Les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN) ont retrouvé les travées de l'APN. Ils ont entamé, hier, en session plénière l'examen du projet de loi organique relative au régime électoral. L'examen de ce projet de loi, qui comporte 238 articles, entre dans le cadre des réformes politiques annoncées par le président de la République, lors de son discours à la nation le 15 avril dernier. Bon nombre de parlementaires issus de cette législature feront sans doute leurs adieux à l'hémicycle de la chambre basse du Parlement au cours de cette session d'automne. Une session qui se déroule dans un climat aussi bien national qu'international, bien particulier induit par le «Printemps arabe, les révolutions arabes ou évolution du monde arabe» - c'est selon - et l'entrée en phase active des profondes réformes politiques promises par le chef de l'Etat. Le monde arabe est traversé par des lames de fond dont personne ne peut prédire l'issue. Les populations de ces pays aspirent au changement dans le mode de gouvernance, plus de justice sociale et une répartition des richesses plus équitable. Et l'Algérie, partie intégrante du monde arabe ne peut faire l'impasse sur les attentes exprimée par le «corps» social. Les premiers textes de loi de l'heure de la réforme atterrissent devant les parlementaires, qui pour la plupart n'ont plus rien à perdre. Ils auront ainsi l'occasion d'exercer pleinement les prérogatives que leur confère la Constitution. Ils auront aussi l'occasion de prouver que la première chambre du Parlement n'est pas une simple «caisse d'enregistrement» entérinant sans sourciller tout projet de loi qui émane de l'Exécutif et effacer l'image caricaturale du député auprès de la population. Le projet de loi sur le régime électoral qui est entre leurs mains est d'une importance capitale pour le processus des réformes politiques annoncées par le président de la République. Les députés ont la lourde responsabilité de baliser le chemin des réformes politiques ou de biaiser son cours en apportant des amendements inopportuns au texte de loi présenté comme l'un des plus audacieux des réformes politiques. Les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN) ont retrouvé les travées de l'APN. Ils ont entamé, hier, en session plénière l'examen du projet de loi organique relative au régime électoral. L'examen de ce projet de loi, qui comporte 238 articles, entre dans le cadre des réformes politiques annoncées par le président de la République, lors de son discours à la nation le 15 avril dernier. Bon nombre de parlementaires issus de cette législature feront sans doute leurs adieux à l'hémicycle de la chambre basse du Parlement au cours de cette session d'automne. Une session qui se déroule dans un climat aussi bien national qu'international, bien particulier induit par le «Printemps arabe, les révolutions arabes ou évolution du monde arabe» - c'est selon - et l'entrée en phase active des profondes réformes politiques promises par le chef de l'Etat. Le monde arabe est traversé par des lames de fond dont personne ne peut prédire l'issue. Les populations de ces pays aspirent au changement dans le mode de gouvernance, plus de justice sociale et une répartition des richesses plus équitable. Et l'Algérie, partie intégrante du monde arabe ne peut faire l'impasse sur les attentes exprimée par le «corps» social. Les premiers textes de loi de l'heure de la réforme atterrissent devant les parlementaires, qui pour la plupart n'ont plus rien à perdre. Ils auront ainsi l'occasion d'exercer pleinement les prérogatives que leur confère la Constitution. Ils auront aussi l'occasion de prouver que la première chambre du Parlement n'est pas une simple «caisse d'enregistrement» entérinant sans sourciller tout projet de loi qui émane de l'Exécutif et effacer l'image caricaturale du député auprès de la population. Le projet de loi sur le régime électoral qui est entre leurs mains est d'une importance capitale pour le processus des réformes politiques annoncées par le président de la République. Les députés ont la lourde responsabilité de baliser le chemin des réformes politiques ou de biaiser son cours en apportant des amendements inopportuns au texte de loi présenté comme l'un des plus audacieux des réformes politiques.