La présidente Cristina Kirchner a remporté 50% des voix des primaires organisées dimanche en Argentine pour désigner les candidats à l'élection présidentielle du 23 octobre, selon des résultats partiels officiels. Après le dépouillement de près de la moitié des bulletins de vote, Mme Kirchner devance largement le candidat social-démocrate Ricardo Alfonsin (12,9%) et l'ex-président péroniste Eduardo Duhalde (12%). Les 28 millions d'électeurs avaient à choisir entre dix listes de postulants à la présidence et à la vice-présidence lors de primaires inédites et obligatoires, selon une nouvelle loi électorale votée en décembre 2009. Selon un récent sondage de Management & Fit (M&F), si l'élection présidentielle se tenait maintenant, la veuve de Nestor Kirchner (président de 2003 à 2007, décédé en octobre) obtiendrait 41% des suffrages contre 19,6% pour M. Alfonsin, candidat d'un rassemblement dirigé par l'Union Civique Radicale (UCR), deuxième groupe au Parlement. Pour être élu au premier tour de la présidentielle, un candidat devra obtenir soit plus de 45% des voix, soit plus de 40% avec une avance de plus de 10% sur le deuxième. La présidente Cristina Kirchner a remporté 50% des voix des primaires organisées dimanche en Argentine pour désigner les candidats à l'élection présidentielle du 23 octobre, selon des résultats partiels officiels. Après le dépouillement de près de la moitié des bulletins de vote, Mme Kirchner devance largement le candidat social-démocrate Ricardo Alfonsin (12,9%) et l'ex-président péroniste Eduardo Duhalde (12%). Les 28 millions d'électeurs avaient à choisir entre dix listes de postulants à la présidence et à la vice-présidence lors de primaires inédites et obligatoires, selon une nouvelle loi électorale votée en décembre 2009. Selon un récent sondage de Management & Fit (M&F), si l'élection présidentielle se tenait maintenant, la veuve de Nestor Kirchner (président de 2003 à 2007, décédé en octobre) obtiendrait 41% des suffrages contre 19,6% pour M. Alfonsin, candidat d'un rassemblement dirigé par l'Union Civique Radicale (UCR), deuxième groupe au Parlement. Pour être élu au premier tour de la présidentielle, un candidat devra obtenir soit plus de 45% des voix, soit plus de 40% avec une avance de plus de 10% sur le deuxième.