L'assemblée générale élective tenue le 25 juin 2011 a connu une fin dramatique avec un grand déballage. Pour mettre la lumière sur les polémiques qui le gangrènent, le président du SNEL, M. Ahmed Madi, accompagné de plusieurs éditeurs faisant partie du bureau, ont animé une conférence de presse, hier, au siège de l'Union des écrivains algériens (UEA). L'assemblée générale élective tenue le 25 juin 2011 a connu une fin dramatique avec un grand déballage. Pour mettre la lumière sur les polémiques qui le gangrènent, le président du SNEL, M. Ahmed Madi, accompagné de plusieurs éditeurs faisant partie du bureau, ont animé une conférence de presse, hier, au siège de l'Union des écrivains algériens (UEA). Le bras de fer entre les membres du Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) n'est pas prêt de connaître son épilogue. L'assemblée générale élective, tenue le 25 juin 2011, a connu une fin dramatique. Néanmoins, durant cette AG, les éditeurs ont procédé à l'élection, par vote, du nouveau bureau du syndicat qui devait se charger de l'élection du président du SNEL et de son adjoint. Pour mettre la lumière sur les polémiques qui gangrènent le syndicat, le président du SNEL, M. Ahmad Madi, accompagné de plusieurs éditeurs faisant partie du bureau, ont animé une conférence de presse, hier, au siège de l'Union des écrivains algériens (UEA). En effet, M. Ahmed Madi revient sur le déroulement de cette assemblée générale élective qui a été, d'après lui, un grand désastre. Pourtant, «pour la première fois il y a eu lieu une assemblé générale élective dans le cadre strict de la loi. Nous avons eu l'autorisation du ministère de l'Intérieur, de la wilaya ainsi que la présence d'un huissier de justice (désigné par la cour d'Alger) et d'un commissaire en compte», déclare le président du SNEL. Vu le climat dans lequel s'était déroulée la réunion, il affirme avec désarroi : «J'ai honte de dire aujourd'hui que je suis éditeur. Il y a eu un désordre inimaginable. Il y a eu des gens qui se déclaraient comme éditeurs alors qu'ils ne le sont pas. Les cotisations se réglaient le jour même, mais nous nous sommes retrouvés avec des chèques impayés. Les gens n'ont pas voulu donner les procurations à l'huissier de justice. Imaginez qu'une personne a même osé présenter sa candidature au nom de son père !» Profitant de cette rencontre avec la presse, M. Madi a annoncé qu'une autre assemblée générale élective sera organisée prochainement : «Elle se déroulera également dans la transparence totale, dans le respect de la loi. Espérons, néanmoins, que cette fois-ci, il n'y aurait pas le chaos comme la première fois.» Pour plus de clarifications, M. Madi, toujours président du SNEL, a remis à l'assistance des copies du procès-verbal rédigé par l'huissier de justice présent. Ce dernier rapporte en détail la tenue de cette assemblée générale. D'ailleurs, il précisera qu'un grand litige a au lieu quant à l'établissement de la liste des maisons d'édition membres du SNEL, autour du nouveau et de l'ancien rôle de la maison d'édition qui définit aussi l'adhésion au SNEL, des cotisations non encore réglées par des maisons d'édition. L'autre problème auquel le SNEL est également confronté durant cette AG, est la non-adoption par l'assemblée du bilan financier et littéraire présenté par Ahmed Madi. «Ils se sont mis contre ces deux rapports sans aucun justificatif légal. Suite à cela, l'huissier de justice s'est retiré et a déclaré la non-validité de cette assemblée générale élective», affirme Ahmed Madi. Ainsi, l'assemblée générale pour l'élection du nouveau président du syndicat s'est déroulée dans le chaos total, notamment après le retrait d'un nombre important d'éditeurs en guise de protestation contre la falsification de la liste électorale.Il aurait été souhaitable que cette crise ait connu un dénouement heureux d'autant plus que l'Algérie s'apprête à organiser le 16e Salon international du livre d'Alger (SILA).Mais