Sept personnes ont trouvé la mort et 16 autres blessées dans 53 collisions entre des trains et des véhicules ou des piétons au niveau de passages à niveau gardés et non gardés durant le premier semestre 2011 à l'échelle nationale, apprend-on lundi auprès de la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF). La plupart de ces accidents (48) ont été enregistrés au niveau de 1 282 passages à niveau non gardés contre 222 passages gardés, soit ceux qui connaissent une activité intense, a indiqué le chef du service sécurité de la circulation des trains, M. Tazdaït Mourad à l'APS. La région de Constantine détient le plus grand nombre de collisions (23) ayant fait 8 blessés, suivie d'Annaba avec 11 collisions ayant fait 2 morts et 2 blessés, puis Oran avec 10 accidents ayant fait 5 blessés. Le plus lourd bilan en pertes humaines est enregistré à Alger avec 9 collisions ayant fait 5 morts. Six de ces accidents sont survenus au niveau de passages à niveau non gardés. A travers une lecture du bilan de la SNTF, il en ressort que le nombre de collisions au niveau des passages gardés a baissé par rapport à la même période de l'année précédente, a précisé M. Tazdaït avant de souligner que les accidents sur les passages à niveau non gardés avaient augmenté surtout à Constantine (23) contre 9 l'année dernière. M. Tazdaït a expliqué cette augmentation par la négligence des automobilistes et des piétons quant au respect des panneaux de signalisation posés près des passages à niveau gardés et non gardés. S'adressant aux usagers de la route, il a fait remarquer qu'il était impossible d'activer le freinage d'un train roulant à une vitesse de 110/120 km/h qu'après 1 200 m. Il a rappelé, à ce propos, les campagnes de sensibilisation menées par la SNTF tout au long de l'année, déplorant l'absence d'impact de celles-ci sur le citoyen qui «met en péril sa vie pour quelques minutes». En vue de garantir la sécurité du citoyen, la SNTF procède tous les mois environ au renforcement de 10 passages à niveau non gardés en y déployant des gardiens. Le réseau ferroviaire au niveau national est estimé à 4 000 km. Sept personnes ont trouvé la mort et 16 autres blessées dans 53 collisions entre des trains et des véhicules ou des piétons au niveau de passages à niveau gardés et non gardés durant le premier semestre 2011 à l'échelle nationale, apprend-on lundi auprès de la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF). La plupart de ces accidents (48) ont été enregistrés au niveau de 1 282 passages à niveau non gardés contre 222 passages gardés, soit ceux qui connaissent une activité intense, a indiqué le chef du service sécurité de la circulation des trains, M. Tazdaït Mourad à l'APS. La région de Constantine détient le plus grand nombre de collisions (23) ayant fait 8 blessés, suivie d'Annaba avec 11 collisions ayant fait 2 morts et 2 blessés, puis Oran avec 10 accidents ayant fait 5 blessés. Le plus lourd bilan en pertes humaines est enregistré à Alger avec 9 collisions ayant fait 5 morts. Six de ces accidents sont survenus au niveau de passages à niveau non gardés. A travers une lecture du bilan de la SNTF, il en ressort que le nombre de collisions au niveau des passages gardés a baissé par rapport à la même période de l'année précédente, a précisé M. Tazdaït avant de souligner que les accidents sur les passages à niveau non gardés avaient augmenté surtout à Constantine (23) contre 9 l'année dernière. M. Tazdaït a expliqué cette augmentation par la négligence des automobilistes et des piétons quant au respect des panneaux de signalisation posés près des passages à niveau gardés et non gardés. S'adressant aux usagers de la route, il a fait remarquer qu'il était impossible d'activer le freinage d'un train roulant à une vitesse de 110/120 km/h qu'après 1 200 m. Il a rappelé, à ce propos, les campagnes de sensibilisation menées par la SNTF tout au long de l'année, déplorant l'absence d'impact de celles-ci sur le citoyen qui «met en péril sa vie pour quelques minutes». En vue de garantir la sécurité du citoyen, la SNTF procède tous les mois environ au renforcement de 10 passages à niveau non gardés en y déployant des gardiens. Le réseau ferroviaire au niveau national est estimé à 4 000 km.