En effet, selon les responsables de cette intégration au niveau des PME euro-méditerranéennes, «le projet était en maturation et rangé dans des cartons depuis plusieurs mois. En fait, le centre euro-méditerranéen pour le développement des micros, petites et moyennes entreprises est officiellement annoncé pour le mois d'octobre 2011 à Milan, capitale de la Lombardie (Italie). Capitale économique et financière de l'Italie, Milan, qui abrite déjà annuellement le forum économique euro-méditerranéen, regroupant les pays de l'Union européenne et les pays de la rive sud de la Méditerranée, dont l'Algérie, a été donc désignée comme le moteur de la promotion des PME euro-méditerranéennes. Aussi, le premier accord-cadre pour matérialiser le projet des PME méditerranéennes a été signé le 27 juin 2011 entre l'agence spéciale de la Chambre de commerce de Milan pour l'activité internationale (Promos) et la Banque européenne d'investissement (BEI). Après le plan d'aide et de mise à niveau des PME algériennes dans le cadre du programme MEDA qui a prévu 40 millions d'euros pour cette opération, la Banque européenne d'investissement a donc mis le paquet pour assister et appuyer le développement des PME des pays nord africains. Le centre basé à Milan aura pour mission de soutenir la création et le développement des entreprises en Méditerranée. En outre, il aura également pour tâche de rassembler les Etats, la commission européenne et les institutions financières. Lors de la conférence de presse animée, récemment, au siège de la Chambre de commerce de Milan, en présence des ministres italiens des Affaires étrangères et de l'Economie et des Finances, Franco Frattini et Paolo Romani, et du vice-président de la Commission européenne de l'Industrie et des PME, Antonio Tajani, ainsi que le P-DG ce la BEI, le secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée, Lino Cardarelli, a indiqué que «le centre sera l'instrument de collaboration et de concertation entre les Etats et les gouvernements de l'UPM, la commission européenne, les institutions financières internationales, les institutions européennes des finances et de l'économie, les agences financières et des marchés et les agences de soutien aux PME». Il estime que les pays de la rive sud de la Méditerranée (Algérie, Maroc, Tunisie, Liban, Egypte, mais également des autres pays de la rive Nord (France, Espagne…) pourront coordonner les banques de données et instaurer un réseau de coopération entre les PME. Le centre Euro-Med basé à Milan est une initiative supranationale à caractère public et privé finalisé pour la constitution d'un réseau des centres techniques des services pour l'économie et l'internationalisation des PME. En effet, selon les responsables de cette intégration au niveau des PME euro-méditerranéennes, «le projet était en maturation et rangé dans des cartons depuis plusieurs mois. En fait, le centre euro-méditerranéen pour le développement des micros, petites et moyennes entreprises est officiellement annoncé pour le mois d'octobre 2011 à Milan, capitale de la Lombardie (Italie). Capitale économique et financière de l'Italie, Milan, qui abrite déjà annuellement le forum économique euro-méditerranéen, regroupant les pays de l'Union européenne et les pays de la rive sud de la Méditerranée, dont l'Algérie, a été donc désignée comme le moteur de la promotion des PME euro-méditerranéennes. Aussi, le premier accord-cadre pour matérialiser le projet des PME méditerranéennes a été signé le 27 juin 2011 entre l'agence spéciale de la Chambre de commerce de Milan pour l'activité internationale (Promos) et la Banque européenne d'investissement (BEI). Après le plan d'aide et de mise à niveau des PME algériennes dans le cadre du programme MEDA qui a prévu 40 millions d'euros pour cette opération, la Banque européenne d'investissement a donc mis le paquet pour assister et appuyer le développement des PME des pays nord africains. Le centre basé à Milan aura pour mission de soutenir la création et le développement des entreprises en Méditerranée. En outre, il aura également pour tâche de rassembler les Etats, la commission européenne et les institutions financières. Lors de la conférence de presse animée, récemment, au siège de la Chambre de commerce de Milan, en présence des ministres italiens des Affaires étrangères et de l'Economie et des Finances, Franco Frattini et Paolo Romani, et du vice-président de la Commission européenne de l'Industrie et des PME, Antonio Tajani, ainsi que le P-DG ce la BEI, le secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée, Lino Cardarelli, a indiqué que «le centre sera l'instrument de collaboration et de concertation entre les Etats et les gouvernements de l'UPM, la commission européenne, les institutions financières internationales, les institutions européennes des finances et de l'économie, les agences financières et des marchés et les agences de soutien aux PME». Il estime que les pays de la rive sud de la Méditerranée (Algérie, Maroc, Tunisie, Liban, Egypte, mais également des autres pays de la rive Nord (France, Espagne…) pourront coordonner les banques de données et instaurer un réseau de coopération entre les PME. Le centre Euro-Med basé à Milan est une initiative supranationale à caractère public et privé finalisé pour la constitution d'un réseau des centres techniques des services pour l'économie et l'internationalisation des PME.