Dans le cadre de sa 26e édition, le Festival international du film francophone de Namur en Belgique organise le 5e atelier d'écriture «De l'écrit à l'écran» du dimanche 2 au vendredi 7 octobre 2011. Dans le cadre de sa 26e édition, le Festival international du film francophone de Namur en Belgique organise le 5e atelier d'écriture «De l'écrit à l'écran» du dimanche 2 au vendredi 7 octobre 2011. Cet atelier s'adresse à des auteurs-réalisateurs originaires des pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne, des Caraïbes francophones et du Proche-Orient, francophone et désireux d'être accompagnés dans la réécriture de leurs scénarii court métrage de fiction (moins de 30 minutes). Il vise à favoriser la création d'œuvres cinématographiques locales dans ces pays à travers une proposition d'accompagnement scénaristique. Quatre projets maximum seront sélectionnés. Ils s'intégreront dans le tissu de production audiovisuelle local et ont pour vocation d'être produits et réalisés dans les 12 mois qui suivent l'Atelier. Lors des précédentes éditions, cet atelier a été parrainé par la réalisatrice belge Marion Hänsel, par le réalisateur marocain Faouzi Bensaïdi, par le cinéaste sénégalais Moussa Touré ainsi que par le réalisateur et comédien algérien Lyes Salem. Ces professionnels ont ainsi pu apporter leur soutien enthousiaste et partager leur expérience avec chacun des participants. Cette année encore, l'atelier sera parrainé par un(e) cinéaste confirmé(e) qui viendra à la rencontre des participants afin de leur délivrer de précieux conseils. 17 projets ont été retenus et travaillés dans le cadre des quatre précédentes éditions. A l'heure actuelle, une demi- douzaine ont déjà vu le jour et les autres projets sont en développement ou en recherche de financements. Parmi les réalisateurs qui ont réussi à finaliser leur projet, citons notamment Khaled Benaïssa, Poulain d'or au Fescapo 2009 pour le film Sektou (Ils se sont tus), développé au sein de l'Atelier. Le FIFF a organisé lors de sa dernière édition la première séance spéciale entièrement consacrée aux quatre courts métrages déjà réalisés. Elle a ainsi permis de mettre en lumière le travail effectué par les jeunes réalisateurs et les formateurs, présents lors de cette séance. A l'instar de Sektou de Khaled Benaissa (Algérie), Le Stade d'Ala Eddine Slim (Tunisie), La Bouteille d'El Mehdi Azzam (Maroc), A La Merci Du Vent de Tahar KESSI (Algérie). L'Atelier «De l'écrit à l'écran» du 26e Festival international du film francophone de Namur permettra à chacun des participants de faire évaluer son scénario de court métrage de fiction par quatre intervenants professionnels. De pouvoir ensuite créer un espace de discussion et d'analyse (séances de travail avec les 4 intervenants, échanges avec les autres participants, rencontres avec des professionnels et visionnage de films présentés dans la programmation officielle du Festival). Le vœu des organisateurs est de donner aux participants l'opportunité de faire évoluer leur projet via une réécriture du scénario et franchir ainsi, grâce à cet atelier, une étape décisive dans le processus de production de son projet. Puis de pouvoir auditer la faisabilité de son projet de court métrage et d'envisager sa production avec un producteur professionnel dans le tissu audiovisuel local. Enfin l'objectif de fin d'atelier est d'aboutir à une version dialoguée définitive. Cet atelier s'adresse à des auteurs-réalisateurs originaires des pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne, des Caraïbes francophones et du Proche-Orient, francophone et désireux d'être accompagnés dans la réécriture de leurs scénarii court métrage de fiction (moins de 30 minutes). Il vise à favoriser la création d'œuvres cinématographiques locales dans ces pays à travers une proposition d'accompagnement scénaristique. Quatre projets maximum seront sélectionnés. Ils s'intégreront dans le tissu de production audiovisuelle local et ont pour vocation d'être produits et réalisés dans les 12 mois qui suivent l'Atelier. Lors des précédentes éditions, cet atelier a été parrainé par la réalisatrice belge Marion Hänsel, par le réalisateur marocain Faouzi Bensaïdi, par le cinéaste sénégalais Moussa Touré ainsi que par le réalisateur et comédien algérien Lyes Salem. Ces professionnels ont ainsi pu apporter leur soutien enthousiaste et partager leur expérience avec chacun des participants. Cette année encore, l'atelier sera parrainé par un(e) cinéaste confirmé(e) qui viendra à la rencontre des participants afin de leur délivrer de précieux conseils. 17 projets ont été retenus et travaillés dans le cadre des quatre précédentes éditions. A l'heure actuelle, une demi- douzaine ont déjà vu le jour et les autres projets sont en développement ou en recherche de financements. Parmi les réalisateurs qui ont réussi à finaliser leur projet, citons notamment Khaled Benaïssa, Poulain d'or au Fescapo 2009 pour le film Sektou (Ils se sont tus), développé au sein de l'Atelier. Le FIFF a organisé lors de sa dernière édition la première séance spéciale entièrement consacrée aux quatre courts métrages déjà réalisés. Elle a ainsi permis de mettre en lumière le travail effectué par les jeunes réalisateurs et les formateurs, présents lors de cette séance. A l'instar de Sektou de Khaled Benaissa (Algérie), Le Stade d'Ala Eddine Slim (Tunisie), La Bouteille d'El Mehdi Azzam (Maroc), A La Merci Du Vent de Tahar KESSI (Algérie). L'Atelier «De l'écrit à l'écran» du 26e Festival international du film francophone de Namur permettra à chacun des participants de faire évaluer son scénario de court métrage de fiction par quatre intervenants professionnels. De pouvoir ensuite créer un espace de discussion et d'analyse (séances de travail avec les 4 intervenants, échanges avec les autres participants, rencontres avec des professionnels et visionnage de films présentés dans la programmation officielle du Festival). Le vœu des organisateurs est de donner aux participants l'opportunité de faire évoluer leur projet via une réécriture du scénario et franchir ainsi, grâce à cet atelier, une étape décisive dans le processus de production de son projet. Puis de pouvoir auditer la faisabilité de son projet de court métrage et d'envisager sa production avec un producteur professionnel dans le tissu audiovisuel local. Enfin l'objectif de fin d'atelier est d'aboutir à une version dialoguée définitive.