Les affrontements entre la population sahraouie et les colons marocains, dans la ville occupée de Dakhla, ont fait une dizaine de morts parmi les Sahraouis. Après cinq jours de heurts 'on signale une vingtaine de Sahraouis blessés, dont plusieurs cas graves, selon l'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique à Alger, Ibrahim Ghali, qui intervenait, mardi dernier, à Radio Algérie internationale. Les affrontements entre la population sahraouie et les colons marocains, dans la ville occupée de Dakhla, ont fait une dizaine de morts parmi les Sahraouis. Après cinq jours de heurts 'on signale une vingtaine de Sahraouis blessés, dont plusieurs cas graves, selon l'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique à Alger, Ibrahim Ghali, qui intervenait, mardi dernier, à Radio Algérie internationale. Pour sa part, l'ambassadeur de la RASD en Algérie, M. Ibrahim Ghali, a fait savoir que le gouvernement de son pays avait saisi le secrétaire général des Nations unies de «l'agression perpétrée récemment contre des citoyens sahraouis dans la ville de Dakhla occupée par des colons marocains appuyés par les forces de la police et de l'armée». «Nous vous demandons d'intervenir immédiatement pour sauver les vies humaines des Sahraouis innocents menacés dans la ville de Dakhla occupée, en face de la tension croissante et le déploiement des différentes formations des troupes marocaines, qui ne cessent de menacer la sécurité et la sûreté des citoyens sahraouis sans défense», a écrit le M. Mohamed Abdelaziz, président de la RASD, dans une lettre au secrétaire général de l'ONU, a indiqué l'agence de presse sahraouie (SPS). «Le gouvernement marocain, à travers ces actes de répression et d'intimidation, ne fait que nourrir le chauvinisme, le racisme et maintient son occupation illégale du Sahara Occidental», a-t-il averti. M. Ghali a révélé, à cette occasion, qu'une délégation sahraouie se trouvait actuellement à New York et qu'elle «interviendra lors de la quatrième commission onusienne consacrée à la décolonisation pour revendiquer une solution rapide et définitive à ce conflit pour permettre au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination à travers un référendum libre et démocratique». Sur la question d'un éventuel retour aux armes, M. Ghali a affirmé que «cette option reste encore de mise à la lumière de l'impasse dans laquelle se trouve la question sahraouie». Les affrontements ont commencé, selon l'agence de presse sahraouie (SPS), après un sit-in organisé pour dénoncer l'agression dont ont fait l'objet des Sahraouis au stade de la ville de Dakhla occupée lors d'une rencontre entre le Mouloudia de Dakhla et le Chabab de Mohamadia du Maroc. «Un groupe d'extrémistes parmi les colons marocains a agressé des Sahraouis malgré la présence des forces royales qui n'ont fait qu'encercler le lieu », a-t-on fait savoir de même source. Pour sa part, l'ambassadeur de la RASD en Algérie, M. Ibrahim Ghali, a fait savoir que le gouvernement de son pays avait saisi le secrétaire général des Nations unies de «l'agression perpétrée récemment contre des citoyens sahraouis dans la ville de Dakhla occupée par des colons marocains appuyés par les forces de la police et de l'armée». «Nous vous demandons d'intervenir immédiatement pour sauver les vies humaines des Sahraouis innocents menacés dans la ville de Dakhla occupée, en face de la tension croissante et le déploiement des différentes formations des troupes marocaines, qui ne cessent de menacer la sécurité et la sûreté des citoyens sahraouis sans défense», a écrit le M. Mohamed Abdelaziz, président de la RASD, dans une lettre au secrétaire général de l'ONU, a indiqué l'agence de presse sahraouie (SPS). «Le gouvernement marocain, à travers ces actes de répression et d'intimidation, ne fait que nourrir le chauvinisme, le racisme et maintient son occupation illégale du Sahara Occidental», a-t-il averti. M. Ghali a révélé, à cette occasion, qu'une délégation sahraouie se trouvait actuellement à New York et qu'elle «interviendra lors de la quatrième commission onusienne consacrée à la décolonisation pour revendiquer une solution rapide et définitive à ce conflit pour permettre au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination à travers un référendum libre et démocratique». Sur la question d'un éventuel retour aux armes, M. Ghali a affirmé que «cette option reste encore de mise à la lumière de l'impasse dans laquelle se trouve la question sahraouie». Les affrontements ont commencé, selon l'agence de presse sahraouie (SPS), après un sit-in organisé pour dénoncer l'agression dont ont fait l'objet des Sahraouis au stade de la ville de Dakhla occupée lors d'une rencontre entre le Mouloudia de Dakhla et le Chabab de Mohamadia du Maroc. «Un groupe d'extrémistes parmi les colons marocains a agressé des Sahraouis malgré la présence des forces royales qui n'ont fait qu'encercler le lieu », a-t-on fait savoir de même source.