Le ministre de la Communication s'est fermement engagé à sévir contre toutes les formes de « trabendisme » qui portent un très fort préjudice à la scène mediatique nationale. « Je l'ai dit et je le répète aujourd'hui, le trabendisme sur la scène médiatique où les agréments de titres de journaux se vendent et se revendent, est inadmissible », a en effet déclaré à la presse Nacer Mehal en marge de la clôture de la session de printemps de l'APN. Il a aussi annoncé, comme pour montrer toute sa détermination à mettre fin à ces pratiques, que des mesures seront prises pour « assainir la situation et rétablir les choses dans leur contexte ». S'il est vrai que les agréments de titres de journaux se vendent et se revendent, souvent à coups de milliards, il est tout aussi vrai que ce ne ce sont pas les professionnels des médias qui s'adonnent à ces pratiques. Comme il est tout aussi vrai que si ce phénomène a pris de l'ampleur c'est parce que l'octroi d'agréments de titres de journaux est suspendu depuis des années. Un blocage qui favorise cette activité que veut combattre le ministre. Interrogé sur la révision du code de l'information, Mehal a indiqué que les dispositions qui seront contenues dans le nouveau texte visent, en premier lieu, à « protéger le journaliste ». Pour lui même si le code de 1990 contenait des « choses positives » il est indispensable de revoir certains articles pour se mettre au diapason des grandes mutations que connaît le pays. La révision de la loi organique sur l'information fait partie du vaste chantier des reformes politiques annoncées par le président de la République au même titre que les lois relatives aux partis poitqiues et aux élections. Ces projets de loi seront soumis au Parlement lors de la prochaine session d'automne. S'agissant de la carte professionnelle du journaliste, le ministre a indiqué que cette question sera prise en charge dans le cadre du nouveau texte, qui prévoit la création d'une instance chargée de la délivrance de ce document. Pour ce qui est de la commission installée au niveau du ministère de la commission pour mettre en place une convention-cadre pour la grille salariale des journalistes, le ministre a indiqué que cette commission « avance dans son travail » ; il a de même tenu à assurer que la grille des salaires qui sera élaborée « sera à la hauteur de la dignité du journaliste ». Le ministre de la Communication s'est fermement engagé à sévir contre toutes les formes de « trabendisme » qui portent un très fort préjudice à la scène mediatique nationale. « Je l'ai dit et je le répète aujourd'hui, le trabendisme sur la scène médiatique où les agréments de titres de journaux se vendent et se revendent, est inadmissible », a en effet déclaré à la presse Nacer Mehal en marge de la clôture de la session de printemps de l'APN. Il a aussi annoncé, comme pour montrer toute sa détermination à mettre fin à ces pratiques, que des mesures seront prises pour « assainir la situation et rétablir les choses dans leur contexte ». S'il est vrai que les agréments de titres de journaux se vendent et se revendent, souvent à coups de milliards, il est tout aussi vrai que ce ne ce sont pas les professionnels des médias qui s'adonnent à ces pratiques. Comme il est tout aussi vrai que si ce phénomène a pris de l'ampleur c'est parce que l'octroi d'agréments de titres de journaux est suspendu depuis des années. Un blocage qui favorise cette activité que veut combattre le ministre. Interrogé sur la révision du code de l'information, Mehal a indiqué que les dispositions qui seront contenues dans le nouveau texte visent, en premier lieu, à « protéger le journaliste ». Pour lui même si le code de 1990 contenait des « choses positives » il est indispensable de revoir certains articles pour se mettre au diapason des grandes mutations que connaît le pays. La révision de la loi organique sur l'information fait partie du vaste chantier des reformes politiques annoncées par le président de la République au même titre que les lois relatives aux partis poitqiues et aux élections. Ces projets de loi seront soumis au Parlement lors de la prochaine session d'automne. S'agissant de la carte professionnelle du journaliste, le ministre a indiqué que cette question sera prise en charge dans le cadre du nouveau texte, qui prévoit la création d'une instance chargée de la délivrance de ce document. Pour ce qui est de la commission installée au niveau du ministère de la commission pour mettre en place une convention-cadre pour la grille salariale des journalistes, le ministre a indiqué que cette commission « avance dans son travail » ; il a de même tenu à assurer que la grille des salaires qui sera élaborée « sera à la hauteur de la dignité du journaliste ».