Il s'agit d'un évènement d'actualité qui entre dans le cadre de la politique nationale des énergies renouvelables qui doit être le corollaire des énergies fossiles. Il s'agit d'un évènement d'actualité qui entre dans le cadre de la politique nationale des énergies renouvelables qui doit être le corollaire des énergies fossiles. Organisées sous le haut patronage du directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, par la faculté des sciences de l'université de Tlemcen et l'unité de recherche matériaux et énergies renouvelables avec la contribution du centre de développement des énergies renouvelables (CDER) et le soutien des groupes de Sonatrach et Sonelgaz, les 15es Journées internationales de thermique (JITH) se dérouleront à Tlemcen du 24 au 26 septembre prochain, sous le thème générique «Les énergies du futur». Les journées internationales de thermique vont fêter, selon les organisateurs, « leur 15e anniversaire à Tlemcen, le 24 septembre 2011 ». Depuis leur création en Tunisie en 1983, les JITH ont été régulièrement accueillis, tous les deux ans, en Algérie, Belgique, Egypte, France, Maroc et en Tunisie. Ces journées ont pour but de favoriser, selon la même source, « la coopération entre les équipes scientifiques des deux rives de la Méditerranée, de donner l'occasion aux jeunes chercheurs d'exposer leurs travaux de recherche et de faire fructifier les échanges entre l'université et son environnement ». Il s'agit également d'encourager le transfert technologique et de véhiculer le savoir-faire entre les différents chercheurs et experts nationaux et étrangers. Les 15es JITH se sont ainsi fixé comme objectifs principaux, selon les promoteurs de cet évènement, « de faire le point sur l'état d'avancement des travaux de recherche dans le domaine des transferts thermiques et de contribuer à la diffusion de ces travaux en vue d'applications dans les divers secteurs de l'économie (industrie, agriculture, transport et habitat) ». Aussi, le programme insiste en outre sur la contribution de la valorisation des résultats de ces travaux dans les domaines de la maîtrise de l'énergie et de l'environnement en favorisant les relations entre chercheurs et décideurs œuvrant dans ce domaine. Ainsi les différents thèmes traiteront les « Transferts thermiques et ses développements récents », notamment l'expérimentation, la modélisation et la simulation, les énergies renouvelables, tels que le solaire et la biomasse, l'efficacité énergétique, le stockage de l'énergie et les systèmes hybrides. Un montant de 60 milliards dollars d'ici 2030 Enfin, un autre thème sera consacré aux volets techniques en posant la problématique des machines thermiques et les transferts de chaleur et de masse dans l'industrie, le bâtiment, l'agriculture et le transport. Il est prévu en outre une session spécialisée portant sur les « Matériaux pour la thermi- que ». Les 15es JITH seront organisées en sessions, chacune étant introduite par une conférence générale. Les communications retenues par le comité d'organisation, seront classées par thème. Elles feront l'objet d'une présentation orale ou d'un poster et seront publiées dans le recueil des JITH 2011 sur un support numérique (CD). Les meilleurs articles (en anglais) seront retenus pour être publiés dans des revues internationales. L'option de développement des énergies du futur n'est plus ainsi une simple vue d'esprit mais des programmes de réalisation industrielle et des conférences scientifiques qui se multiplient ces derniers mois en Algérie. Les langues des 15es JITH 2011 seront l'arabe, le fFrançais et l'anglais pour faire entendre les communications au plus large public, précisent les organisateurs. Il est prévu dans ce riche programme scientifique des soirées musicales et des visites guidées aux sites touristiques et historiques de la région de Tlemcen, durant ces JITH 2011 qui mettent le cap sur le développement des énergies du futur en Algérie. Ces énergies propres bénéficient d'une enveloppe financière conséquente pour leur développement, puisque les pouvoirs publics leur ont octroyé un budget de l'ordre de 60 milliards dollars d'ici 2030, notamment