Le conseil de la Ligue arabe au niveau des délégués permanents a décidé, mardi dernier, de soutenir le budget de l'Autorité palestinienne et a appelé les pays arabes à verser leurs contributions financières au budget de l'Autorité pour pouvoir payer les fonctionnaires. Le conseil de la Ligue arabe au niveau des délégués permanents a décidé, mardi dernier, de soutenir le budget de l'Autorité palestinienne et a appelé les pays arabes à verser leurs contributions financières au budget de l'Autorité pour pouvoir payer les fonctionnaires. Au terme de sa réunion extraordinaire consacrée au soutien du budget de l'Autorité palestinienne, le conseil a adressé ses remerciements aux pays arabes qui ont honoré leurs engagements à l'égard des fonds d'Al Aqsa et d'Al Qods conformément aux décisions du sommet du Caire de 2000 et de l'octroi de l'appui supplémentaire aux deux fonds conformément aux décisions du sommet de Beyrouth de 2002. Dans une conférence de presse conjointe avec le premier ministre palestinien, Salam Fayadh, le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, Ahmed Ben Halli a souligné que la réunion a adopté à l'unanimité une décision portant soutien de l'Autorité palestinienne et que le conseil a appelé les pays arabes à verser leurs contributions financières au budget de l'autorité pour pouvoir payer les fonctionnaires. Pour sa part, le premier ministre palestinien a indiqué que l'Autorité palestinienne a besoin de 300 millions de dollars pour surmonter sa crise financière. En 2011, le montant global accordé à l'Autorité palestinienne a atteint 331 millions de dollars dont un montant de 79 millions de dollars accordé par les pays arabes, sans compter le montant accordé, récemment, par l'Arabie saoudite et qui s'élève à 30 millions de dollars, a-t-il indiqué. La crise financière est due essentiellement au manque de financement par les pays donateurs en dépit de la réduction par l'Autorité palestinienne des dépenses qui sont passées de 1,8 milliards de dollars en 2008 à 790 millions en 2011, a précisé M. Fayadh. S'exprimant sur les pratiques israéliennes qui entravent le processus de développement économique palestinien, M. Fayadh a évoqué l'imposition de restrictions et de mesures entravant le développement économique palestinien. Il a ajouté avoir informé les délégués permanents des récents problèmes auxquels est confrontée l'Autorité palestinienne, notamment les conditions financières difficiles, bien qu'elle eut réussi à réunir les conditions nécessaires à l'établissement d'un Etat palestinien et au parachèvement du processus de création des institutions de l'Etat. Le conseil a rendu public une décision sur la coordination des positions arabes lors de la 55e session de la conférence générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), prévue en septembre prochain à Vienne. En vertu de cette décision, le groupe arabe a été chargé à Vienne de prendre une série de mesures, concernant l'action arabe lors de la prochaine réunion de l'AIEA pour faire face aux dangers de l'arme nucléaire israélienne et des autres armes israéliennes de destruction massive, sur la paix et la sécurité arabe, a déclaré le délégué du Sultanat d'Oman, Khalifa Ben Ali Al Harithi au terme de la réunion. Le conseil a appelé les ministres des Affaires étrangères et le secrétaire général de la Ligue à agir avec les pays membres de l'AIEA pour mobiliser le soutien au projet de résolution arabe. Au terme de sa réunion extraordinaire consacrée au soutien du budget de l'Autorité palestinienne, le conseil a adressé ses remerciements aux pays arabes qui ont honoré leurs engagements à l'égard des fonds d'Al Aqsa et d'Al Qods conformément aux décisions du sommet du Caire de 2000 et de l'octroi de l'appui supplémentaire aux deux fonds conformément aux décisions du sommet de Beyrouth de 2002. Dans une conférence de presse conjointe avec le premier ministre palestinien, Salam Fayadh, le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, Ahmed Ben Halli a souligné que la réunion a adopté à l'unanimité une décision portant soutien de l'Autorité palestinienne et que le conseil a appelé les pays arabes à verser leurs contributions financières au budget de l'autorité pour pouvoir payer les fonctionnaires. Pour sa part, le premier ministre palestinien a indiqué que l'Autorité palestinienne a besoin de 300 millions de dollars pour surmonter sa crise financière. En 2011, le montant global accordé à l'Autorité palestinienne a atteint 331 millions de dollars dont un montant de 79 millions de dollars accordé par les pays arabes, sans compter le montant accordé, récemment, par l'Arabie saoudite et qui s'élève à 30 millions de dollars, a-t-il indiqué. La crise financière est due essentiellement au manque de financement par les pays donateurs en dépit de la réduction par l'Autorité palestinienne des dépenses qui sont passées de 1,8 milliards de dollars en 2008 à 790 millions en 2011, a précisé M. Fayadh. S'exprimant sur les pratiques israéliennes qui entravent le processus de développement économique palestinien, M. Fayadh a évoqué l'imposition de restrictions et de mesures entravant le développement économique palestinien. Il a ajouté avoir informé les délégués permanents des récents problèmes auxquels est confrontée l'Autorité palestinienne, notamment les conditions financières difficiles, bien qu'elle eut réussi à réunir les conditions nécessaires à l'établissement d'un Etat palestinien et au parachèvement du processus de création des institutions de l'Etat. Le conseil a rendu public une décision sur la coordination des positions arabes lors de la 55e session de la conférence générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), prévue en septembre prochain à Vienne. En vertu de cette décision, le groupe arabe a été chargé à Vienne de prendre une série de mesures, concernant l'action arabe lors de la prochaine réunion de l'AIEA pour faire face aux dangers de l'arme nucléaire israélienne et des autres armes israéliennes de destruction massive, sur la paix et la sécurité arabe, a déclaré le délégué du Sultanat d'Oman, Khalifa Ben Ali Al Harithi au terme de la réunion. Le conseil a appelé les ministres des Affaires étrangères et le secrétaire général de la Ligue à agir avec les pays membres de l'AIEA pour mobiliser le soutien au projet de résolution arabe.