Le financement du terrorisme, les actions engagées pour le contrecarrer, la coopération dans la lutte antiterrorisme dans tous ses volets, tels sont les thèmes sur lesquels est intervenu, lundi, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci au Symposium sur la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme, tenu dans le cadre de la 66e Assemblée générale de l'Onu, dont l'objectif est de permettre l'évaluation de la mise en œuvre de la Stratégie antiterroriste mondiale des Nations unies adoptée en 2006, et l'examen de la coopération internationale en la matière. Le financement du terrorisme, les actions engagées pour le contrecarrer, la coopération dans la lutte antiterrorisme dans tous ses volets, tels sont les thèmes sur lesquels est intervenu, lundi, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci au Symposium sur la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme, tenu dans le cadre de la 66e Assemblée générale de l'Onu, dont l'objectif est de permettre l'évaluation de la mise en œuvre de la Stratégie antiterroriste mondiale des Nations unies adoptée en 2006, et l'examen de la coopération internationale en la matière. Relevant que le financement du terrorisme est l'un des ''leviers les plus puissants'' qui encourage ce phénomène, le chef de la diplomatie algérienne a indiqué que l'action développée par l'Algérie aux niveaux sous-régional, africain et au sein des Nations unies, dans la lutte contre le fléau de la prise d'otages et de leur libération en contrepartie de paiement de rançons aux groupes terroristes, «participe dans une large mesure à la lutte contre l'entreprise de radicalisation et d'incitation au terrorisme». Le ministre qui explique que «cette pratique sinistrement lucrative constitue un appel d'air aux composantes les plus vulnérables et les plus démunies des populations, dont particulièrement la jeunesse dans certaines régions du monde à l'instar des pays de la sous-région du Sahel», considère que «les démarches de sensibilisation des pays membres et des organismes internationaux en charge de la lutte contre le terrorisme quant à la problématique posée par le paiement des rançons se sont, notamment, traduites par l'adoption de la décision, au sein de l'Union africaine condamnant cette pratique», et par l'adoption, au sein de l'Onu, de résolutions de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité, «qui ont amorcé un pas encourageant dans le sens de la prise en charge de cette question». Mourad Medelci réitère la position de l'Algérie qui condamne le terrorisme sous toutes ses formes, y compris les actions qui ont pour conséquence directe ou indirecte son encouragement et son renforcement, se félicitant de l'accent mis par la résolution 1963 (2010) du Conseil de sécurité sur l'importance de focaliser les efforts sur la prévention, l'évaluation des menaces et des risques, ainsi que l'élimination des conditions de propagation du terrorisme à travers un suivi plus étroit de la mise en œuvre de la résolution 1624 (2005). S'agissant de la la coopération «très suivie» entre l'Algérie et l'Onu en matière de lutte contre le terrorisme, le ministre a affirmé que cela s'est traduit par la mise à disposition des Nations unies d'une quantité consistante de matériel documentaire, d'archives manuscrites et audiovisuelles, ainsi que de production de courts métrages et de documentaires, mettant en exergue les résultats positifs, en matière de dé-radicalisation, «de la politique de paix et de réconciliation nationale mise en œuvre par l'Algérie depuis plus d'une décennie sous l'impulsion du président de la République, Abdelaziz Bouteflika». Selon le ministre, cette politique ambitieuse de réconciliation et de dé-radicalisation, «a connu un franc succès puisqu'elle a permis la reddition et le retour dans la société et l'intégration en son sein d'un nombre important de terroristes, de l'ordre de 10.000». Pour Mourad Medelci, «il est nécessaire de coopérer plus largement sur l'ensemble des volets de la lutte antiterroriste s'impose entre les pays directement concernés et les pays et institutions partenaires», précisant que la Conférence d'Alger sur la lutte contre le terrorisme, tenue les 7 et 8 septembre entre les pays du champ du Sahel et près de 40 autres pays et institutions internationales et régionales, «met clairement en relief cette nécessité». Relevant que le financement du terrorisme est l'un des ''leviers les plus puissants'' qui encourage ce phénomène, le chef de la diplomatie algérienne a indiqué que l'action développée par l'Algérie aux niveaux sous-régional, africain et au sein des Nations unies, dans la lutte contre le fléau de la prise d'otages et de leur libération en contrepartie de paiement de rançons aux groupes terroristes, «participe dans une large mesure à la lutte contre l'entreprise de radicalisation et d'incitation au terrorisme». Le ministre qui explique que «cette pratique sinistrement lucrative constitue un appel d'air aux composantes les plus vulnérables et les plus démunies des populations, dont particulièrement la jeunesse dans certaines régions du monde à l'instar des pays de la sous-région du Sahel», considère que «les démarches de sensibilisation des pays membres et des organismes internationaux en charge de la lutte contre le terrorisme quant à la problématique posée par le paiement des rançons se sont, notamment, traduites par l'adoption de la décision, au sein de l'Union africaine condamnant cette pratique», et par l'adoption, au sein de l'Onu, de résolutions de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité, «qui ont amorcé un pas encourageant dans le sens de la prise en charge de cette question». Mourad Medelci réitère la position de l'Algérie qui condamne le terrorisme sous toutes ses formes, y compris les actions qui ont pour conséquence directe ou indirecte son encouragement et son renforcement, se félicitant de l'accent mis par la résolution 1963 (2010) du Conseil de sécurité sur l'importance de focaliser les efforts sur la prévention, l'évaluation des menaces et des risques, ainsi que l'élimination des conditions de propagation du terrorisme à travers un suivi plus étroit de la mise en œuvre de la résolution 1624 (2005). S'agissant de la la coopération «très suivie» entre l'Algérie et l'Onu en matière de lutte contre le terrorisme, le ministre a affirmé que cela s'est traduit par la mise à disposition des Nations unies d'une quantité consistante de matériel documentaire, d'archives manuscrites et audiovisuelles, ainsi que de production de courts métrages et de documentaires, mettant en exergue les résultats positifs, en matière de dé-radicalisation, «de la politique de paix et de réconciliation nationale mise en œuvre par l'Algérie depuis plus d'une décennie sous l'impulsion du président de la République, Abdelaziz Bouteflika». Selon le ministre, cette politique ambitieuse de réconciliation et de dé-radicalisation, «a connu un franc succès puisqu'elle a permis la reddition et le retour dans la société et l'intégration en son sein d'un nombre important de terroristes, de l'ordre de 10.000». Pour Mourad Medelci, «il est nécessaire de coopérer plus largement sur l'ensemble des volets de la lutte antiterroriste s'impose entre les pays directement concernés et les pays et institutions partenaires», précisant que la Conférence d'Alger sur la lutte contre le terrorisme, tenue les 7 et 8 septembre entre les pays du champ du Sahel et près de 40 autres pays et institutions internationales et régionales, «met clairement en relief cette nécessité».