Les Etats africains viennent de réitérer l'option diplomatique et politique dans le traitement de la crise libyenne, récusant de la sorte les desseins des Occidentaux, notamment après l'émission d'un mandat d'arrêt par la Cour pénale internationale à l'encontre de Mouammar Kadhafi. Les Etats africains viennent de réitérer l'option diplomatique et politique dans le traitement de la crise libyenne, récusant de la sorte les desseins des Occidentaux, notamment après l'émission d'un mandat d'arrêt par la Cour pénale internationale à l'encontre de Mouammar Kadhafi. A l'issue des discussions intenses entamées par les dirigeants africains sur la crise en Libye, l'UA a rendu publique une déclaration, suite à la cérémonie de clôture, appelant à la "volonté politique" des parties impliquées dans le conflit libyen et a également proposé la convocation immédiate de négociations sous les auspices de l'organisation et des Nations unies. La déclaration, à laquelle l'Algérie adhère pleinement, a réaffirmé l'engagement de l'UA pour une solution politique à la crise permettant de "répondre aux aspirations légitimes du peuple libyen et de préserver l'unité et l'intégrité territoriale du pays". Le 18e Sommet de l'UA aura lieu à Addis-Abeba en janvier 2012. De son côté, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est rentré hier de Malabo après avoir participé aux travaux du 17e Sommet ordinaire de l'Union africaine (UA) en Guinée équatoriale. Le chef de l'Etat a pris part à plusieurs réunions, tenues mercredi dernier, à la veille du sommet de l'UA, dont le 25e Sommet du Comité d'orientation des chefs d'Etat et de gouvernement du Nepad, coïncidant avec la commémoration du 10e anniversaire de la mise en œuvre du Nepad. Le président Bouteflika a également participé, durant la même journée, à la réunion des chefs d'Etats et du gouvernement membres du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP) et à la réunion de haut niveau sur la mobilisation des dirigeants africains au processus de préparation de la Conférence des Nations unies pour le développement durable (RIO + 20). Il a aussi pris part à la réunion du Comité des dix chefs d'Etat et de gouvernement sur la réforme des Nations unies ainsi qu'à la réunion du Comité des chefs d'Etat et de gouvernement sur les changements climatiques. Le président Bouteflika a participé, en outre, aux différentes étapes de ce sommet qui avait pour thème "Accélération de l'autonomisation des jeunes pour un développement durale", et avait été marqué par de longues séances, à huis clos, consacrées à la crise libyennes et qui ont été sanctionnées par l'adoption de l'accord-cadre proposé par le Comité ad hoc de haut niveau. Par ailleurs, le chef de l'Etat a adressé un message de remerciements à son homologue équato-guinéen, dans lequel il a réitéré la disponibilité de l'Algérie à élargir la coopération avec ce pays. "Je tiens à vous adresser mes remerciements ainsi qu'au peuple frère de Guinée équatoriale pour l'hospitalité chaleureuse et pour toutes les marques d'attention qui m'ont été prodiguées, ainsi qu'à ma délégation, au cours de notre séjour à Malabo", a précisé le chef de l'Etat. "C'est l'occasion aussi de vous exprimer mon entière disponibilité à travailler, de concert avec vous, au développement des relations d'amitié et de coopération entre nos deux pays", a ajouté le président Bouteflika. A l'issue des discussions intenses entamées par les dirigeants africains sur la crise en Libye, l'UA a rendu publique une déclaration, suite à la cérémonie de clôture, appelant à la "volonté politique" des parties impliquées dans le conflit libyen et a également proposé la convocation immédiate de négociations sous les auspices de l'organisation et des Nations unies. La déclaration, à laquelle l'Algérie adhère pleinement, a réaffirmé l'engagement de l'UA pour une solution politique à la crise permettant de "répondre aux aspirations légitimes du peuple libyen et de préserver l'unité et l'intégrité territoriale du pays". Le 18e Sommet de l'UA aura lieu à Addis-Abeba en janvier 2012. De son côté, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est rentré hier de Malabo après avoir participé aux travaux du 17e Sommet ordinaire de l'Union africaine (UA) en Guinée équatoriale. Le chef de l'Etat a pris part à plusieurs réunions, tenues mercredi dernier, à la veille du sommet de l'UA, dont le 25e Sommet du Comité d'orientation des chefs d'Etat et de gouvernement du Nepad, coïncidant avec la commémoration du 10e anniversaire de la mise en œuvre du Nepad. Le président Bouteflika a également participé, durant la même journée, à la réunion des chefs d'Etats et du gouvernement membres du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP) et à la réunion de haut niveau sur la mobilisation des dirigeants africains au processus de préparation de la Conférence des Nations unies pour le développement durable (RIO + 20). Il a aussi pris part à la réunion du Comité des dix chefs d'Etat et de gouvernement sur la réforme des Nations unies ainsi qu'à la réunion du Comité des chefs d'Etat et de gouvernement sur les changements climatiques. Le président Bouteflika a participé, en outre, aux différentes étapes de ce sommet qui avait pour thème "Accélération de l'autonomisation des jeunes pour un développement durale", et avait été marqué par de longues séances, à huis clos, consacrées à la crise libyennes et qui ont été sanctionnées par l'adoption de l'accord-cadre proposé par le Comité ad hoc de haut niveau. Par ailleurs, le chef de l'Etat a adressé un message de remerciements à son homologue équato-guinéen, dans lequel il a réitéré la disponibilité de l'Algérie à élargir la coopération avec ce pays. "Je tiens à vous adresser mes remerciements ainsi qu'au peuple frère de Guinée équatoriale pour l'hospitalité chaleureuse et pour toutes les marques d'attention qui m'ont été prodiguées, ainsi qu'à ma délégation, au cours de notre séjour à Malabo", a précisé le chef de l'Etat. "C'est l'occasion aussi de vous exprimer mon entière disponibilité à travailler, de concert avec vous, au développement des relations d'amitié et de coopération entre nos deux pays", a ajouté le président Bouteflika.