pour développer l'électricité solaire, alors que l'Algérie veut porter à 40 % la part des énergies renouvelables (en constante augmentation) à l'horizon 2030. Organisées sous le haut patronage du directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, par la faculté des sciences de l'université de Tlemcen et l'unité de recherche matériaux et énergies renouvelables avec la contribution du centre de développement des énergies renouvelables (CDER) et le soutien des groupes de Sonatrach et Sonelgaz, les 15es Journées internationales de thermique (JITH) se dérouleront à Tlemcen du 24 au 26 septembre prochain, sous le thème générique «Les énergies du futur». Les journées internationales de thermique vont fêter, selon les organisateurs, « leur 15e anniversaire à Tlemcen, le 24 septembre 2011 ». Depuis leur création en Tunisie en 1983, les JITH ont été régulièrement accueillis, tous les deux ans, en Algérie, Belgique, Egypte, France, Maroc et en Tunisie. Ces journées ont pour but de favoriser, selon la même source, « la coopération entre les équipes scientifiques des deux rives de la Méditerranée, de donner l'occasion aux jeunes chercheurs d'exposer leurs travaux de recherche et de faire fructifier les échanges entre l'université et son environnement ». Il s'agit également d'encourager le transfert technologique et de véhiculer le savoir-faire entre les différents chercheurs et experts nationaux et étrangers. Les 15es JITH se sont ainsi fixé comme objectifs principaux, selon les promoteurs de cet évènement, « de faire le point sur l'état d'avancement des travaux de recherche dans le domaine des transferts thermiques et de contribuer à la diffusion de ces travaux en vue d'applications dans les divers secteurs de l'économie (industrie, agriculture, transport et habitat) ». Aussi, le programme insiste en outre sur la contribution de la valorisation des résultats de ces travaux dans les domaines de la maîtrise de l'énergie et de l'environnement en favorisant les relations entre chercheurs et décideurs œuvrant dans ce domaine. Ainsi les différents thèmes traiteront les « Transferts thermiques et ses développements récents », notamment l'expérimentation, la modélisation et la simulation, les énergies renouvelables, tels que le solaire et la biomasse, l'efficacité énergétique, le stockage de l'énergie et les systèmes hybrides. Un montant de 60 milliards dollars d'ici 2030 Enfin, un autre thème sera consacré aux volets techniques en posant la problématique des machines thermiques et les transferts de chaleur et de masse dans l'industrie, le bâtiment, l'agriculture et le transport. Il est prévu en outre une session spécialisée portant sur les « Matériaux pour la thermi- que ». Les 15es JITH seront organisées en sessions, chacune étant introduite par une conférence générale. Les communications retenues par le comité d'organisation, seront classées par thème. Elles feront l'objet d'une présentation orale ou d'un poster et seront publiées dans le recueil des JITH 2011 sur un support numérique (CD). Les meilleurs articles (en anglais) seront retenus pour être publiés dans des revues internationales. L'option de développement des énergies du futur n'est plus ainsi une simple vue d'esprit mais des programmes de réalisation industrielle et des conférences scientifiques qui se multiplient ces derniers mois en Algérie. Les langues des 15es JITH 2011 seront l'arabe, le fFrançais et l'anglais pour faire entendre les communications au plus large public, précisent les organisateurs. Il est prévu dans ce riche programme scientifique des soirées musicales et des visites guidées aux sites touristiques et historiques de la région de Tlemcen, durant ces JITH 2011 qui mettent le cap sur le développement des énergies du futur en Algérie. Ces énergies propres bénéficient d'une enveloppe financière conséquente pour leur développement, puisque les pouvoirs publics leur ont octroyé un budget de l'ordre de 60 milliards dollars d'ici 2030, notamment pour développer l'électricité solaire, alors que l'Algérie veut porter à 40 % la part des énergies renouvelables (en constante augmentation) à l'horizon 2030.