le SNEL n'est pas encore prêt à renaître de ses cendres d'autant plus «qu'un groupe d'éditeurs de livres s'apprête à se réunir en catimini dans un hôtel à Staouali, pour désigner un autre bureau et probablement vouloir élire un président. Nous, nous travaillons dans la légalité et la transparence en invitant à chaque fois les médias», s'insurge M. Madi. Le bras de fer entre les membres du Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) n'est pas prêt de connaître son épilogue. L'assemblée générale élective, tenue le 25 juin 2011, a connu une fin dramatique. Néanmoins, durant cette AG, les éditeurs ont procédé à l'élection, par vote, du nouveau bureau du syndicat qui devait se charger de l'élection du président du SNEL et de son adjoint. Pour mettre la lumière sur les polémiques qui gangrènent le syndicat, le président du SNEL, M. Ahmad Madi, accompagné de plusieurs éditeurs faisant partie du bureau, ont animé une conférence de presse, hier, au siège de l'Union des écrivains algériens (UEA). En effet, M. Ahmed Madi revient sur le déroulement de cette assemblée générale élective qui a été, d'après lui, un grand désastre. Pourtant, «pour la première fois il y a eu lieu une assemblé générale élective dans le cadre strict de la loi. Nous avons eu l'autorisation du ministère de l'Intérieur, de la wilaya ainsi que la présence d'un huissier de justice (désigné par la cour d'Alger) et d'un commissaire en compte», déclare le président du SNEL. Vu le climat dans lequel s'était déroulée la réunion, il affirme avec désarroi : «J'ai honte de dire aujourd'hui que je suis éditeur. Il y a eu un désordre inimaginable. Il y a eu des gens qui se déclaraient comme éditeurs alors qu'ils ne le sont pas. Les cotisations se réglaient le jour même, mais nous nous sommes retrouvés avec des chèques impayés. Les gens n'ont pas voulu donner les procurations à l'huissier de justice. Imaginez qu'une personne a même osé présenter sa candidature au nom de son père !» Profitant de cette rencontre avec la presse, M. Madi a annoncé qu'une autre assemblée générale élective sera organisée prochainement : «Elle se déroulera également dans la transparence totale, dans le respect de la loi. Espérons, néanmoins, que cette fois-ci, il n'y aurait pas le chaos comme la première fois.» Pour plus de clarifications, M. Madi, toujours président du SNEL, a remis à l'assistance des copies du procès-verbal rédigé par l'huissier de justice présent. Ce dernier rapporte en détail la tenue de cette assemblée générale. D'ailleurs, il précisera qu'un grand litige a au lieu quant à l'établissement de la liste des maisons d'édition membres du SNEL, autour du nouveau et de l'ancien rôle de la maison d'édition qui définit aussi l'adhésion au SNEL, des cotisations non encore réglées par des maisons d'édition. L'autre problème auquel le SNEL est également confronté durant cette AG, est la non-adoption par l'assemblée du bilan financier et littéraire présenté par Ahmed Madi. «Ils se sont mis contre ces deux rapports sans aucun justificatif légal. Suite à cela, l'huissier de justice s'est retiré et a déclaré la non-validité de cette assemblée générale élective», affirme Ahmed Madi. Ainsi, l'assemblée générale pour l'élection du nouveau président du syndicat s'est déroulée dans le chaos total, notamment après le retrait d'un nombre important d'éditeurs en guise de protestation contre la falsification de la liste électorale.Il aurait été souhaitable que cette crise ait connu un dénouement heureux d'autant plus que l'Algérie s'apprête à organiser le 16e Salon international du livre d'Alger (SILA).Mais le SNEL n'est pas encore prêt à renaître de ses cendres d'autant plus «qu'un groupe d'éditeurs de livres s'apprête à se réunir en catimini dans un hôtel à Staouali, pour désigner un autre bureau et probablement vouloir élire un président. Nous, nous travaillons dans la légalité et la transparence en invitant à chaque fois les médias», s'insurge M. Madi.