En prévision des élections prévues en Tunisie en octobre prochain, le Parti démocratique progressiste (PDP), l'une des formations les plus en vue du pays, a lancé lundi une vaste campagne visant à "assurer la réussite de la transition démocratique". Baptisée "Tunisiens volontaires", l'opération tend à "diffuser la culture de la démocratie participative et interactive auprès des citoyens" et "sensibiliser politiquement" les électeurs potentiels à l'échéance qui les attend, a déclaré la cheffe du PDP Maya Jribi lors d'une conférence de presse. Selon elle, des milliers de militants iront dans toutes les régions du pays pour expliquer le processus qui doit aboutir aux "premières élections libres et démocratiques dans l'histoire de la Tunisie". L'opération sera déclinée en spots publicitaires, mais trouvera aussi un écho sur des sites Internet et les réseaux sociaux, sans oublier les contacts directs. "La responsabilité de faire réussir la phase transitoire incombe à tous les partis et à l'ensemble des composantes de la société civile", a soutenu Mme Jribi, première femme à diriger un parti politique en Tunisie. Selon plusieurs sondages d'opinion, la plupart des Tunisiens disent ne pas savoir pour qui voter parmi la pléthore de partis qui ont vu le jour depuis la chute du régime Ben Ali à la mi-janvier. Longtemps dominé par le parti du président déchu, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD, dissout), le paysage politique tunisien a subitement vu émerger près d'une centaine de formations. Seuls quelques partis sont connus de la population, notamment le PDP fondé par Me Néjib Chebbi, le mouvement islamiste Ennahdha de cheikh Rached Ghannouchi et dans une moindre mesure le mouvement Ettajdid (ex-parti communiste) d'Ahmed Brahim et le Forum démocratique pour les libertés et le travail (FDLT) du Dr Mustapha Ben Jaâfar. En prévision des élections prévues en Tunisie en octobre prochain, le Parti démocratique progressiste (PDP), l'une des formations les plus en vue du pays, a lancé lundi une vaste campagne visant à "assurer la réussite de la transition démocratique". Baptisée "Tunisiens volontaires", l'opération tend à "diffuser la culture de la démocratie participative et interactive auprès des citoyens" et "sensibiliser politiquement" les électeurs potentiels à l'échéance qui les attend, a déclaré la cheffe du PDP Maya Jribi lors d'une conférence de presse. Selon elle, des milliers de militants iront dans toutes les régions du pays pour expliquer le processus qui doit aboutir aux "premières élections libres et démocratiques dans l'histoire de la Tunisie". L'opération sera déclinée en spots publicitaires, mais trouvera aussi un écho sur des sites Internet et les réseaux sociaux, sans oublier les contacts directs. "La responsabilité de faire réussir la phase transitoire incombe à tous les partis et à l'ensemble des composantes de la société civile", a soutenu Mme Jribi, première femme à diriger un parti politique en Tunisie. Selon plusieurs sondages d'opinion, la plupart des Tunisiens disent ne pas savoir pour qui voter parmi la pléthore de partis qui ont vu le jour depuis la chute du régime Ben Ali à la mi-janvier. Longtemps dominé par le parti du président déchu, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD, dissout), le paysage politique tunisien a subitement vu émerger près d'une centaine de formations. Seuls quelques partis sont connus de la population, notamment le PDP fondé par Me Néjib Chebbi, le mouvement islamiste Ennahdha de cheikh Rached Ghannouchi et dans une moindre mesure le mouvement Ettajdid (ex-parti communiste) d'Ahmed Brahim et le Forum démocratique pour les libertés et le travail (FDLT) du Dr Mustapha Ben Jaâfar.