Au treizième jour du mois sacré de Ramadhan, c'est, enfin, la modération. Les ménagères de la capitale, à l'image de celles des autres villes du pays, ne se bousculent plus dans les marchés des fruits et légumes ainsi que ceux des viandes pour faire leurs emplettes. Au treizième jour du mois sacré de Ramadhan, c'est, enfin, la modération. Les ménagères de la capitale, à l'image de celles des autres villes du pays, ne se bousculent plus dans les marchés des fruits et légumes ainsi que ceux des viandes pour faire leurs emplettes. Ces denrées alimentaires de large consommation, a-t-on constatés, sont disponibles. Même s'ils ne sont pas accessibles pour toutes les classes sociales, notamment les petites bourses, les prix de nombre de ces produits connaissent au moins une certaine stabilité. Certains considèrent que cette tendance positive dans les pratiques de consommation, durant ce mois sacré, est due à la disponibilité de ces produits et la stabilité des prix. D'autres explique cela par une prise de conscience des ménagères algéroises, à l'instar des autres, de l'importance d'une alimentation par trop «grasse» durant ce mois qui se déroule en pleine chaleur. «Il n'est pas logique de préparer de plats lourds durant cette période d'été», fait remarquer la jeune Djaouida avant de conclure : «Des salades et des fruits feront l'affaire.». Contrairement à ces avis, certains pensent qu'il ne s'agit d'autre chose que d'un pouvoir d'achat laminé, épuisé au premier «round» de ce mois. «Nous ne pouvons plus nous approvisionner une fois chaque mois, comme au bon vieux temps (…). La vie est chère de nos jours et c'est pour cela que nous ne procédons plus à des achats massifs», dira Dahbia. Même si les prix des fruits et légumes n'ont relativement pas augmenté, ils n'ont, toutefois, pas baissé au 13e jour de ce mois. D'autant qu'après leur traditionnelle flambée constatée au début de chaque mois de Ramadhan, les prix des produits alimentaires de base ainsi que ceux des fruits et légumes sont généralement en baisse au début de la deuxième semaine de ce mois. Une virée dans les magasins permet de mieux comprendre la question. La courgette à 40 DA/kg, la laitue à 100 DA/kg et l'oignon à 30 DA/kg, la pomme de terre à 50 DA/kg, les tomates à 80 DA/kg, les carottes à 70 DA/kg, le poivron à 60 DA/kg. Idem pour les fruits. La pastèque à 25 DA/kg, le melon à 60 DA, les figues à 120 DA/ kg, le raisin à 150 DA et les bananes à 70 DA. Pas d'augmentation mais toujours pas de baisse des prix. Notons, dans ce contexte, que les grossistes des fruits et légumes, en l'absence de structures de froid nécessaires au stockage de leurs marchandises durant cette chaleur, se retrouvent généralement obligés d'écouler toutes leurs marchandises dans l'immédiat. Décidément, la chaleur d'août n'a pas réussi à freiner le spectre de la spéculation ! Ces denrées alimentaires de large consommation, a-t-on constatés, sont disponibles. Même s'ils ne sont pas accessibles pour toutes les classes sociales, notamment les petites bourses, les prix de nombre de ces produits connaissent au moins une certaine stabilité. Certains considèrent que cette tendance positive dans les pratiques de consommation, durant ce mois sacré, est due à la disponibilité de ces produits et la stabilité des prix. D'autres explique cela par une prise de conscience des ménagères algéroises, à l'instar des autres, de l'importance d'une alimentation par trop «grasse» durant ce mois qui se déroule en pleine chaleur. «Il n'est pas logique de préparer de plats lourds durant cette période d'été», fait remarquer la jeune Djaouida avant de conclure : «Des salades et des fruits feront l'affaire.». Contrairement à ces avis, certains pensent qu'il ne s'agit d'autre chose que d'un pouvoir d'achat laminé, épuisé au premier «round» de ce mois. «Nous ne pouvons plus nous approvisionner une fois chaque mois, comme au bon vieux temps (…). La vie est chère de nos jours et c'est pour cela que nous ne procédons plus à des achats massifs», dira Dahbia. Même si les prix des fruits et légumes n'ont relativement pas augmenté, ils n'ont, toutefois, pas baissé au 13e jour de ce mois. D'autant qu'après leur traditionnelle flambée constatée au début de chaque mois de Ramadhan, les prix des produits alimentaires de base ainsi que ceux des fruits et légumes sont généralement en baisse au début de la deuxième semaine de ce mois. Une virée dans les magasins permet de mieux comprendre la question. La courgette à 40 DA/kg, la laitue à 100 DA/kg et l'oignon à 30 DA/kg, la pomme de terre à 50 DA/kg, les tomates à 80 DA/kg, les carottes à 70 DA/kg, le poivron à 60 DA/kg. Idem pour les fruits. La pastèque à 25 DA/kg, le melon à 60 DA, les figues à 120 DA/ kg, le raisin à 150 DA et les bananes à 70 DA. Pas d'augmentation mais toujours pas de baisse des prix. Notons, dans ce contexte, que les grossistes des fruits et légumes, en l'absence de structures de froid nécessaires au stockage de leurs marchandises durant cette chaleur, se retrouvent généralement obligés d'écouler toutes leurs marchandises dans l'immédiat. Décidément, la chaleur d'août n'a pas réussi à freiner le spectre de la spéculation !