Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, en visite d'inspection inopinée, hier, à Tizi-Ouzou, a formellement démenti l'information selon laquelle neuf bébé auraient trouvé la mort au niveau de la clinique Sbihi de la même ville. La nouvelle s'est propagée telle une traînée de poudre dans les quatre coins de la ville dès hier matin. Le ministre ayant sans doute eu vent de la rumeur s'est déplacé immédiatement à Tizi-Ouzou où il avait effectué une visite au niveau du CHU il y a moins de dix jours. La fausse information avait été livrée, hier, par un confrère qui n'a pas cité sa source. Le ministre, après avoir visité une grande partie des services de la clinique d'accouchement publique Sbihi, a déclaré à la presse que l'information du décès de neuf nouveaux-né avait été distillée par des parties anonymes malintentionnées. Le ministre a, en revanche, confirmé le décès d'un seul nouveau-né vendredi dernier à cause d'un virus hospitalier. Mais une enquête plus poussée déterminera avec exactitude les raisons de ce décès et elle permettra de situer les responsabilités. L'enquête permettra, par ailleurs, de déterminer les auteurs de ces rumeurs malveillantes et dangereuses. Ould Abbès n'a pas omis de rappeler que cette information a semé une grande panique chez la population de la région particulièrement pour les femmes enceintes. Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière a indiqué que la clinique Sbihi de Tizi Ouzou est considérée comme la première à l'échelle nationale en matière de rareté des décès de nouveaux-né. Ce pourcentage ne dépasse pas les 10 pour cent. Ce chiffre est très en deçà de la moyenne nationale celle-ci étant de 23 pour cent. Le mois d'août dernier, il a été enregistré huit décès dans cette même clinique. Dans la majorité des cas, il s'agit de morts naturelles. Depuis le 1er janvier passé, 70 décès ont été enregistrés dans cette clinique. Durant la même période, la clinique Sbihi a enregistré 6.640 naissances dont 36 sont nés avant le neuvième mois. Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, en visite d'inspection inopinée, hier, à Tizi-Ouzou, a formellement démenti l'information selon laquelle neuf bébé auraient trouvé la mort au niveau de la clinique Sbihi de la même ville. La nouvelle s'est propagée telle une traînée de poudre dans les quatre coins de la ville dès hier matin. Le ministre ayant sans doute eu vent de la rumeur s'est déplacé immédiatement à Tizi-Ouzou où il avait effectué une visite au niveau du CHU il y a moins de dix jours. La fausse information avait été livrée, hier, par un confrère qui n'a pas cité sa source. Le ministre, après avoir visité une grande partie des services de la clinique d'accouchement publique Sbihi, a déclaré à la presse que l'information du décès de neuf nouveaux-né avait été distillée par des parties anonymes malintentionnées. Le ministre a, en revanche, confirmé le décès d'un seul nouveau-né vendredi dernier à cause d'un virus hospitalier. Mais une enquête plus poussée déterminera avec exactitude les raisons de ce décès et elle permettra de situer les responsabilités. L'enquête permettra, par ailleurs, de déterminer les auteurs de ces rumeurs malveillantes et dangereuses. Ould Abbès n'a pas omis de rappeler que cette information a semé une grande panique chez la population de la région particulièrement pour les femmes enceintes. Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière a indiqué que la clinique Sbihi de Tizi Ouzou est considérée comme la première à l'échelle nationale en matière de rareté des décès de nouveaux-né. Ce pourcentage ne dépasse pas les 10 pour cent. Ce chiffre est très en deçà de la moyenne nationale celle-ci étant de 23 pour cent. Le mois d'août dernier, il a été enregistré huit décès dans cette même clinique. Dans la majorité des cas, il s'agit de morts naturelles. Depuis le 1er janvier passé, 70 décès ont été enregistrés dans cette clinique. Durant la même période, la clinique Sbihi a enregistré 6.640 naissances dont 36 sont nés avant le neuvième mois.