Le ministère tunisien de la Justice a fustigé samedi les critiques des partis politiques sur la libération de deux anciens ministres affirmant "la totale indépendance de la justice" tunisienne dans ses prise de décisions. Dans un communiqué, le ministère tunisien de la Justice souligne que "les juges d'instruction sont totalement indépendants dans la prise de la décision adaptée aux affaires qui leur sont présentées, conformément à ce qui leur est dicté par leur conscience et par la loi". La magistrature est devenue, depuis la révolution du 14 janvier, "totalement indépendante et seules la conscience et la loi ont un pouvoir sur elle", a ajouté le communiqué. Répondant aux critiques d'organes d'information et de parties politiques, civiles et professionnelles, concernant la libération de Bechir Tekkari, ancien ministre de la Justice, puis de l'Enseignement supérieur, sous le régime de Zine El Abidine Ben Ali, et d'Abderrahim Zouari, ancien ministre du Transport, le communiqué affirme que "le ministère de la Justice n'intervient d'aucune manière dans les décisions prises par les juges d'instruction, parce que l'indépendance de la justice est devenue irréversible". Le ministère tunisien de la Justice a fustigé samedi les critiques des partis politiques sur la libération de deux anciens ministres affirmant "la totale indépendance de la justice" tunisienne dans ses prise de décisions. Dans un communiqué, le ministère tunisien de la Justice souligne que "les juges d'instruction sont totalement indépendants dans la prise de la décision adaptée aux affaires qui leur sont présentées, conformément à ce qui leur est dicté par leur conscience et par la loi". La magistrature est devenue, depuis la révolution du 14 janvier, "totalement indépendante et seules la conscience et la loi ont un pouvoir sur elle", a ajouté le communiqué. Répondant aux critiques d'organes d'information et de parties politiques, civiles et professionnelles, concernant la libération de Bechir Tekkari, ancien ministre de la Justice, puis de l'Enseignement supérieur, sous le régime de Zine El Abidine Ben Ali, et d'Abderrahim Zouari, ancien ministre du Transport, le communiqué affirme que "le ministère de la Justice n'intervient d'aucune manière dans les décisions prises par les juges d'instruction, parce que l'indépendance de la justice est devenue irréversible".