Des dizaines de jeunes recrutés dans le cadre de dispositif d'emploi, Contrat de formation et d'insertion (CFI), ont fermé, jeudi matin, pour la troisième journée consécutive, le siège de l'APC de Chabet El Ameur à 30 km à l'est de Boumerdès, pour réclamer la rétribution de leurs salaires. Ils n'ont pas reçu leurs mensualités depuis près de quatre mois, indique-on. «On nous a promis que nos salaires seront versés à chaque fin de mois, mais voilà, 4 mois sont passés et nous n'avons rien reçus», disent-ils. Les jeunes recrutés perçoivent une indemnité ne dépassant pas les 12 000 DA, une somme dont la plupart d'entre eux n'arrivent pas à satisfaire leurs besoins quotidiens. Parmi ces jeunes, l'on compte près de 120 sont enrôlés dans les services des travaux publics et interviennent, notamment, dans l'entretien des axes routiers, 100 jeunes sont recrutés par la direction des forêts et une vingtaine autres sont insérés dans les services hydrauliques. Mais il semble qu'un bras de fer a été lancé entre les jeunes protestataires et la direction de l'emploi qui a décidé de verser uniquement les salaires de ceux qui ont accompli leurs tâches et qui ont respecté le contrat. La fermeture du siège de l'APC n'a pas été sans conséquences sur le fonctionnement notamment des services de l'état civil où plusieurs citoyens sont revenus bredouilles sans que leurs documents soient délivrés. Cette action de protestation a pénalisé, également, les nouveaux bacheliers qui préparaient la constitution de leurs dossiers de préinscription. Des dizaines de jeunes recrutés dans le cadre de dispositif d'emploi, Contrat de formation et d'insertion (CFI), ont fermé, jeudi matin, pour la troisième journée consécutive, le siège de l'APC de Chabet El Ameur à 30 km à l'est de Boumerdès, pour réclamer la rétribution de leurs salaires. Ils n'ont pas reçu leurs mensualités depuis près de quatre mois, indique-on. «On nous a promis que nos salaires seront versés à chaque fin de mois, mais voilà, 4 mois sont passés et nous n'avons rien reçus», disent-ils. Les jeunes recrutés perçoivent une indemnité ne dépassant pas les 12 000 DA, une somme dont la plupart d'entre eux n'arrivent pas à satisfaire leurs besoins quotidiens. Parmi ces jeunes, l'on compte près de 120 sont enrôlés dans les services des travaux publics et interviennent, notamment, dans l'entretien des axes routiers, 100 jeunes sont recrutés par la direction des forêts et une vingtaine autres sont insérés dans les services hydrauliques. Mais il semble qu'un bras de fer a été lancé entre les jeunes protestataires et la direction de l'emploi qui a décidé de verser uniquement les salaires de ceux qui ont accompli leurs tâches et qui ont respecté le contrat. La fermeture du siège de l'APC n'a pas été sans conséquences sur le fonctionnement notamment des services de l'état civil où plusieurs citoyens sont revenus bredouilles sans que leurs documents soient délivrés. Cette action de protestation a pénalisé, également, les nouveaux bacheliers qui préparaient la constitution de leurs dossiers de préinscription.