Comme prévu, la question du retrait ou non de l'Alliance présidentielle sera au centre des débats de la session ordinaire du conseil consultatif du Mouvement de la société pour la paix (MSP) qui s'est ouverte hier. Durant deux jours, donc, les membres de la plus importante instance du MSP entre deux congrès auront le loisir de dresser un bilan complet sur l'expérience de l'Alliance présidentielle qui regroupe, outre le Mouvement de feu Cheikh Nahnah, les partis du FLN et du RND. Le président du MSP, Aboudjerra Soltani, a indiqué hier, en marge de l'ouverture des travaux de cette session, qu'il présentera aux membres du conseil consultatif «un rapport sur l'expérience de l'Alliance présidentielle et les réalisations accomplies». La menace de retrait de ce groupe politique, créé en 2004 à la veille des élections présidentielles, a été brandie par le président du Mouvement au lendemain des émeutes du mois de janvier dernier. Cette perspective est soutenue par de nombreux membres du Mouvement qui estiment que le MSP a plus perdu que gagné en adhérant à l'Alliance présidentielle. Comme prévu, la question du retrait ou non de l'Alliance présidentielle sera au centre des débats de la session ordinaire du conseil consultatif du Mouvement de la société pour la paix (MSP) qui s'est ouverte hier. Durant deux jours, donc, les membres de la plus importante instance du MSP entre deux congrès auront le loisir de dresser un bilan complet sur l'expérience de l'Alliance présidentielle qui regroupe, outre le Mouvement de feu Cheikh Nahnah, les partis du FLN et du RND. Le président du MSP, Aboudjerra Soltani, a indiqué hier, en marge de l'ouverture des travaux de cette session, qu'il présentera aux membres du conseil consultatif «un rapport sur l'expérience de l'Alliance présidentielle et les réalisations accomplies». La menace de retrait de ce groupe politique, créé en 2004 à la veille des élections présidentielles, a été brandie par le président du Mouvement au lendemain des émeutes du mois de janvier dernier. Cette perspective est soutenue par de nombreux membres du Mouvement qui estiment que le MSP a plus perdu que gagné en adhérant à l'Alliance présidentielle.