Pas moins de 1.500 assiettes foncières viabilisées devant recevoir des logements ruraux au profit des sinistrés des inondations qu'a connues la région de Ghardaïa, en octobre 2008, ont été délimitées, a indiqué, hier, le responsable de la wilaya chargé du dossier. Sur les 1.267 assiettes dégagées dans la commune de Ghardaïa, 500 sinistrés ont obtenu leur acte de propriété leur permettant l'accès à un soutien financier d'un million de dinars versé par la Caisse nationale du logement, en trois tranches, pour la construction de leurs logements rapporte l'APS. Plus d'une centaine de sinistrés ayant leur propre terrain dans une zone rurale non inondable ont déjà obtenu l'aide financière et construit leur habitation. Un programme de 3.000 logements ruraux financés par les pouvoirs publics pour répondre adéquatement aux conséquences des inondations, qui ont affecté les neuf communes de la wilaya de Ghardaïa en octobre 2008, a été décidé au lendemain de cette catastrophe naturelle, rappelle-t-on. Trois ans après ces inondations, la vie a repris son cours normal dans la région du M'Zab grâce aux efforts déployés pour éliminer définitivement les séquelles de ce drame, devenu désormais un souvenir, bien qu'encore vivace dans la mémoire des habitants de la région, ou ravivé par quelques images chocs rappelant la catastrophe montrant la puissance des crues de l'oued M'Zab. Une enveloppe de 40 milliards DA a été dégagée par les pouvoirs publics dans le cadre d'un programme d'urgence pour concrétiser le programme de relogement des sinistrés, la reconstruction des infrastructures fragilisées par les inondations et l'indemnisation des constructions situées dans des zones inondables des rives de l'oued M'Zab. Victime de sa topographie et d'une urbanisation accélérée, la vallée du M'Zab, composée de quatre communes (Daya Ben Dahoua, Ghardaïa, Bounoura et EL-Atteuf) a été la zone la plus affectée par ces intempéries et où des habitations illicites ont été édifiées à même le lit mineur de l'oued M'Zab qui serpente à travers la région. Cette situation a poussé, depuis, les autorités à délimiter scientifiquement les zones inondables et interdire toute construction sur les sites à risque. Les inondations qu'ont connues les neuf communes sinistrées de Ghardaïa le 1er octobre 2008 ont fait 43 morts, dont 15 femmes, 4 disparus et 86 blessés, selon le bilan définitif arrêté par la Protection civile. Quelque 12.439 habitations ont été classées vert-2 , 5.370 autres orange-3, 28.012 classées orange-4 et 3.550 rouge-5 par les services de contrôle technique de la construction (CTC), suite à une expertise effectuée au lendemain des inondations. Les pouvoirs publics ont décidé la réalisation de chalets pour la prise en charge immédiate et temporaire des sinistrés et la construction dans le cadre d'un programme d'urgence de 2.000 logements sociaux locatifs et 3.000 logements ruraux. Prés de mille logements locatifs ont été déjà attribués aux sinistrés ayant occupé temporairement des chalets, signale le chef de daïra de Ghardaïa, qui précise que l'opération de relogement se poursuit au fur et à mesure de l'achèvement des projets de logement. Pas moins de 1.500 assiettes foncières viabilisées devant recevoir des logements ruraux au profit des sinistrés des inondations qu'a connues la région de Ghardaïa, en octobre 2008, ont été délimitées, a indiqué, hier, le responsable de la wilaya chargé du dossier. Sur les 1.267 assiettes dégagées dans la commune de Ghardaïa, 500 sinistrés ont obtenu leur acte de propriété leur permettant l'accès à un soutien financier d'un million de dinars versé par la Caisse nationale du logement, en trois tranches, pour la construction de leurs logements rapporte l'APS. Plus d'une centaine de sinistrés ayant leur propre terrain dans une zone rurale non inondable ont déjà obtenu l'aide financière et construit leur habitation. Un programme de 3.000 logements ruraux financés par les pouvoirs publics pour répondre adéquatement aux conséquences des inondations, qui ont affecté les neuf communes de la wilaya de Ghardaïa en octobre 2008, a été décidé au lendemain de cette catastrophe naturelle, rappelle-t-on. Trois ans après ces inondations, la vie a repris son cours normal dans la région du M'Zab grâce aux efforts déployés pour éliminer définitivement les séquelles de ce drame, devenu désormais un souvenir, bien qu'encore vivace dans la mémoire des habitants de la région, ou ravivé par quelques images chocs rappelant la catastrophe montrant la puissance des crues de l'oued M'Zab. Une enveloppe de 40 milliards DA a été dégagée par les pouvoirs publics dans le cadre d'un programme d'urgence pour concrétiser le programme de relogement des sinistrés, la reconstruction des infrastructures fragilisées par les inondations et l'indemnisation des constructions situées dans des zones inondables des rives de l'oued M'Zab. Victime de sa topographie et d'une urbanisation accélérée, la vallée du M'Zab, composée de quatre communes (Daya Ben Dahoua, Ghardaïa, Bounoura et EL-Atteuf) a été la zone la plus affectée par ces intempéries et où des habitations illicites ont été édifiées à même le lit mineur de l'oued M'Zab qui serpente à travers la région. Cette situation a poussé, depuis, les autorités à délimiter scientifiquement les zones inondables et interdire toute construction sur les sites à risque. Les inondations qu'ont connues les neuf communes sinistrées de Ghardaïa le 1er octobre 2008 ont fait 43 morts, dont 15 femmes, 4 disparus et 86 blessés, selon le bilan définitif arrêté par la Protection civile. Quelque 12.439 habitations ont été classées vert-2 , 5.370 autres orange-3, 28.012 classées orange-4 et 3.550 rouge-5 par les services de contrôle technique de la construction (CTC), suite à une expertise effectuée au lendemain des inondations. Les pouvoirs publics ont décidé la réalisation de chalets pour la prise en charge immédiate et temporaire des sinistrés et la construction dans le cadre d'un programme d'urgence de 2.000 logements sociaux locatifs et 3.000 logements ruraux. Prés de mille logements locatifs ont été déjà attribués aux sinistrés ayant occupé temporairement des chalets, signale le chef de daïra de Ghardaïa, qui précise que l'opération de relogement se poursuit au fur et à mesure de l'achèvement des projets de logement.