Alors que les négociations et les tractations relatives à la dette américaine se poursuivent toujours au Sénat entre démocrates et républicains, ce qui pourrait provoquer une crise économqiue sans précédent en cas d'absence de consensus, les cours du baril de pétriole continuent leur baisse sur la place de Londres. En effet, les prix du pétrole s'inscrivaient toujours en baisse, depuis deux jours, alors que le marché était inquiet sur l'enlisement des discussions aux Etats-Unis sur le relèvement du plafond de la dette fédérale et le risque d'un défaut de paiement du pays, premier consommateur mondial de brut. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre s'échangeait à 117,97 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 70 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 78 cents à 99,09 dollars. Les cours du baril continuaient de pâtir de la nervosité des marchés financiers face à l'échec aux Etats-Unis des discussions entre élus démocrates et républicains sur le relèvement de la dette du pays, qui minait l'engouement des opérateurs pour les actifs jugés risqués, dont le pétrole. Le dollar et le pétrole souffrent tous deux de l'absence d'accord à ce stade, commentait un analyste. Les négociations se poursuivaient en coulisses lundi après un nouvel échec dimanche, l'aile droite des républicains repoussant vigoureusement toute possibilité d'une hausse d'impôts. Un compromis doit être trouvé avant le 2 août, faute de quoi les Etats-Unis risqueraient un défaut de paiement. "Ça va être le feuilleton de la semaine : à chaque rumeur sur un accord imminent ou une amélioration des discussions, il faut s'attendre à voir les prix remonter", faisait valoir l'analyste. Allant de pair vers la chute de leurs valeurs respectives, l'avenir du dollar américain et des prix du pétrole restent tributaires de la politique d'endettement des Etats-Unis d'Amérique. En fait, toute la politique économique de la première puissance économique mondiale risque d'être perturbée à la suite de la stagnation des pourparlers entre les principales forces politiques rivales. Par voie de conséquence, la finance et l'économie des pays avancés et industrialisés en pâtissent également et risquent de connaître des conséquences néfastes de la problématique de la dette américaine. Alors que les négociations et les tractations relatives à la dette américaine se poursuivent toujours au Sénat entre démocrates et républicains, ce qui pourrait provoquer une crise économqiue sans précédent en cas d'absence de consensus, les cours du baril de pétriole continuent leur baisse sur la place de Londres. En effet, les prix du pétrole s'inscrivaient toujours en baisse, depuis deux jours, alors que le marché était inquiet sur l'enlisement des discussions aux Etats-Unis sur le relèvement du plafond de la dette fédérale et le risque d'un défaut de paiement du pays, premier consommateur mondial de brut. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre s'échangeait à 117,97 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 70 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 78 cents à 99,09 dollars. Les cours du baril continuaient de pâtir de la nervosité des marchés financiers face à l'échec aux Etats-Unis des discussions entre élus démocrates et républicains sur le relèvement de la dette du pays, qui minait l'engouement des opérateurs pour les actifs jugés risqués, dont le pétrole. Le dollar et le pétrole souffrent tous deux de l'absence d'accord à ce stade, commentait un analyste. Les négociations se poursuivaient en coulisses lundi après un nouvel échec dimanche, l'aile droite des républicains repoussant vigoureusement toute possibilité d'une hausse d'impôts. Un compromis doit être trouvé avant le 2 août, faute de quoi les Etats-Unis risqueraient un défaut de paiement. "Ça va être le feuilleton de la semaine : à chaque rumeur sur un accord imminent ou une amélioration des discussions, il faut s'attendre à voir les prix remonter", faisait valoir l'analyste. Allant de pair vers la chute de leurs valeurs respectives, l'avenir du dollar américain et des prix du pétrole restent tributaires de la politique d'endettement des Etats-Unis d'Amérique. En fait, toute la politique économique de la première puissance économique mondiale risque d'être perturbée à la suite de la stagnation des pourparlers entre les principales forces politiques rivales. Par voie de conséquence, la finance et l'économie des pays avancés et industrialisés en pâtissent également et risquent de connaître des conséquences néfastes de la problématique de la dette américaine.