Concilier diabète et Ramadhan est possible pour les diabétiques, à condition d'adapter son alimentation et son traitement aux contraintes dues à cette période d'abstinence, du lever au coucher du soleil. Concilier diabète et Ramadhan est possible pour les diabétiques, à condition d'adapter son alimentation et son traitement aux contraintes dues à cette période d'abstinence, du lever au coucher du soleil. Une personne souffrant de diabète doit avoir conscience que faire le Ramadhan présente des risques pour sa santé liés au jeûne et au bouleversement du rythme et du contenu de l'alimentation. C'est pourquoi il est important de consulter l'avis d'un médecin spécialisé dans le diabète avant le début du Ramadhan. A noter que celui-ci est contre-indiqué en cas de diabète déséquilibré traité par insuline. Ramadhan et diabète, quels sont les risques ? Dans la journée, le principal risque est de faire une hypoglycémie, si le patient n'a pas pris soin de faire adapter son traitement en concertation avec son médecin, A l'inverse, au coucher du soleil, l'éventuel excès de calories augmente le risque d'hyperglycémie, qui se traduit par une soif intense et des urines particulièrement abondantes pouvant aller jusqu'à la déshydratation. Les règles d'or : On surveille régulièrement son taux de glycémie : on fait deux glycémies capillaires pendant le jeûne. On en fait une aussi avant chaque repas : une avant le repas "Al Ftour" après le coucher du soleil ; une avant le repas "Al Ichaa" qui suit de quelques heures "Al Ftour", et une avant le "S'hour" avant le lever du soleil. Si vous voyez que votre glycémie est inférieure à 0,70 g/l, pensez à rompre le jeûne. Côté alimentation, on a tendance à manger trop gras et trop sucré pendant la période du Ramadhan tandis qu'on sacrifie les sources de fibres présentes dans les fruits et légumes frais. La solution ? Dites oui aux dattes, au pain et aux soupes de chorba, harira ou de tchicha. On met, en revanche, le holà sur les pâtisseries orientales comme les makroud, les zlabia, et les viennoiseries. Exit aussi les fruits oléagineux type cacahuètes, pistaches et les sodas. L'essentiel est d'avoir une alimentation équilibrée répartie sur deux ou trois repas pendant la rupture du jeûne. Une personne souffrant de diabète doit avoir conscience que faire le Ramadhan présente des risques pour sa santé liés au jeûne et au bouleversement du rythme et du contenu de l'alimentation. C'est pourquoi il est important de consulter l'avis d'un médecin spécialisé dans le diabète avant le début du Ramadhan. A noter que celui-ci est contre-indiqué en cas de diabète déséquilibré traité par insuline. Ramadhan et diabète, quels sont les risques ? Dans la journée, le principal risque est de faire une hypoglycémie, si le patient n'a pas pris soin de faire adapter son traitement en concertation avec son médecin, A l'inverse, au coucher du soleil, l'éventuel excès de calories augmente le risque d'hyperglycémie, qui se traduit par une soif intense et des urines particulièrement abondantes pouvant aller jusqu'à la déshydratation. Les règles d'or : On surveille régulièrement son taux de glycémie : on fait deux glycémies capillaires pendant le jeûne. On en fait une aussi avant chaque repas : une avant le repas "Al Ftour" après le coucher du soleil ; une avant le repas "Al Ichaa" qui suit de quelques heures "Al Ftour", et une avant le "S'hour" avant le lever du soleil. Si vous voyez que votre glycémie est inférieure à 0,70 g/l, pensez à rompre le jeûne. Côté alimentation, on a tendance à manger trop gras et trop sucré pendant la période du Ramadhan tandis qu'on sacrifie les sources de fibres présentes dans les fruits et légumes frais. La solution ? Dites oui aux dattes, au pain et aux soupes de chorba, harira ou de tchicha. On met, en revanche, le holà sur les pâtisseries orientales comme les makroud, les zlabia, et les viennoiseries. Exit aussi les fruits oléagineux type cacahuètes, pistaches et les sodas. L'essentiel est d'avoir une alimentation équilibrée répartie sur deux ou trois repas pendant la rupture du jeûne.