réalité et les perspectives de la justice des mineurs». Organisée par le ministère de la Justice, en collaboration avec l'Organisation internationale de la réforme pénale, la rencontre a regroupé des représentants de 11 Etats arabes, à savoir l'Algérie, la Jordanie, l'Egypte, le Koweït, le Yémen, le Sultanat d'Oman, le Liban, la Tunisie, le Maroc, la Palestine ainsi que le Soudan, outre les représentations diplomatiques de ces pays. Dans son allocution, lue par son secrétaire général, Messaoud Boufercha ; le ministre de la Justice, garde des sceaux, Tayeb Belaiz a salué les efforts de l'organisation qui n'a cessé de coopérer avec l'Algérie en matière de formation des juges spécialisés dans les affaires des mineurs conformément aux normes internationales. Selon un communiqué de la tutelle, les systèmes onusiens et africains dans le domaine de la protection des droits des mineurs ont été exposés et examinés par deux experts algériens. Il s'agit du docteur Kamel Filali, ancien membre du Comité international de droits de l'enfant ainsi que le professeur Fatma-Zohra Sbaa membre du Comité africain des droits et du bien-être de l'enfant africain. En outre trois ateliers portant notamment sur la détention provisoire, le transfert et la substitution des peines ainsi que la réintégration et la prise en charge des mineurs ont été débattus par les participants. Il convient de noter, dans ce contexte, qu'au cours de cette rencontre une visite a été organisée à l'établissement pénitentiaire d'El-Harrach. Notons enfin que parmi les recommandations prises à l'issue de cette rencontre, figurent principalement la mise en place d'une police et de juges spécialisés en la matière, le renforcement de la formation professionnelle des employés responsables des mineurs dans les établissements pénitentiaires ainsi que l'élargissement de l'adoption des mesures garantissant les libertés afin de prévenir le plus possible la détention des mineurs, indique-t-on de même source.